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Film

  • Laurence d'Arabie, (suite)

    Vous parlez d’une coalition de bras cassés, de bons à rien.

    Vous prétendez déclarer la guerre, à ce ramassis de djihadistes, une poignée de rebelle, armée par les Etats Unis bien sûr, les états du Golf entre autre, etc….

    Ces terroristes qui sèment la terreur dans toute la région.

    Et toutes les armées du monde, suréquipées, n’arrivent pas à enrayer ces quelques mercenaires à la solde de quelques illuminés se réclamant de l’Islam ; Et prétendant imposer leur charia.

    Tu parles d’une affaire.

    Et la Turquie qui à maille à partir avec les Kurdes qui ne veut pas s’en mêler.

    Et les Kurdes du Kurdistan, Syrien essayant de résister, bref la pétaudière.

    Une mèche allumée aux portes de l’Europe et celle-ci, divisée, incohérente, partagée, ne sachant quelle attitude adopter.

    Chacun veut refaire le monde ; prétendre à des traités économiques, à des prétentions d’hégémonisme ; Et alors on fait quoi, on les regarde égorger nos otages, on les laisse s’installer, dans le désert d’abord, puis conquérir les villes et villages.

    Rançonner, piller, tuer, et lapider des populations entières et eux qui s’agitent, cogitent, et puis….

    Mais attention, nous faisons des lois pour que nos enfants ne puissent passer nos frontières.

    Nous prenons des mesures, Vigipirate et autres de protections absolues.

    Pauvre monde t’es bien foutu, notre fin arrive.

     

    G.B.

     

  • Décapité !

     

    Du latin caput, ôter la tête

    D’après le Larousse.

     

    Bon encore une fois je ne voudrais pas jouer sur les mots, Messieurs les commentateurs, chroniqueurs, et pourtant journaliste !.

    M’enfin, vous nous étourdissez les oreilles, à longueur de vos prises d’antennes sur le sort des otages par ces extrémistes Musulman en croisade pour imposer leur croyance.

    Et les atrocités qu’ils commettent sur leurs otages.

    Certes je n’ai pas vu les vidéos vantant leurs méfaits ; Mais quand dans une même phrase, vous nous annoncez  : que des Djihadistes, ont encore décapité un otage….

    Que la vidéo montre le bourreau armé de son couteau…

    Excusez du peu, mais essayez de trancher la tête de quelqu’un à l’aide d’un couteau.

    Pour parler clair pour moi ils sont purement et simplement égorgés.

    Ce qui n’enlève rien à la nature du drame, encore moins à son coté tragique.

    L’acte n’en est pas moins aussi odieux, répréhensible, et condamnable.

    Mais les mots ont un sens, une portée, alors nous ne sommes pas dans ces séries télévisées Made in U S ; mais dans le réel, dans le drame.

    Et dans l’imaginaire de nos bambins cela peut révéler bien des images, bien des conséquences.

    Et pour la petite histoire j’ai l’impression de revivre un film que je vis tout môme, mais qui marqua mon imaginaire ; je veux parler de : Laurence d’Arabie.

    Atrocité et horreur ; mais à l’époque c’étaient les colons occidentaux qui menaient croisade, pour conquérir.....

     

    Alors ce langage, ces périphrases, ce parler vrai.

    Don’t act.

     

    G.B.

  • Bientôt les Européennes !

    L’aventure, c’est l’aventure !

    Je vous sais anxieux de connaître les suites de notre super production ; Après les municipales, on fait quoi ?

     D’abord, le grand ménage dans nombres de nos mairies. Un grand classique.

     Tant de dossiers sensibles vont devenir « secrets défenses », et rejoindre comme le « Bugaled Breizh » les profondeurs et de l’océan et de notre  haute stratégie du savoir faire «  made in France ».

     Ensuite vint la Valse des étiquettes, et il n’y aura pas de Valse hésitation.

     L’un se croyait un « Héros », pôvre  Jean Marc,  enlisé dans la boue de son aéroport de Notre dame des Landes; lâché, jeté par NO Lande. L’autre surgit et en trois tours de piste, un nouveau « petit Sarkozy »  qui reprit du pouvoir.

    Ô roms, roumains et autres Bulgares, prenez garde, déjà dans le collimateur ; tous pris pour des voleurs de poules incapables de vous intégrer.

    Profitez, notre nouveau premier sinistre Hidalgo, Hollandais aura plus à faire pour rentrer dans les cordes Européennes que de vous poursuivre de sa vindicte.

    Bref un répit pendant qu’il se débat dans le fiasco d’une Europe en 28 morceaux, pendant qu’il cherche à placer le prix de son autorité, et  la « grandeur de la France »

    Donc trois petits tours de Valse ;  Lequel promet de diviser nos régions par deux, de supprimer les départements. Croyant ainsi régler notre, enfin leur dette.

    Le sujet pour audacieux qu’il soit ne présente pas une affaire il y a longtemps que nos jeunes ne connaissent plus ceux-ci encore moins préfectures et sous- préfectures. Alors ?

     Cela se nomme «  la réforme des rythmes scolaires », ils disent qu’ils travaillent trop !

     Bon Manuel tel le torero tu comptes affronter le taureau France, et de piques en banderilles tel Carmen tu nous la chante belle.

    Et tes passes d’armes n’amuseront plus le peuple, lassé du grand guignol de la république.

    Vives la France, Vives le peuple Français.

    Et pour les Européennes on fait quoi ?

     G.B.

  • Ces gens qui nous dirigent ou le grand pataugeoire !

    Tout le monde vitupère, nos responsables seraient prêt à s’engager, chacun y va de ses preuves irréfutables, de ses appels à la vengeance, de ses cris de haine.

    La Syrie, son chef honni convaincu d’avoir commis les pires exactions.

    Le monde trépigne, rechigne, les débats font flores, les opinions publics défavorable, même en notre pays, mais son principal responsable veut en découdre, rêve encore une fois après son imbécile intervention au Mali, pour y chasser quelques rebelles, Touareg ou autres empêtré d’Alquaïda.  Pourtant le problème demeure. Et les Maliens restés au pays essaient de retrouver une identité, de se reconstruire.

    Donc un monde hostile, pourtant ils veulent juger, condamner, voir de débarrasser de Saddam Hussein. Pardon celui-là c’est déjà fait, lors il s’agit aujourd’hui de Bachir El Asad, un compère.

    Alors haro sur l’immonde !

    Déjà que n’attendent-ils pas pour le mettre au banc des accusé devant leur fameux tribunal international de La Hay : Tiens, ils font grand bruit mais pour preuve, ou cet organisme ne sert à rien et coûte cher et n’est bon qu’à juger des, déjà condamné….

    Chambre d’accusation ; Ah bon ! tien pour rire………

     

     

     Pauvre et triste monde ; Aussi ils s’excitent et te divisent un peu plus.

    Il leur faut en quelque sorte un bouc émissaire, dans leur défouloir collectif.

    C’est donc ça nos chefs, élus et responsables nationaux. Comme ces va-t-en-guerre qui jouent aux fléchettes pour déterminer lequel ira et ; " que c’est celui qui dit, qui est " !….Heureusement que pour votre petit peuple la guerre des boutons a fait un tabac d’audience, le bas populo est-il meilleur juge que nos grands hommes ?  En tous les cas il ne prend rien au sérieux.

  • Voyage en ton sein,

    Métropolitain,

     

    J’étais là, parmi la foule.

    Dans ce wagon bondé,

    Un bras accroché, à cette barre

    Et ton sein est venu s’y poser

    Cette multitude nous tenait si serré.

    Voyage et caresses mêlées

    Moments éphémères pourtant,

    Simple contact, furtive sensation.

    Je n’osais pas bouger,

    Mais cherchais ton regard perdu dans ses pensées.

    Tout ça ne mène nulle part.

     

    G.B.

  • Comme un vagabond, je erre !

    Comme un vagabond je erre,

    Traine misère, contemplatif

    Seule la beauté intérieure sourit, fi des apparences,

    L’habit ne fait pas le moine.

    Et je n’en fais pas un prêche.

    Je vais cahin-caha l’esprit presque en vacances

    Seul mon chien fidèle suit mes pensées,

    Il traque mes moindres gestes en attente de caresses.

    Oisif comme l’oiseau, tant qu’il a un nid

    Et quelques vers pour nourriture.

    Bien sûr l’esprit malin, le destin bien en main

    Pouvoir de se laisser aller, victoire de savoir profiter.

    Je vais de Caribe en Silla, toujours en déshérence

    Heureux, simple d’esprit et pourtant créatif,

    Simple mortel rôdant sur les abysses

    Des méandres de mon cerveau à l’affut de la syntaxe

    De la rime et du texte.

    Ma plume se laisse aller avec comme renfort

    Cette nature indomptable source de réconfort

    Ce vent qui me souffle un air frais.

    Le reflet des flaques d’eau mirant un ciel en délivrance.

    Un chétif croissant de lune, pointant le retour,

    Qui tel un ventre de femme, enflera pour devenir toute ronde

    Moment ou le jour se partage, il invite la nuit

    Qui tendra son long voile,

    Comme on tire à soi le drap du lit.

     

    D’autres préfèrent rouler leur bosse,

    Nantis persuadés d’être quelque part arrivés

    Ils se privent de cette liberté ; bien sûr notoriété

    Leur pouvoir, conquis de hautes luttes

    Leur savoir, en chiffre rond,

    Monnaie sonnante et trébuchante

    Leurs dix commandements :

    Gagner, profiter ; amasser ; presser, courir, abattre.

    Récolter, piller, escroquer, empocher.

    Sinistre noblesse d’une éphémère réussite.

     

    Alors l’homme libre relève la tète,

    Tu es trop riche pour te comparer à eux.

    Va et profite du bon temps, la nature t’appartient ;

    Ton regard enveloppe tout ce qu’il t’est donné

    Présent je t’offre les bienfaits d’un bonheur simple,

    À toi de savoir le mériter.

     

    G.B

     

     

     

     

  • Amis poètes, fais nous partager !

    J’aimerais partager et même te faire aimer, tous ces mots du passé.

    Tant de pages, si pleines, sous ces écrits puissants.

    Miroirs de nos âmes, ils peuvent te ressembler

    Comme des mirages, sur grand écran te feront cheminer

    Ces lectures découvertes t’invitent, sage réflexion

    Au calme d’une prairie, à la ténébreuse nuit.

    Voyages au gré des vents, comme après un orage

     Tu te retrouves sauvage ou bien plus qu’indolent.

    Tu ressens cette emprise et ces sages moments

    Tu sais le bruit des vagues, tu aimes ces tourments.

    A moins que comme cette page, tu sois  roseau pensant.

    Ces lacunes d’un esprit  sec comme la trique.

    Pénètre donc ce temple,  ne soit pas si critique,

    Vois ces penseurs sereins, pourtant esprits malins.

    Ils t’offrent leurs richesses et grandissent ton empire,

    Guide sous influences, apprécie ces largesses.

    Pour pas mourir idiot, ouvre donc toutes ces œuvres

    Enrichis-toi, de ces mots du passé, que tu crois dépassés.

    Apprends, laisse toi pénétrer, lis donc tous ces récits

    Que ces mots images impriment ton cerveau

    Comme l’aventure humaine, ce film déroule son empreinte

    Te voilà cinéaste montre nous tes penchants.

    Tant de scénarios écrits, que nous sentons vivant

    Tu n’es plus un corps vide, tu nages désormais

    Vers les richesses de nouvelles expériences,

    L’histoire te tiens et tu attends la fin

    Laisse toi guider, et peut-être emporter

    Vers les sommets des uns, la profondeur des autres.

    Il n’est pas de valeurs que l’on ne veuille surmonter,

    Il n’est pas de talents que l’on ne puisse aimer.

     

    G.B.

     

     

  • Vox populi.....

     Et vous, vous dites : « Plutôt François Hollande, ou Martine Aubry ?».

    Fini ces préoccupations on n’entendra plus cette interrogation.

    Vox populi aura mis fin à ces tergiversations à toutes ces questions.

    Il reste des perspectives, des heures sombres des longs débats, énormément de persuasion. Fini nos médias occupés tant d’interrogation,  lequel sera le meilleur. L’espoir ? va-t-il réussir à virer le petit Nicolas ?

    Après ce match il nous reste la coupe du monde de Rugby pour une dernière ligne droite, et l’on va enfin pouvoir retomber dans le marasme des affaires, des nominations placard.

    Pire dire que Liliane Betancourt qui déjà ne payait pas d’impôts en France, mieux même qu’on lui rétribuait des subsides ! dame faut bien qu’elle vive et paie ses charges !

    Bon enfin elle risque de nous quitter ; Non pas mourir, mais partir.

    Comme Johny l’idole des jeunes !

    Tiens il paraît que les Suisses vont construire une maison de retraite pour vieillards séniles. En plus là-bas ils peuvent aussi être assistés dans leur mort. Ah bon !

    Alors bon vent….

    Donc la droite reviens, pas aux affaires elle y est déjà.

    Non tu veux dire devant, ou derrière nos écrans, les micros.

    Nous n’avions même pas remarqué qu’elle en avait oublié le chemin.

    Donc «  Wait and see » Le peuple est seul juge……..

    Tu parle Charles !

    (Oui j’aime cette expression).

    A plus fidèle et courageux lecteurs.

     

    G.B.