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Le petit coin du râleur - Page 7

  • Quelle tragédie !

    William Shakespeare n’aurait rêvé meilleure situation pour écrire ses grandes tragédies lyriques.

    François Hollande en Hamlet tué sur la place publique par une maîtresse éconduite.

    Voilà bien l’histoire qui occupe le peuple.

    Il ne pourra faire comme sous la pluie, rester impassible.

    Que les sondeurs le foulent au pied, que l’opinion le traîne dans la boue ; Il n’en reste pas moins présent, Président incontournable, parmi, les grands de ce monde, de ces plénipotentiaires qui prétendent à régler tous nos problèmes.

    Que, combine, dans la même journée il annonce la suspension de la vente des vedettes à la Russie.

    Ou un simple report !

    Que membre de l'OTAN, il gesticule à l’unisson des durs, intégrant l’Ukraine dans les sphères de cette organisation, qui pourtant n’en fait pas partie.

    Bon ceux-ci piégés par les mirifiques propositions de l’Europe, comme du FMI, se livrent pieds et poings liés, alors que Poutine voudrait conserver ce diable de pays dans son giron, sous sa coupe, classique.

    Que Obama impuissant, à régler ses propres affaires  essai d’entraîner, les autres pays derrière sa bannière pour redorer lui aussi un blason quelque peu défraîchi.

    Triste monde, tristes sir ; Pauvre peuples.

    Shakespeare au moins avait du talent, et ses personnages sonnaient juste.

    Nos hommes politique d’aujourd’hui jouent  plutôt «  plus belle la vie » C’est pas beau hein.

     

    G.B.

  • Au nom de la rose!

    Alors que la rentrée scolaire n’a pas encore eu lieu, quelques élèves, un tant soi peu indisciplinés  se seront vu jetés dehors, sans autres préalables.

    Des élèves bien sur quelque peu chahuteur, voir frondeur.

    M’enfin de bon petits, juste un peu « cabots ».Et leur comportement ne risquait pas de troubler outre mesure les fondements de notre système, ni l'ordre de la république.

    Bien sur l’histoire est regrettable, certes ils avaient été prévenus que,  à la première nouvelle incartade, ce serait le renvoi pur et simple.

    Bien sûr leur avenir n’est pas en jeu.

    Cependant la manière…Notez, Monsieur le Procureur qu’en outre ils étaient de bons élèves, que leurs familles des gens très bien, très comme il faut, et cultivé, je pense que cela nuira à la renommée de votre établissement.

    Evidement le proviseur …. Bien sur le directeur pourront toujours argué que ces individus par leur comportement mettaient l’équilibre de la classe en péril.

    Voilà, il n’est pas toujours bon d’être les premiers de sa classe.

     

    G.B.

  • Valse ou le grand Guignol !

    A remémorer mes souvenirs  d’enfance ; Et ne dit-on pas que plus on vieillit, plus on retombe dans cet état.

    Donc, rappelez  vous, vos sorties pour aller voir et entendre Guignol.

    Eh bien E. Valse notre, ancien, future premier ministre à « la gueule de l’emploi ».

    Il incarne dans son physique, comme dans son parlé cette égérie de notre enfance.

    Il singe à merveille ce « Gnafron ».

    Voilà ce que je ressens quand je vois, quand j’entends les bouffons qui nous dirigent.

    La France se donne en spectacle. Nos dirigeants organisent des pitreries.

    Pourtant cella pourrait se révéler  comique si la vie, l’avenir de millions de nos concitoyens n’était en cause.

    Que cette pseudo gauche mène une politique de droite, aux services des nantis et du Capital ne nous change guère de ce que faisait son prédécesseur, le petit Sarkozy.

    Que cette politique Européenne serve les patrons et qu’ils s’en réjouissent  allant même à demander encore plus de désindexations, encore plus de dérégulation, toujours plus de cadeaux, cella n’est pas nouveau.

    La rigueur morale et celle de nos dirigeants n’a rien à voir.

    Mais les sacrifices imposés aux  couches populaires,  les petites entreprises qui se meurent alors que l’état fait des cadeaux royaux  aux grands groupes, est une honte pour ces nantis.

    Les jeunes qui malgré les discours sont laissés pour compte.

    Il faut changer tout cella, il faut abandonner cette Europe qui ne réclame que ruine et   méfaits.

    Il faut relancer la croissance, en valorisant le travail ; Rendre les gens responsable.

    Il faut  refinancer des grands travaux, porteurs de lendemains  et de développements.

    Il faut reconstruire un tissu sociale, donner de l’avenir à notre population.

    Favoriser la recherche.

    Les grands patrons ont ruinés notre pays le menant à la faillite, ils ont sabordés les entreprises, pillés les  richesses et ils accusent les salaries, alors qu’ils les jettent par milliers dans les poubelles de leur profits.

    La France hier qui construisait le TGV, achète ses trains au Canada.

    Bradant des  fleurons d’entreprise comme Alsthom, et autres.

    Il faut que  l’argent du capitale, ces sommes monstrueuses,  versés en dividendes aux actionnaires par les  grands groupes doivent être mis pour développer la protection sociale, et développer la médecine en lui donnant les moyens, comme l’éducation.

    Bref je ne suis pas économiste, et ceux-ci d’ailleurs n’ayant pas réussi dans leus analyses  comme le montre leur bilan.

    Ouvrons la sixième république pour l’avenir, pour tous, mais surtout pour ceux qui souffre de ce monde malade, de ses dirigeants incapable. Si l’ENA et autres grandes écoles conduisent aux résultats affichés, alors renvoyons les sur le banc des écoles, primaires certes ; mais bonne pour l’entendement et le résultat.

     

    G.B.

     

  • Dommages, non domage !

    Putain de guerre, Oui  bien sûr les Palestiniens pouvaient ‘ils continuer de survivre dans une enclave entièrement contrôlée, au bon vouloir de cette puissance occupante, qu’est l’état Hébreux, aussi la trêve, juste un répit.

    Leurs  geôliers, cette puissante armée Israélienne prétend les faire plier, les mettre à genoux.

    Cette armée, équipée de Chars, d’avions de combat Américain F 16. Cette armée, équipée par les états unis.

    Ce  pays qui maintient sous sa botte tout un peuple, une nation, enfermé dans un camp pour les contrôler, pour les asservir, pour les maintenir esclaves, les réduire, les détruire.

    Aussi  ce peuple Palestinien a t’il  le choix,  sinon, de se rebeller, que de mener des actions de libération.

    Oui ils tirent des roquettes pour montrer leur détermination.

    Ils réagissent et se défendent comme ils peuvent, à coup de pierres, comme dans les précédentes intifada, ils manifestent, et se terrent, mais ils montrent à l’opinion internationale que même à genoux, ils se battront, défendront et leur honneur et leur intégrité, et que ce n'est pas même la plus puissante  des armées qui les ferra plier...

    Voilà un peuple digne.

    Voilà une cause juste.

     

    C’est sûr Palestine vaincra, montrons leur notre soutien.

     

    G.B.

  • Le retour !

    Ouf ça y est je viens de réintégrer  mes pénates.

    Satisfait  de trouver un peu de calme.

    Il paraît qu’une trêve durable ait  lieux, entre l’armé de l’état Hébreux, et la population martyre de Gaza, comme de tous les territoires Palestiniens occupés ; et  semble se poursuivre. Et permette d’envisager un retour à un calme, lequel  bien que précaire soit pour la population une pause pour compter leurs morts et panser les blessures.

    On nous montre les images de soldats quittant avec leurs chars, ce qui semble être un monstrueux charnier, champs de ruines, désert de vie, les journalistes ont beau nous dire que la vie reprend, certes quelques âmes errantes  sur les décombres à la recherche, ou d’un proche, ou de quelques affaires semblent  montrer l’espoir  quand tout est à reconstruire, quand tant de vies, anéanties ; broyés.

     Tous  ces êtres pourtant courageux, qui n’espèrent que vivres et quitter les ruines qui n’attendent pour ceux qui rentrant chez eux souhaitent retrouver  ce calme précaire, ce semblant de sécurité que laisse entrevoir l’arrêt de ce pilonnage, de cette hécatombe de vie, de ce crime contre l’humanité.

    Cet acharnement mis par l’ennemi, cet état, ou la loi du talion prend toute son ampleur, ou l’histoire qui se retourne, prétend anéantir un peuple, une nation.

    Ceux- là même dépossédés de ces lieux, car la création de l’état d’Israël en 1947, sur la terre des Palestiniens.

    Désormais, ce sont bien les Israéliens qui sont devenus des  bourreaux nazis, et si, les dirigeants mondiaux n’ont pas la volonté, ni  le courage des les juger, le temps viendra ou ils devront rendre compte de leurs méfaits, et payer pour leur barbarie.

    Ces opprimés d’hier, sont devenus les bourreaux, et leur volonté affichée, manifeste de détruire, d’anéantir une population démontre qu’il est nécessaire que l’opinion internationale, comme les plus hautes autorités doivent non seulement réprimander, mais condamner et  punir l’état hébreux qui n’à aucune légitimité sur le territoire Palestinien.

    Il est urgent voir impératif de revenir aux frontières d’avant 1967, date ou l’état belliqueux et revanchard  Sioniste à commencé par la force de conquérir et déposséder l’état Palestinien.

    Les états Unis qui prétendent à diriger le monde, comme l’Europe qui souhaite s’imposer comme grandes nations feraient  bien de prendre les mesures qu’imposent une telle situation, et  agir pour une paix durable.

     

     

     

    G.B.

  • Vous avez dit condamnation !

    Comme chaque jour, à l’écoute du monde, de ses nouvelles ; Toujours sur ma radio préférée, il paraît en plus que c’est la plus écouté des Français, en tous les cas il y à un minimum de pub.

    Donc ce matin encore alors que des nouvelles  toujours plus dramatique de Gaza ; ou les morts s’ajoutent aux morts.

    Invité Madame TAUBIRA ministre de la justice, à trouvé honteux l’état d’esprit des Français, scandaleux leur réaction hostile au gouvernement Israélien, a justifié les condamnations de  manifestants ;  Pas un mots sur le sort infligé à cette population, à ses enfants.

    Compassion, connais pas ! Elle ministre soutien d’un gouvernement …

    Il semble qu’elle est ministre de la Justice !

    Heureusement quelques heures plus tard dans une autre  émission, un autre invité, ancien ministre Roland Dumas à déclaré que si Benyamin Netanyahou, le premier ministre de l’état Hébreux avait des enfants et des petits enfants, il ne devait pas dormir tranquille ! C’est le moins  que l’on puisse dire….cella vaut malgré tout  comme prise de  position.

    Alors c’est pour quand une condamnation de cet état pour crimes de guerre, et la condamnation de ses dirigeants par le tribunal international ! Que l’on sache s’il y à une justice.

    Quant à OBAMA, yes you can, il en peut plus, Bon à rien ; il tient à finir son mandat sans emmerdes.

     

     

    G.B.

  • Crime de guerre,

    Des F16, contre des gamins qui jouent dans la rue, Un hôpital bombardé....

    Des morts encore civils ; Pour quoi? Pour qui ? Là bas tout n'est que ruine.

    Mais on nous rabâches les oreilles de sanctions contre Poutine.

    L'Europe accentuerais la pression.

    Foutaise, nos dirigeants se moquent des victimes.

    Hollande déclare trois jours de deuil national, pour un avion qui s'est scratché.

    Celui-là même qui joue au petit soldats dans le désert.

    Ce monde est bien coupé en deux ; Il y à les pourris qui nous dirigent, et d'autres qui se font tué.

    Si les Hugo, Zola vivaient à notre époque, eux au moins ils crieraient leur indignation.

     

    G.B.

     

     

     

     

     

  • Carte postale !

    Je ne vous ai pas abandonné, simplement pour quelque temps j'ai délaissé, mes bords de Marne, ses coulées verdoyantes, ses frais ombrages, ses longues traversées souvent savamment aménagées ; les cygnes, canards ou poules d’eau piaffent, glissent et s’ébrouent signifiant leur prédominance en ces lieux, et en totale liberté, il n’est pas rare de croiser des familles entières, deux parents protégeant une suite de petits. La nature à ses lois, à ses droits.

    Ces pistes partagées en même temps par des cyclistes, en mal de vitesse, de chrono, joggeurs ou simples promeneurs en famille, ou traînant quelque chien la langue bien pendante.

    Comme ses chemins qui mènent toujours vers un bord de l’eau, voir d'une autre eau  ; Comme ce chapelet de lacs ou étangs.

    Ces bases, nautiques abritent des centaines d’espèces d’oiseaux, et ces étendues liquide constellées d’êtres vivants, éternel mouvement changeant, au gré du temps, au gré des vents, miroir qui assombri, ou s’éclaire du ciel.

    Cette rivière au repos, coulant tranquille laissant voir dans son peu de profondeur ; ses fonds de roches et d ‘algues, toute transparence ; Des poissons passent sous le regard.

    La nature toute simple, parfois arrangée mettant en valeur ses herbes aquatiques aux fleurs chatoyantes, les violets se sèment de jaune, étrange complicité d’un milieu si bien organisé.

    Certes l’homme n’y est pas pour rien, cherchant à cadrer, à canaliser, des débordements que dame nature sait improviser.

    J’ai momentanément délaissé nos citées dortoir, de ceux qui pour mieux nous loger, se sont éloigné ; RER Grande banlieue, portant une demi heure de ce cœur capitale, de ces halles châtelets. Que tant de gens traversent, lieu de passage, gain ou perte de temps, car pour nos Parisiens il n’y à que cela qui compte.

    Une demi-heure pour avoir la tête dans les étoiles, les pieds dans la verdure, et les oreilles au repos.

    Et nos poumons qui se lâchent retrouvant un peu de cet air qui hume l’herbe fraîche. Paris banlieue, même combat, ou plutôt, s’ils courent en ville, pressés, oppressés, ils rentrent dormir, reposer leurs membres, leur cerveau.

    Se vider pour se reconstruire ; pour étrange enfer du quotidien, et leur week-end sera comme cette banlieue, moment de détente, lâcher prise, oublier l’ordinaire, ils n’hésitent alors pas à se payer des heures de voiture, pour s’éloigner encore ; fuir toujours.

    Donc pour raisons de vacances ; j’ai délaissé mon coin, et ma niche, et quelque deux heures et demi plus loin, sous un même ciel aquatique, chargé chape de plomb, couverture jetée comme pour cacher la tristesse du monde.

    J’ai pourtant traversé la Loire, là ou les présentateurs météo, estiment la température sensiblement supérieur. Cette limite nord, sud, trait d’union comme de désunions, symbole d’une France coupée en deux.

    Cette Loire avec ses longues langues de sable, qui se remplit aussi vite quelle se vide, mais dont les hauts murs la bordant montrent que cette grande dame peut avoir de terribles colères, et qu’il vaut mieux protéger ses alentours que, de lui laisser libre court.

    Ce fleuve encore qui donne à ses vins de Loire ce coté léger, pourtant confortable, parfumé comme ce Vouvray, comme chargé des craies de ses falaises qui se jettent dans cette eau Loire..

    Vin de tendresse, de fraîcheur, et petit moment d’extase. J’ai changé mon courant pour d’autres files de l’eau, pour cette démesure Loire, et gloire. J'apprécie ses largesses, mais m’inquiète de ne pouvoir joindre l’autre rive… Il faut dire que pour la traverser, des ponts existent, monstre de béton, de ferraille et de bruit ; Des trains de camions y défilent en permanence.

    Autoroute A 10, finie nos routes, toile d’araignée desservant les moindres hameaux, ceux-ci disparus pour cause de modernité, pour raisons, au service des grandes villes ; Par déraison des hommes privilégiant la vitesse, et le temps gagné, au temps de vie, à ces moments précieux ou l’on retrouve la nature, aussi on ne traverse pas la Loire ou à bon escient, il faut de bonnes raisons, y être invité, convié.

    Mais on la longe pour aller de châteaux en demeures princières.

    De jardin ; en parc, la Loire d’un autre siècle ou l’on comprend le temps des calèches, celui qui n'avait encore rien à voir avec l'argent.

    Et la ville accueille mes errements. Forte et confiante Tours se préserve surtout de ce fleuve dormant derrière de longs et terribles murs.

    La vieille ville préserve ses secrets, cache des remparts, honore un Cèdres plusieurs fois centenaire, et dont les soutiens, étaies comme des échasses, l’aident à se tenir encore debout.

    Et toutes ses ruelles pavées de lourdes pierres noirs, pour déboucher enfin au pied de cette cathédrale, monument gothique flamboyant, je dirais même exubérant, c’est comme une dentelle, trop chargée, lourde et pourtant pleine de finesse.

    La grandeur dédiée.

    Histoire d’un passé, comme un diadème posé sur la ville.

    Voilà ou je me suis échappé, comme réfugié, privilégié j’arpente d’autres cieux ; D’autres lieux.

    Souvenirs, amitiés.

     

    G.B.