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Le petit coin du râleur - Page 12

  • C'est tout moi !

    Eternel râleur,

    Toujours insatisfait.

    J’ose  ambitionner ;  Non

    -          A l’exemplarité,

    -          Pas plus qu’à la vérité,

    -           ni à la représentativité.

    Comme tout un chacun,

    Mécontent permanent,

     Je revendique.

    Je prétends, j’attends.

    Je fustige, rabroue ;

    Je tance je renâcle.

    Je stigmatise, dénonce

    Je tente ; de défendre, briguer,

    Souhaiter ; c’est vrai que je demande

    -          Juste un peu d’équité.

    -          A moins qu’égalité

    -          Tendresse, douceur

    Et un peu, sincérité.

    Le savoir, n’est pas de s’étaler,

    Seulement vouloir connaître.

    Apprendre, s’ouvrir,

    Présenter, simple destinée

    Mon désir, s’il en est

    Ayez en la bonté ;

    La singularité

    Le droit de revendiquer.

    Ce que ma bile exprime,

    C’est autant de trop -plein

    D’une humeur évacuée

    Me revoici serein.

    Pourfendeur, je brise la routine

    J’incline à quelque exégèse.

    Au devoir d’exister

    Enfin de m’exprimer.

    Aussi laissez-moi résister.

     

    G.B.

     

  • A la St François !

    Quand un père Francois, rencontre un Saint Père François, eh ben ils papautent.

     

    Bof....

     

     

     

  • L'ingenue !

    Etendue, détendue, à moitié nue,

    Elle avait le regard perdu,

    De quelqu’un qui attend l’air serein.

    Elle sentait percer sur elle comme un regard.

    Emue, troublée, elle n’avait d’autre envie,

     Que se laisser aller, conquise, caressée

    Par le souffle du vent, comme bercée par la brise

    Et qui sait peut être, enfin se perdre

     Comme prise, au détour d’un chemin.

    Libre étreinte, l’indécence la surprit

    Se savoir ainsi, offerte aux passants.

    Ne se troublant pas elle garda la pose,

    Qu’importent les mauvais esprits.

    L’herbe fraîche et tendre la reprit.

    Qui semblait préférable à tout autre destin.

    Elle était vraiment seule dans ce petit jardin.

    Il n’y a pas de mal à se sentir si bien.

     

    G.B.

     

     

     

  • Petit sondage d'avant les urnes !

     

      Ainsi donc, Daniel Vachez, notre  seigneur et maître, élu et maire depuis      «  Mathusalem »

    Ose-t-il prétendre à se représenter.

    Dont-acte, et fort bien.

    Ce n’est pas qu’il délaisse sa tâche pour d’autres plus reluisante ; plus rémunératrice enviable et  autoproclamé ; Communauté de communes ! Tiens, pourquoi pas ?

    Pourtant, sur notre ville sa seule réalisation d’importance, avoir redessiné les bords de Marne.

    Encore en aura-t-il profité pour redéfinir les grands axes de notre parc.

    Fi du petit pont de tous les soupirs, détruit pour voir plus grand !

    Percement d’une zone marécageuse.

     

    Bref en ville depuis des années nous attendons, demandons un peu de lumière, un minimum de sécurité.

    Oh les études pleuvent, au grand profit de bureaux d’études à docs ! Mais pour la réalisation ; c’est à l’étude….

     

    Noiséliens, Noiséliennes il serait temps de changer et de prendre votre destin en main.

    D’autant que la rumeur, souvent bien informée prétend que, à mi mandat le maire abandonnerait son poste au profit d’un tiers de sa liste. Tiens donc !

    La même entendrait  encore qu’il aurait, enfin, faut voir, qu’il proposerait postes et responsabilité à d’autres, voir encore de cette ancienne « union de la gauche ; Socialo, écolo, communiste.». Baliverne !.

    Ainsi dans les cuisines de notre pouvoir il se prépare de drôles de plats ?

    Bon laissons leur ces manipulations, et laissons Augias à ses écuries.

     

     

    Soyons clairs, efficaces ; nous choisiront le changement.

    Amis, Voisins, et lecteurs  que l’on croisent en chemin, demain Noisiel doit se choisir une autre voie.

     

    Demain faisons entendre la notre de voix et Votons pour NOISIEL et sa population, non pour des « communautés d’intérêts ».

     

    Alors ça vous dit ?

     

  • Election sur l’air de la bêtise.

    Bientôt les solde !

    Et l’hiver qui arrive,

    Et le temps, de fourbir ses armes.

    Et  de missions en compromis,

    Les partis, font les fonds de tiroirs.

    De ceux qui délocalisés,

    Aux autres parachutés.

    De basses manœuvres,

    De  si vil ,servile pour le bien de la cause.

    A ceux plus audacieux qui prétendent innover.

    Des promesses, inutiles bêtise ; misère et pauvreté.

    De ceux qui sont acheté, à d’autres bien vendu.

    Grandeur et décadence chacun prétend en être.

    Même nos villes et le moindre village

    Servent de prétexte pour beaucoup d’y aller.

    Ils veulent donc gérer, ou bien se faire valoir !

    Ils prétendent régenter, vous guider, voir vous épauler.

    Ils entendent gouverner et donc vous diriger.

    Ils n’ont d’autres pouvoirs que de changer les plaques d’une rue.

    C’est pourtant la petite porte, pour accéder aux grandes.

    Cumulards, ils entendent préserver leurs droits.

    Nos villes les intéressent, à moins que ce ne soit nos vies.

    Avec l’hiver les feuilles d’impôts sont tombées.

    Ils attendent le printemps pour ressortir les urnes.

    Et voir vos bulletins valider leur méfait.

    Et c’est dans l’isoloir que vous pourrez aller vous faire rhabiller, ou bien même plumé.

    Ils appel ça démocratie.

    C’est vrai, le droit  républicain de voter pour ses gardiens.

     

    Et vous étrangers vous n’avez pas ce droit.

     

    G.B.

  • Noisiel, Les municipales 2014 ; Et si on changait de maire !

    Et si pour nous aussi, le CHANGEMENT ?

     

    Pareil les feuilles mortes chaque automne, Tel cette vieille grille de notre parc, immuable, nous nous sommes habitués.

    Il arrive qu’on le croise, on peut même lui parler, l’interpeler.

    Il ne fuit pas, il se dérobe.

    Toujours présent, il entend tout diriger.

    Pourtant ce, n’est jamais sa faute, ni sa responsabilité.

    Un bilan exemplaire.

    Comme le temps, comme cette perçante  « allée des bois ; Il entend traverser, regard droit devant ; depuis nos tweens towers des Totems jusque Cette base de Vaires, un horizon dégagé.

     

    Nul gène, un arbre le dérange, qu’on l’abat, une poubelle, virez là.

     

    Sans gêne il jongle avec votre argent « contribuable », une aire de jeu par ci, trois petits arbres par là. Mais le tronc d’un diamètre : tient comme cette feuille A4 Roulée, au minimum…

     

    Bon prince il vous dira : que ce n’est pas sa faute, Le SAN, La Communauté, Le Préfet…Les feuilles des arbres qui empêchent la lumière.

     Les pannes de lumière répétés ; il ne faut pas trop éclairer.

    Des petits trafics, des dealers ; où ça, qui ça, non pas chez nous ?

    L’ordre règne..

    Et deux vaches pour faire bonne mesure.

    Et cette Marne aménagée de pontons immergés, ca c’est une trouvaille !.

    Et un vieux, et très joli petit pont, sacrifié ; Il faut voir grand !

    Toujours présent, jamais responsable.

    Le marché, malmené, les marchands mécontent !.

    Des études menées par des bureaux adéquats, par des géomètres, des centres d’analyses. Des experts mandatés, rémunérés à grands frais. Tout ça pour : ….Grand seigneur, il entend déplacer des montagnes refaire sa ville, la votre.

    Nous aussi : On veut, mais par le choix du peuple, avec votre accord, votre participation citoyenne.

     

    Alors on y va, le Changement.

     

    Nous ce sera ; avec vous. Qu’en pensez-vous ?

     

    G.B.

     

  • Ces gens qui nous dirigent ou le grand pataugeoire !

    Tout le monde vitupère, nos responsables seraient prêt à s’engager, chacun y va de ses preuves irréfutables, de ses appels à la vengeance, de ses cris de haine.

    La Syrie, son chef honni convaincu d’avoir commis les pires exactions.

    Le monde trépigne, rechigne, les débats font flores, les opinions publics défavorable, même en notre pays, mais son principal responsable veut en découdre, rêve encore une fois après son imbécile intervention au Mali, pour y chasser quelques rebelles, Touareg ou autres empêtré d’Alquaïda.  Pourtant le problème demeure. Et les Maliens restés au pays essaient de retrouver une identité, de se reconstruire.

    Donc un monde hostile, pourtant ils veulent juger, condamner, voir de débarrasser de Saddam Hussein. Pardon celui-là c’est déjà fait, lors il s’agit aujourd’hui de Bachir El Asad, un compère.

    Alors haro sur l’immonde !

    Déjà que n’attendent-ils pas pour le mettre au banc des accusé devant leur fameux tribunal international de La Hay : Tiens, ils font grand bruit mais pour preuve, ou cet organisme ne sert à rien et coûte cher et n’est bon qu’à juger des, déjà condamné….

    Chambre d’accusation ; Ah bon ! tien pour rire………

     

     

     Pauvre et triste monde ; Aussi ils s’excitent et te divisent un peu plus.

    Il leur faut en quelque sorte un bouc émissaire, dans leur défouloir collectif.

    C’est donc ça nos chefs, élus et responsables nationaux. Comme ces va-t-en-guerre qui jouent aux fléchettes pour déterminer lequel ira et ; " que c’est celui qui dit, qui est " !….Heureusement que pour votre petit peuple la guerre des boutons a fait un tabac d’audience, le bas populo est-il meilleur juge que nos grands hommes ?  En tous les cas il ne prend rien au sérieux.

  • Nostalgie.

    Oh comme j’aimais nos vies, toi qui avait gravé 
    L’emprunte de bons moments ; hier, autrefois.
    Tu étais le soleil, et moi, à peine une ombre
    Je t’avais poursuivie ; Investie en passion
    Tu étais ma potion, devenue un poison.
    Bonheurs éphémères, tant de chemins parcourus
    Des mers parfois calmes coulant des soirs obscurs,
    D’autres tempêtes, qui battent le pavé
     Jeunesse bousculée, comme marins en bordé.
    Transporté sous le poids de futiles agissements,
    Les pages de mon œuvre, perceptibles tourments.
    J’ai roulé, essayé d’oublier, sinueuse randonnée
    Traversé des déserts, négligé les plaisirs,
    D’autres élans fugitifs, porteurs aussi d’oubli
    Petits matins fraîchissant dans la pâleur
    Source de vie, d’un horizon qui libère la nuit.
    L’eau glisse sur la feuille, ses grosses gouttes
    Ravinent, qui hument un matin frais.
    Ta chair est tendre, lissée par un trop long baiser.
    .Ta douceur apprivoise, ce que mes doigts caressent
    Ténébreuse convoitise qui butine le grain de l’ivraie,
    Ravie, la fleur de ta peau s’ébroue gracile,
    Je sens pointer, l’esquisse d’un jour nouveau
    La transparence te sied ; Tu sembles avoir disparu
    Nébuleuse arbitraire, tu te prends de mes maux
    Ton visage se floute comme souvenirs déchus
    Tu es  la rivière qui au file de son eau,
    Descends vers la mer, coulant son long  ruisseau.
    Pernicieuse tension, comme en suspension
    Tes largesses inondaient notre lourd passé.
    Repose, et laisse-moi en sortir ; Solitude chérie.
     
    G.B.