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moiguy

  • Et si dieu avait gagné !

    Ainsi les croyants de tous crins, montent en visibilité.
    La fin du vingtième siècle après ce que l’on a appelé « les trente glorieuses »
    Montrait une perte d’influence.
    Nos églises ne faisaient plus le plein, et il fallait chercher partout comment recréer des vocations.
    Pendant ce temps, la pensée offrait toujours plus et d’explications et de justifications quant à l’origine de notre existence, et sur la création du monde.
    Bref, nos croyants, s’ils ne perdaient pied, se trouvaient de plus en plus marginalisés.
    Chacun essayait de trouver une justification à sa foi, voir à son détournement des croyances
    La raison, comme toutes les thèses matérialistes, prônait un débat sur les seules valeurs humaines.
    Les perpétuels conflits mondiaux, comme les phénomènes naturels ; Sécheresse, séismes, et autres catastrophes naturelles, n’étaient plus le fait d’une certaine divinité, mais l’explication logique, ou des mouvements de l’écorce terrestre, ou des phénomènes climatiques engendrés par les destructions, voir les manipulations de l’espace naturel. (déforestation, constructions à outrance et « bétonnisation» des cotes et du littoral.
    L’homme ainsi modifiait les données qui allaient perturber son évolution.
    Pourtant il restait maître de son destin.
    Il n’en restait pas moins que l’homme pilleur, pollueur avait pris le pas sur l’humain intelligent, raisonnable, sensé.
    Il voulait tout dominer, maîtriser, même ses propres congénères.
    L’homme de bien avait fait place à l’homme du bien.

    Alors le pauvre, le soumis avait repris le sens de la religion, il se réfugiait dans un nouveau système passéiste, dans un repli de l’oubli, dans un futur imaginaire.
    Dans un besoin de compensation.
    Les dieux bénis, les dieux merci avaient repris le sens d’un nouveau destin.
    Comme en plus l’enseignement, non seulement celui de nos éducateurs, mais aussi celui de la famille, semblait se déliter au travers des nouveaux jeux, des nouveaux médias, d’un reniement général, fi du passé et de son exemple.
    Le No futur des années 1970 avait laissé place à un No-manland.
    Tous ces systèmes d’Internet comme cette correspondance de virtualité ; offraient comme une porte étroite, parfois dissimulée, mais un passage divin. Une nouvelle perspective.
    Le manque d’avenir et le communautarisme mis en place par la déliquescence des politiques ; Lesquels plus occupés de leur petit confort, ou autre pérennité que de s’occuper du bien public et collectif.
    Les médias dans la grande marmite de l’histoire dédoublaient l’image des tenants des discours populistes et réactionnaires.
    Ils montaient en épingle le mal vivre, et la désillusion.
    L’Europe des nations avait fait place à l’Europe des économies.
    Ces peuples, qui avaient reculé les frontières se trouvaient enfermé dans ses contradictions et seuls ses dirigeants se trouvaient dans une tour d’ivoire.

    Notre règne ne savait plus distiller,ni perspectives, ni avenir.
    Aussi les forces maléfices avaient repris le dessus ; Avaient redonné des illusions, cherchaient à fédérer les nouveaux templiers des temps moderne.
    Chacun pouvait rejoindre ces croisés, prêchant, dans les déserts de l’aridité humaine…
    Et dieux dans tout ça : Il a bon dos.

    G.B.

  • Le sablier du temps.

    moiguy

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  • Ma France oh doux pays de mon enfance..!

    Je vous l’ai déjà dit : La France, par l’intermédiaire de notre « bien aimé Président » prépare la paix ;
    Et, est à l’offensive tout azimute pour : faire régner celle-ci.
    La France, enfin notre très cher Président ; envoi nos avions, ses pilotes, armés de missiles, et autre je n’y connais rien en arsenal militaire.
    Or la France, pays libre et indépendant, qui n’a de compte à rendre à personne, joue à faire peur aux terroristes de tous crins, comme aux Islamiques guerriers et rebelle sur les terres de Laurence d’Arabie.
    Cette France dont la grandeur n’est plus à prouvée, ni à mettre en cause ; Ne participe- t’elle pas fièrement à la coupe du monde de rugby.
    Ne prépare- t’elle pas la Cop 21.
    Ne préside- t’elle pas à la destinée de l’Europe.
    Oh le doux pays de Voltaire, de Rousseau, voir de Mauriac, Sartre Camus.
    Oh la France et ses monts et vallons.
    Ses fromages et ses bons et grands vins.
    Ce pays qui prétend aux droits de l’homme et s’enorgueillit de recevoir vingt mille migrants.
    Aussi ,logique qu’elle critique Poutine et ses actions, ou plutôt exactions dans ce même tas de sable qu’est la Syrie.
    Celui-ci avec une armée qui semble en imposer.
    Des moyens, qu’il faudrait trente France pour égaler.
    N’entendez- vous pas, nos avions en une seule sortie ont explosé Daesh et ses camps d’entraînements.
    Alors que ces minables Russe ont manifestement décimé la population.
    Se serait même ridiculisé aux yeux du monde.

    Ben oui :C’est là ou l’on voit la grandeur d’un président.
    N’est-ce pas ?

  • Ah le modèle économique Allemand !

    Si on en parlait ?
    Tant vanté par nos politiques, des économistes, les médias.
    Ah A Merkel et sa réussite.
    Ah le modèle social Allemand.
    Des voitures au sommet de leur popularité, de leur technologie.
    Des bagnoles tellement plus solide que nos petites Française.
    Le moteur de recherche, avec une autre conception.

    Pan sur les doigts.
    Pris les mains dans le moteur.
    Dans le cambouis.
    La triche généralisée.
    Bon gaffe on n’est pas tout blanc, les nôtres d’industriels ils s’entendent sur le prix des yaourts, ou de la lessive.
    Bon
    Un grand patron, il n’a pas de frontière.
    D’ailleurs n’ont-ils pas fait l’Europe du mensonge.
    C’est bien Mas Triche !
    Et nous guignoles ; Pantins, même pas capable de leur dire STOP, ça suffit.
    Bien sûr ils nous promènent avec les « migrants ».
    Leur monde crée la guerre, ruine des pays, des peuples et ils s’étonnent après de devoir accueillir, recueillir des êtres qui fuient.
    Ils disent Fermeture des frontières.
    Mais pour faire bonne mesure, montrer notre côté humanitaire, ils décident de devoir, pouvoir recevoir tant de ces exilées.
    Comptes d’apothicaire.
    Ils ont fui et comme une nouvelle marée noire qui se déverse sur nos côtes.
    Cette Europe qui n’avait plus de frontière, sauf si…. Alors Tel Netanyahou, tel les Américains Ils construisent à la hâte, de kilomètres de barbelé.

    Et en plus ils vont se réunir pour parler de l’état de notre planète : Non mais je rêves, ils l’à pillent, détruisent nos côtes, polluent rivières et océans.
    Et ils vont se réunir pour dire il faut changer les choses.
    Oui il faut changer ce monde.
    Virer ces profiteurs, ces pollueurs, ces tricheurs.
    C’est quoi un monde plus propre ?

    G.B.

  • Emotions

    Une feuille de papier,
    Quelques mots posés.
    Oh crayon, cri du cœur,
    Les gestes qui s’imposent.
    Idées sans suite ; Jetées là,
    Rassemblement, moments futiles ;
    Égarement, illusion d’exister.
    Phrases au long court,
    Crions notre délire.
    Simple péripétie de langage.
    Adresse désordonnée,
    Ou l’empreinte marquée
    Fragile savoir, à vouloir partager.
    Histoire de paraître, humanité précaire ;
    Apparence incertaine, compagnon improbable
    Le clavier a remplacé, Ce bout de mine grise.
    Pourtant pensée et valeur ordonnée
    L’auteur supplicie ses perfides penchants,
    Méthodique, Il raisonne ses non-sens
    Attribut la passion, de l’essence naît l’idée
    Faire avancer un tant soit peu l’histoire.
    Mon cerveau liquéfie le verbe
    Je pisse des lignes, phrase le contexte
    Diatribes mes colloques ; Exhorte mes prétextes
    Ma douleur se dilue, je touche enfin le fonds
    Je perds la raison, inerte certitude
    Je cache ma fièvre, et somme le ridicule
    J’éructe des lambeaux de peau.
    Et décroche le tableau, à peine sorti du cadre.
    Regarde l’envers, décor intérieur
    Et y cherche mon droit, l’œil au bord du vide
    J’entends bien me montrer, un tant soi peu soumis
    Comme précipice, je cherche profondeur.
    Et me jette corps perdu vers mes attirances
    Dans ce que ma vie comme perte de sens.
    Alors demain, éphémère indécence.

    G.B.

  • Ô temps suspend ton VOL !

    Pourfendeur F M I,
    Comme d’autre Merkel,
    Pas préteurs, encore moins,
    Généreuse, tout juste prêcheuse
    Crâneuse, gagneuse, elle entend,
    Comme d’autre en leur temps.
    Imposer leur diktat.
    Mettre au pas les peuples
    Semer la misère, démontrer
    Son austère fonction.
    Marchand d’armes, il faut bien
    Imposer sa vision.
    Fructueuse mission
    Encaisser la taille et la gabelle.
    Étrangler les peuples.
    Et grossir les caisses de son empire Nation.
    Prélever l’impôt
    Attentionnée suppôt,
    De ces marchands roi.
    Écoutez, c’est Merkel qui gouverne ;
    Europe, au pas,
    Elle prend sa revanche,
    De cette Allemagne de l’est
    Crée sur les décombres
    De ces ruines National Socialisme.
    Besoin de s’affirmer, envie de dominer
    Voilà qu’elle entend
    Imposer un régime
    Ô peuples généreux.
    Ton histoire plaide
    Berceaux des civilisations.
    Et ce ne sont ni Zeus, ni Homère, ni Platon
    A moins qu’un bon, Ulysse
    Ou généreuse Aphrodite.
    Tu su en son temps poser les jalons
    D’un équilibre utile
    Entre peuple et nation.
    Prêcher les vertus de la civilisation.
    Et nous laisser ton emprunte.
    Où Grèce rime avec Démocratie.
    Le pouvoir appartient bien aux peuples.
    Allez finance, reste là pour servir, Non pour te servir.

    G.B.

  • Place au peuple !

    Les Grecs, malgré pressions et manipulations se sont exprimés.
    Ils rejettent massivement la politique du FMI, de L’Union européenne d’aide et de mise aux pas.
    Pour l’heure la Grèce relance la Démocratie, et l’idée que nous en avons. Elle nous redonne une leçon.

    Enfin le peuple prend le pas sur la finance et ses lois scélérates.
    Enfin il faut croire, non pas à leur rejet du sortir de l’Euro, ni de l’Union Européenne.
    Ils veulent juste, simplement, renégocier leur dette, Voir en supprimer une partie, et pouvoir vivre.
    Mais c'est trop demandé , pour la Troïka des oligarchies financières.

    L’Europe des peuples et des Nations est entrain de prendre corps.
    La puissance de la finance comme de l’Allemagne, déniée.
    Oui l’Europe à eu chaud.
    Oui les peuples vont pouvoirs faire entendre leur voix.
    Les Grecs ont dans leur bon sens donné un coup d’arrêt aux requins qui voulaient continuer de les saigner.
    Chacun sait que les peuples ne sont pas responsable, que la pression mise par ceux qui prétendaient récupérer sur le dos de ces nations, jeux de dupes, voir des intérêts de vendeurs d’armes, étrangleurs.
    Oui il faut relancer les économies et faire que les subsides injectés servent à autre chose qu’à rembourser la dette, donc à faire vivre ce CAPITALISME étrangleur.
    Aujourd’hui, grâce au vote Grec l’Europe des nations est née.
    Aidons là, renforçons son audience ; Nous, peuple de France qui en son temps avait ; dit NON au traité de Maästrich.
    Nous Français vendu par nos dirigeants, soutenons la légitime bataille du peuple Grec.

    Oui il faut soutenir la Grèce, comme il faut aider l’Espagne, Le Portugal, L’Italie, comme il fait faire respecter pour la France le niveau d’endettent. Tiens pourquoi eux, et pas nous ? Vive le peuple et la voie qu’il nous montre ; Noble et sa parole est vrai le choix qu'il exprime.
    Les Grecs, malgré pressions et manipulations ont rendu leur verdict, sans appel, ils se veulent résolument Européen, mais prétendent VIVRE.
    Ils rejettent massivement la politique du FMI, de L’Union européenne d’aide et de mise aux pas.
    Pour l’heure la Grèce relance la Démocratie, et l’idée que nous en avons. Elle nous donne une leçon.


    Le peuple est noble et sa parole est vrai quand il s’exprime, vive la voie qu’il nous montre.
    Suivons les.

    Oh peuple souverain RESPECT !

    G.B.

  • Jeu de mots !

     

    Vos maux me pèsent,

    Et si mes mots opèrent.

    Pour vous suivre, j’obtempère.

    Un peu pervers, je soliloque ou bien je vitupère.

    Certes, je vous prends en exergue.

    Bien que j’attende de vous comme un nouveau concept.

    Le juste sens, où ce stupide prétexte

    Je vous tiens comme en laisse,

    Et me joue, de vos stupides complexes.

    J’attends calmement qu’ils s’écoulent,

    Mais pour ne pas être en reste

    Je donne l’illusion du devoir accompli,

    Parfois, simple savoir faire.

    L’homme comme l’escargot, prétend laisser sa trace.

    Laquelle révèle, comme un lourd passé.

    L’expérience conduit, comme au bout de ses pages

    À mener lecteur au profond de l’écrit.

    Tyrannie du dico, à moins que l’imposteur correcteur

    Nous offres, une pénible agonie, cherchant à semer le trouble.

    Et le conditionnel, illustre tellement mieux,

    Ce que l’avenir attend, même si le réel affiche l’incertitude.

    Obsédante histoire qui nous oblige sans cesse.

    À toujours nous reprendre, voir ressasser son texte ;

    De revisiter les anciens pour retrouver un sens.

    Pourtant les suivre comme douce astreinte.

    Car c’est bien la contrainte qui nourrit le sujet.

    Et de savoir en finir, cruel, point final.

     

    G.B.

    Vos