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Le petit coin du râleur - Page 10

  • Ils prennent les peuples pour des CON !

    Cher ami lecteur, et lecteurs.

     Je ne voudrais pas insister, mais, si par hasard, vous n’auriez pas compris, si dans votre monde, vous ne seriez pas au courant.. Si dans les stratosphères de nos médias ; petit monde ouvert proche du vide.

     Que vous soyez, Sourd, malentendants, aveugles, voir un peu hors du temps

    Excepté, nos braves ;  Vincent Lambert ou son compère  Michael Schumacher, quelque peu en marge, dans leur monde s’il en est. 

    Si, sur votre île déserte, sans autre communication que ce coquillage qui vous renvoie le bruit des vagues, le vent qui souffle et déplace le sable.

    Si vous n'aviez pas par hasard, au coin de votre rue, voir sur la place de votre village, vu  ce mur de panneau. Mur d'images, mirage aux alouettes ; promesses, qui dit mieux !

    Dans ce monde ou la presse, dite papier laquelle se meure, si cette même presse, prompte à nous informer, se positionne, sur la nouvelle toile d’internet, cette toile d’araignées.

    Ce réseau tissu, de brèves, de nouvelles, de ces restes de nos médias.

    Ah la terrible image de l’œuf et de la poule ;  Qui le premier….

    Idem est-ce le journaliste qui crée l’information, ou le lecteur  qui reçoit ; terrible révélateur.

    Bon notre air du temps qui chaque soir devant la télé, terrible somnifère, pourtant ce besoin d’écoute qui nous oblige de l’allumer. Illusion de partager ce monde, de zieuter le malheur des autres, d'entendre les meutes qui hurlent au passage des caravanes.

    Pourtant nulle n’y échappe, les élections à venir emplissent, inondent notre entendement. Percent nos tympans, déchirent nos timides croyances.

    À en devenir hostile. Non stop, assez pas encore.

    Alors qu'ils prétendent orienter nos choix, ils attendent que nous prenions positions.

    Ils veulent nous motiver.

    Et blabla et patati et patatras.

    O dieux que c’est odieux, ce fatras, 

    Tout cela pour nous embobiner, susciter en nous un désir, une envie.

    Merde faites chier avec votre connerie, de toutes façons vous ferez bien ce que vous voudrez,  tiens en 2007, le peuple avait dit NON, nos dirigeants et les autres ont tergiversé détournés le résultat et fait passer malgré les peuples, leur traité et glorifié, promu, mis en place cette gouvernance, contre nous.

    Bref, électeurs, on vous prend pour des CON, et pour habiller tout cela et vous culpabiliser, on parle de droit démocratique ; la démocratie sert nos dirigeants pour lier leur sauce ; et les peuples subissent, trinquent et au final doivent payer la note.

     Alors vous avez dit « élection Européenne »,

    SANS MOI.

    NON Merci.

     

  • Dis Papa, c'est ou l'Europe ?

    Dis mon Papa, Ils disent que vous allez encore voter ;

    Et il paraît que le jeu est plein d’importance.

    Pourquoi il y a tous ces  panneaux électoraux.

    Combien tu dis qu’il y à de candidats, c’est pour toute leur Rope ?

    Oui  je crois rêver 30 ou 31 candidature ! Qu’est ce qu’ils veulent tous ?

      Oui tu as raisin, Nos médias agitent leur rédaction, et l’on nous promène de capitales en Pays étranger.

    Donc nous allons devoir choisir,

     Et toi tu vas voter pour qui la France ou l’Allemagne ?

     Elire le Président de la Banque Européenne, ou un truc comme ça,

    Choisir des représentants qui iront siéger et feront la navette entre Bruxelles et Strasbourg, elle nous dit la maîtresse..

    Histoire peut-être de savoir qui fait la meilleure cuisine.

    Il paraît que c’est là-bas aussi qu’ils choisissent nos fromages ou nos séries télé ; Ils disent l’exception culturelle Française pourquoi une exception ?

    Dis tu crois que l’Ukraine elle veut vivre avec nous ?

    Et pourquoi Ils disent que Poutine, il veut la Syrie, le Caucase, et que L’Hollande il veut  l’Oubéquistant, et qu’est-ce qu’il fait au Géorgie ?.

    Dis Papa tu vas voter comment ? Tu m’as dis que c’est le pompier Polonais qui t’avait pris ton travail et que maintenant t’es plus bon à rien.

    Et pourquoi les Grecs ou les Italiens ils votent aussi pour que Merkel elles les mettent au chômage.

    C’est quoi Papa l’Europe, Il disent que là bas il y à du travail ?.

    Pourtant les Roumains ou les Bulgares ils viennent quand même chez nous chercher du travail ou à manger.

    Dis tu crois que les Américains ils veulent manger l’Europe.

     

    Allez dors maintenant demain il y à école.

    Papa, lis moi encore une histoire.

  • Désir d'oubli,

     

    Désir d’oubli, l’ombre s’estompe,

    Pensées vagabondes, qui s’agitent

    .Le temps pourtant  souffle ses braises,

    Le vent de nos tempêtes

    Emporte les parfums de notre histoire.

    Ton image hypnotise mes rêves.

    Ton absence comme ironique présence.

    Toi cet astre qui brillait dans ma vie.

    Étoile filante, ou simple nébuleuse ;

    Tu m’as jeté néant, comme au fond de ce puit.

    Perdu dans cet univers frileux,

    Happé par ton vide, comme désert de vie.

    Figé l’amour, pour toujours disparue,

    Et sans toi obscure complot

    Je me rejoue sans cesse

    Cette scène, atroce punition,

    Dans les profondeurs de la vie

    Ton manque, comme une blessure,

    Le temps cicatrise la privation

    Notre passé habite mon présent.

    Ton miroir désormais sans visage

    Tu étais histoires, comme un grand livre,

    Tirée juste pour moi, fatale obsession.

    Et toutes tes pages, comme pour jamais écrites

    Jauniront sur les étagères de ma mémoire.

    Tu avais voulu y poser le mot fin.

     

    G.B.

     

     

     

  • Ami, rempli mon verre,

    «  Amis remplis mon verre, encore un et je vais »....

    Divine supplique, ce petit plus qui vous soutiens.

    Cette part de soi, inhibé, révélée, transcendée.

    Douceur exquise, tendre félicité.

    Délicatesse d’un soir, comme fidélité, un peu complicité.

    Cette chaleur qui vous pénètre, comme ami qui accompagne notre ennui.

    Ah le doux moment de l’oubli.

    Oui je te sens me prendre, perverse et tendre

    Comme un présent qui se donne à nous.

    J’aime nos étreintes, Comme une amicale complainte

    Tu es la caresse de mon oubli, désir inassouvi.

    Tu me tiens, promesse, histoire de toute une vie.

    Éphémère contrainte, tu rançonnes mon ennui.

    J’aime ta compagnie, comme qui dirait ami.

    Tu es un peu ma gloire, mais aussi un défi.

    Ivre, je ne suis plus, simplement je suis pris.

    Ce double dans ma vie, je suis assujetti.

    Je ne puis résister, aussi laisser aller.

    Pénétré, enfermé, comme un peu isolé.

    Faut-il qu’il m’en souvienne,

    Comme un péché ; ma vie.

    Même un peu éméché, j’arraisonne ;

    Illusionne, et comble ce manque.

    Révélateur, tu es ce double fidèle

    Ce besoin d’être, comme un désir d’oubli.

    L’abstraction du néant, comme reconnaissance de vie.

    A moins que simple déni,

     Tu n’en es pas moins comme une douce complice

    Tu es même un devoir, il faut bien exister.

    Aussi tu es compagne, pour un bout de chemin.

    Je vis ton souvenir, et me noie dans l‘absence.

    Pourquoi es tu partie.

     

     

  • Moi, quand je serai président !

    Rêve ou vision angélique !

    Voilà que notre Président, Triste sir, miné par l’esprit publique,

    Pourfendu par la critique,

    Harangué par les foules.

    Moi, Président, mal aimé.

    Responsable, et si mal entouré.

    Moi, Président bafoué par les sondages,

    Lui , président, la coupe est pleine.

    Certes, les Or de l’Élysée, vu le faste de la fonction.

    Moi, Président, haï de tout un peuple,

    Lui, responsable brocardé par les siens, hué par les autres.

    Lui, Président, vous allez voir ce que vous aller voir !

    Lui encore Président, l’orage gronde et les foules se lassent.

    Lui toujours président d’une triste minorité.

    Lui socialiste, Énarque, ayant dupé son monde pour gagner ce pouvoir.

    Lui attaché aux services et lié par la finance.

    Lui, putain, encore deux ans pour que carpette France

    Serve de paillasson à l’Allemagne et au monde.

    Lui, responsable d’un déni de représentation.

    Petit serviteur, minable représentant.

    Pour lui la place est bonne, mais dort’il bien la nuit.

    Lui un passé en morceau, un avenir incertain ;

    Rejeté, haï, serviteur un peu vil.

    Lui, il se nommait François, on l‘aura vite oublié.

     

  • Le temps de la Gestapo !

     Allons donc,

    Que l’on demande aux hôteliers de signaler, la présence de certaines catégories d’individus.

    Que dans un arrondissement Parisien, la police demande de ramasser, faire la chasse à tous les traînes misères.

     Sans oublier, et ce n’est pas d’aujourd’hui ; à Nice ou bien ailleurs tous ces décrets pris contre, ou la mendicité, ou les « sans logis. » Histoire de ne pas porter tord, ni préjudice pour Nos touristes. Et puis cela dénote dans le décor tous ces tristes êtres.

    Pour les, ceux-ce qui peuvent ramener de l’argent.

     Haro sur la misère.

    Certes, comme l’on ne peut se battre contre ce triste lamentable phénomène.

    La misère contre pied de cette richesse, arrogante, que les riches et leur représentant au pouvoir veulent nous cacher ; Comme pour la soustraire.

     Pauvres, rejetés, vous le savez que vous n’êtes pas bien vu.

    Qu’ils soient Roms, Bulgares. N’en sont ’ils pas moins EUROPEEN.

    Ne sont-ils pas HUMAIN.

     Comme les simples travailleurs de nos usines, même combat.

    Au moment où l’on parle du triste souvenir de l’hôtel Lutétia, fermé pour rénovation.

     La police, comme aux pires moments de Vichy, se fait les basses œuvres exécutrices d’une politique de chasse à l’homme. Nos camps d’internements existent déjà ; ils se nomment camps de transites, ou centres de rétention !. Et nos prisons sont pleines.

    Oh France de Jaurès,  J’ai honte pour toi.

    Pays des droits de l’homme (à condition qu’ils soient riches). Déjà que ces riches tout puissant délocalisent et ruinent notre économie, notre pays pour raisons gardées, Les charges, vous savez celles qui pèsent pour les patrons, Voilà l’œuvre de misère en marche, voilà  encore des futures exclus.

    Hier l’ancienne Seita bradée à Tobacco, je ne sais quoi et qui ferme ses sites de productions.

    Demain ces Fagor Brantd Vendu à un puissant financier Algérien ; et qui bientôt ajoutera son lot de plans sociaux.

    Hier, toujours Les Salaries de VIVENDI SFR, bradés pour, « restructuration » offert à un magnat de la finance international, que restera-t’il des emplois ?

    Combien de nos richesses, de nos usines, de nos emplois jetés pour cause de délocalisation.

    Tiens en Pologne. Des emplois jetés comme des vieux Kleenex. Pour des salaires à pas cher : Camarades la misère gagne.

    Au début du XX eme siècle, c'étaient les Polonais, Les Italiens et tant d’autres qui venaient nous offrir leurs bras, leurs vies pour construire ce qui fut la France.

    Aujourd’hui vendu aux Américains, bradés aux Allemands ; Ce qu’ils n’ont pas réussi à faire en 14 et en 40, à lieux aujourd’hui. Le marché commun, l’Europe des Nations ; Un marché de dupes.

     

    Dites STOP.

    Peuple je sais que tu descends dans la rue.

     Ouvriers, employés, Hommes femmes, citoyens et républicains.

    Peuple de Gauche, Déjà tu rejettes les urnes et leur verdict, très bien.

    Il faut faire plus et entrer en guerre contre la finance.

    Je sais que certains consomment déjà minimum, il faut nous qui avons encore un peu de moyens, mettre à genoux ces riches flambeurs, les étrangler, leur rendre la monnaie de leur pièce.Et que le Cac 40 soit divisé par deux. Faisons-nous les chevaliers de la décroissance..

    Notre charge devra les faire pliés.

     

    Tiens Patrons, cadeaux….

     

  • Humeur du jour !

    Et donc notre quotidien reprend le dessus.

    Besoin d’assurer la transition entre ce jour et son lendemain. Histoire de gérer une continuité.

    De retrouver cette stabilité, cette offre imposée, cet ordre du jour au lendemain.

    Ah oui ! Les valeurs ; le sens des mots, le rythme d’une phrase.

    Ce besoin d’enfanter un jour nouveau. D’exister, de se révéler.

    Tiens comme ça hier dans cette manif, contre, pour,  qu’importe j’y étais.

    Anonyme, un parmi d’autres, un entre ces 2500 remarqués par nos CRS Compteurs, et ces 100.000 reconnus par des organisateurs, pas très organisé.

    Un début qui n’en finissait pas de démarrer, semblant attendre, quelques impulsions. Un mot d’ordre. Un chef ; une tète.

    Pourtant des gens, cette foule qui piaffait, prête à en démordre, volontaire pour en découdre.

    Arrogante envers ce pouvoir qui les malmène.

    Intransigeante, face à ce défi, cette Euro-punition imposé par un régime en mal de fric.

    La domination se cet argent roi !. Money  is money.

     

    Que vives et leur servent les dividendes, pendant que d’autres tristerons leur quotidien, cherchant, même pas à joindre les deux bouts, juste d’assurer une subsistance, service minimum. Juste à vivre encore un peu.

    .

    Et comme d’habitude l’on nous annonce des cadeaux, Milliards pour les patrons, La générosité coule à flot, pendant qu’ils cherchent,

     Milliards d’économies, de restrictions, de coupes sombres.

    Ce monde coure à sa perte, notre planète déjà gâtée par leurs saloperies réduisant notre potentiel de vie.

    La température se réchauffe.

    Les dividendes s’accroissent. La misère explose, les riches pavoisent.

    Terre de tous les défis j’ai marché pour toi, pendant que d’autres marchent sur la tète.

    Comme, et avec d’autres je me suis levé.

    Demain, ne sera pas pour moi, mais pour nos enfants, et quelle sera la mesure de la dette que nous leur léguerons.

    Celle des banques, ou celle de notre climat.

     

    Pourtant ils, certains ont voté. Ils disent démocratie.

    Beaucoup se sont abstenus.

    Certains sont descendus dans la rue manifester.

    D'autres, ont regardé la télé.

    Et vous ?

    Alors !.

     

    G.B.

     

    .

     

     

  • Bientôt les Européennes !

    L’aventure, c’est l’aventure !

    Je vous sais anxieux de connaître les suites de notre super production ; Après les municipales, on fait quoi ?

     D’abord, le grand ménage dans nombres de nos mairies. Un grand classique.

     Tant de dossiers sensibles vont devenir « secrets défenses », et rejoindre comme le « Bugaled Breizh » les profondeurs et de l’océan et de notre  haute stratégie du savoir faire «  made in France ».

     Ensuite vint la Valse des étiquettes, et il n’y aura pas de Valse hésitation.

     L’un se croyait un « Héros », pôvre  Jean Marc,  enlisé dans la boue de son aéroport de Notre dame des Landes; lâché, jeté par NO Lande. L’autre surgit et en trois tours de piste, un nouveau « petit Sarkozy »  qui reprit du pouvoir.

    Ô roms, roumains et autres Bulgares, prenez garde, déjà dans le collimateur ; tous pris pour des voleurs de poules incapables de vous intégrer.

    Profitez, notre nouveau premier sinistre Hidalgo, Hollandais aura plus à faire pour rentrer dans les cordes Européennes que de vous poursuivre de sa vindicte.

    Bref un répit pendant qu’il se débat dans le fiasco d’une Europe en 28 morceaux, pendant qu’il cherche à placer le prix de son autorité, et  la « grandeur de la France »

    Donc trois petits tours de Valse ;  Lequel promet de diviser nos régions par deux, de supprimer les départements. Croyant ainsi régler notre, enfin leur dette.

    Le sujet pour audacieux qu’il soit ne présente pas une affaire il y a longtemps que nos jeunes ne connaissent plus ceux-ci encore moins préfectures et sous- préfectures. Alors ?

     Cela se nomme «  la réforme des rythmes scolaires », ils disent qu’ils travaillent trop !

     Bon Manuel tel le torero tu comptes affronter le taureau France, et de piques en banderilles tel Carmen tu nous la chante belle.

    Et tes passes d’armes n’amuseront plus le peuple, lassé du grand guignol de la république.

    Vives la France, Vives le peuple Français.

    Et pour les Européennes on fait quoi ?

     G.B.