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Argent

  • C'est un scandale...!

    Certe je suis un vieux con, et je le revendique.
    Désolé, jeunes gens, mais il y à quinze ans, vingt ans, Ces mots résonnaient.
    , Un certain Georges Marchais Secrétaire du PCF de l’époque aimait comme les journalistes vitupérer et caractériser les faits de son époque.
    Maintenant jeunes, maintenant les anciens, les affaires pleuvent, les faits de sociétés inondent notre sphère médiatique, bien pauvre d’ailleurs et seulement, toujours si un, des lanceurs d’alertes à corps défendant « balance » quelques affaires d’argent.
    Hier : Panama papers, aujourd’hui Paradise papers, bref l’argent salle, ce papier mal ou trop bien placé qui échappe aux fisc et mettent nos peuples en périls.
    Trois petits tours de médias et l’actualité passe.... .Un jour nouveau, Demain ce sera quelle appellation, le principe reste le même, les profits aussi rassurez vous !
    Et nos hommes politiques jurant mais un peu tard qu’on ne les y reprendrais plus.
    Ben Oui, bien sur, craché juré, si j ment je vais en enfer….
    Dormez sur vos deux oreilles, et en paix chers capitalistes, Un journaliste passe, trois petits tours et puis s’en va….
    Alors vous aviez dit c’est un scandale…..Il paraît que c’est ça l’Europe…Alors..


    G.B.

  • Le prix de la ville !

    Mesdasmes, Messieurs,
    Ah ces fins de mois difficile, Ces budgets étriqués ou il faut compter, compter, repousser certains achats, pour une facture de gaz, d’électricité en augmentation.
    Et la paire de chaussure du petit, éculés et déjà presque trop petite, ça n’a l’air de rien, mais c’est encore entre quinze et vingt euros qui s’ajoutent.
    Ah toutes ces augmentations, 03 % à l’année qu’ils disent. Le panier de la ménagère, mon cul, mais c’est vrai que ces gens-là ils font pas les courses, tiens rien que le pain en début d’année 10 %¨d’un coup, on appel ça se faire rouler dans la farine !
    Alors leurs comptes ils les arrangent comme ils veulent, n’empêche !
    Tu parles on ne compte pas les sous de la même manière ; Pour sûr !
    Pendant ce temps, tiens, ils viennent de couper des arbres, ça faisait vingt ans qu’ils avaient été plantés, commençaient à être beau, respectables.
    Et ils nous mettent un panneau, ils vont refaire la chaussée, mettre des pavés, on voudrait bien leur jeter à la figure ces pavés, tout ça pour 250.000 euros, ben tient c’est avec nos impôts, facile pour eux, pas dure de gérer leur finance, ils pensent que c’est pour ça qu’ils ont été élus.
    Bravo, Ah oui j’oubliais profession Politien.
    On appelle, ça aussi des gestionnaires.
    En place pour dépenser notre argent. Voilà où vont nos impôts, vous savez que tous les ans sont programmés des gros travaux. Pour cause ?
    On En plus c’est l’entreprise, Jean Machin,qui hérite du chantier, tu crois qu’ils vont faire comme quand ils ont refait nos bords de Marne, un revêtement tout fissuré, il y à trois ans cet entreprise avait déjà récolté 500.000 euro d’argent publique ; Bizarre non ?
    Et puis, la communauté d’Agglo, qui décide, fait faire les études, et, est maître de l’ouvrage ; tiens un financement louche. Ou une manière de s’auto- financer ; Pas con non !
    Bon de toute façon c’est eux qui commandent, alors que faire.
    Au moins parler dénoncer, dire raconter, informer.
    Qui sait un jour une vie propre dans un monde honnête, allez jeunes je vous laisse ce monde pas beau hein !
    Et pourtant toi tu n’as pas de boulot, alors tu la fermes toi aussi.
    Eux ils sont payés pour ça.

    G.B.

  • Ô temps suspend ton VOL !

    Pourfendeur F M I,
    Comme d’autre Merkel,
    Pas préteurs, encore moins,
    Généreuse, tout juste prêcheuse
    Crâneuse, gagneuse, elle entend,
    Comme d’autre en leur temps.
    Imposer leur diktat.
    Mettre au pas les peuples
    Semer la misère, démontrer
    Son austère fonction.
    Marchand d’armes, il faut bien
    Imposer sa vision.
    Fructueuse mission
    Encaisser la taille et la gabelle.
    Étrangler les peuples.
    Et grossir les caisses de son empire Nation.
    Prélever l’impôt
    Attentionnée suppôt,
    De ces marchands roi.
    Écoutez, c’est Merkel qui gouverne ;
    Europe, au pas,
    Elle prend sa revanche,
    De cette Allemagne de l’est
    Crée sur les décombres
    De ces ruines National Socialisme.
    Besoin de s’affirmer, envie de dominer
    Voilà qu’elle entend
    Imposer un régime
    Ô peuples généreux.
    Ton histoire plaide
    Berceaux des civilisations.
    Et ce ne sont ni Zeus, ni Homère, ni Platon
    A moins qu’un bon, Ulysse
    Ou généreuse Aphrodite.
    Tu su en son temps poser les jalons
    D’un équilibre utile
    Entre peuple et nation.
    Prêcher les vertus de la civilisation.
    Et nous laisser ton emprunte.
    Où Grèce rime avec Démocratie.
    Le pouvoir appartient bien aux peuples.
    Allez finance, reste là pour servir, Non pour te servir.

    G.B.

  • Tous des Charlots,

    Oui, la France est bien un pays de Charlot

    La récupération va bon train ; Et le politique toujours prêt à s’engouffrer, pire à utiliser le moindre prétexte pour redorer son blason, pour illusionner ce peuple.

    Oui vous, petit fils et arrière petit fils de Voltaire, revendiquez votre part de cet héritage du traité de la tolérance.

    Vous dont la cote de popularité fluctue au gré des courants, vous qui vous honorâtes d’avoir sauvé la France de je ne sais quel péril terroriste.

    Quand trois gamins en rébellion prétendaient jouer aux gendarmes et aux voleurs.

    Et préféraient mourir que vivre votre vie, du moins celle que vous leur proposez.

    Vous et votre cour qui vous prétendez rassembleur, lors si le monde pour figurer dans votre vitrine défile derrière votre bannière ; Laquelle prétend rassembler des assassins, comme des pourfendeurs des libertés.

    L’ignominie comme état, et l’hypocrisie comme statue.

    Et fière prétendez montrer au monde le chemin, de l’honneur.

    Vous qui, pauvre France, amusez le peuple et le tient sous le joug de la médiocrité, vous qui entraînez notre monde dans la spirale du déclin de ce Capitalisme, de cette société libérale avancée.

    La pourriture gagne, et l’état de déliquescence de notre monde n’offre ni avenir, ni perspectives.

    Pourtant vous accentuez la pression, vous bradez notre hégémonie, et détruisez nos valeurs.

    L’état de servitude au profit des plus influent, des plus en vus ; Ces riches qui réduisent la planète, et la brûlent à petit feu.

    Et face à toute cette misère, les banlieues, les jeunes se rebellent et cherchent d’autres voies, d’autres issus.

    Parfois leur regard se tourne vers des précheurs, d’autres illusionnistes.

    Un monde face à l’autre.

    Et si le rêve ne leur suffit pas ils pensent trouver des certitudes dans cette échappatoire, dans ce rejet, dans cet autre monde. L’ignorance comme la misère engendre des dégâts, attention à ce que ceux-ci ne soient pas irréversibles.

     

    G.B.

  • Humeur du jour !

    Et donc notre quotidien reprend le dessus.

    Besoin d’assurer la transition entre ce jour et son lendemain. Histoire de gérer une continuité.

    De retrouver cette stabilité, cette offre imposée, cet ordre du jour au lendemain.

    Ah oui ! Les valeurs ; le sens des mots, le rythme d’une phrase.

    Ce besoin d’enfanter un jour nouveau. D’exister, de se révéler.

    Tiens comme ça hier dans cette manif, contre, pour,  qu’importe j’y étais.

    Anonyme, un parmi d’autres, un entre ces 2500 remarqués par nos CRS Compteurs, et ces 100.000 reconnus par des organisateurs, pas très organisé.

    Un début qui n’en finissait pas de démarrer, semblant attendre, quelques impulsions. Un mot d’ordre. Un chef ; une tète.

    Pourtant des gens, cette foule qui piaffait, prête à en démordre, volontaire pour en découdre.

    Arrogante envers ce pouvoir qui les malmène.

    Intransigeante, face à ce défi, cette Euro-punition imposé par un régime en mal de fric.

    La domination se cet argent roi !. Money  is money.

     

    Que vives et leur servent les dividendes, pendant que d’autres tristerons leur quotidien, cherchant, même pas à joindre les deux bouts, juste d’assurer une subsistance, service minimum. Juste à vivre encore un peu.

    .

    Et comme d’habitude l’on nous annonce des cadeaux, Milliards pour les patrons, La générosité coule à flot, pendant qu’ils cherchent,

     Milliards d’économies, de restrictions, de coupes sombres.

    Ce monde coure à sa perte, notre planète déjà gâtée par leurs saloperies réduisant notre potentiel de vie.

    La température se réchauffe.

    Les dividendes s’accroissent. La misère explose, les riches pavoisent.

    Terre de tous les défis j’ai marché pour toi, pendant que d’autres marchent sur la tète.

    Comme, et avec d’autres je me suis levé.

    Demain, ne sera pas pour moi, mais pour nos enfants, et quelle sera la mesure de la dette que nous leur léguerons.

    Celle des banques, ou celle de notre climat.

     

    Pourtant ils, certains ont voté. Ils disent démocratie.

    Beaucoup se sont abstenus.

    Certains sont descendus dans la rue manifester.

    D'autres, ont regardé la télé.

    Et vous ?

    Alors !.

     

    G.B.

     

    .

     

     

  • Pauvre Monsieur Sarkozy......

    Je retranscris ci aprés l'intégralité d'un billet donné par une voisine.

    Le contenu pour amusant qu'il soit me semble éloquent, et je vous fais partager.

    Pauvre Monsieur Sarkozy,

     Permettez à une grand-mère de 77 ans de vous interpeller.

    Vous devez être, bien mal entouré et vos ministres pas très dégourdis.

    J’ai travaillée toute ma vie comme serveuse, et croyez moi à l’époque nos maîtres étaient dures, et il fallait se lever tôt.

    J’ai aussi élevé mes deux enfants seule et sans beaucoup d’aides.

    Je suis fière de pouvoir dire qu’aujourd’hui ils travaillent tous les deux, et m’ont donné de beaux petits enfants.

    Pourtant je vous écris car retraité je gagne 1000 euros par mois, croyez moi il faut pas faire de folies, car même si mon loyer est pas trop chère il me prend quand même la moitié de ma pension, et je ne touche que 25 euros d’aide pour mon logement, pourtant je ne dois rien à personne.

    Sans compter que la mutuelle comme les médicaments c’est très cher.

    Alors mes petites filles disent que vous voulez encore augmenter la TVA.

    Moi j’ai votée pour vous en 2007, vous disiez améliorer ma vie et nettoyer ma cage d’escalier de tous ces jeunes qui font rien de la journée que du bruit avec leur scooter, et qui me traitent de vielle folle.

    Dites à vos ministres que nous les vieux on peut plus vivre.

    Mes petites filles disent qu’il faut pas que je vote pour vous, que vous prenez tout l’argent des pauvres, que vous appelez ça la TVA sociale.

    Comprenez Monsieur Sarkozy que je sais plus quoi faire, et en plus il parait que vous voulez vous débarrasser de nous, c’est pour ca que vous avez fait la grippe H1 je sais plus quoi, que madame Bachelot elle voulait tous nous piquer.

    Je vous en prie arrêtez toutes ces bêtises qui nous embêtent.

    Excusez une vielle dame de vous avoir dérangé.

    Au revoir Monsieur le Président.

     

    Georgette.

     

     

    P.S : J’ai demandé à ma petite fille de taper cette lettre sur l’ordinateur pour qu’elle soit plus propre."

  • Comme des Robinsons....

    Robinson,

     

    Honni soit leur argent et leur cupidité

    L’homme esclave, consomme et veut tout posséder

    Illusoire penchant à prétendre l’argent roi.  Pauvre civilisation qui brule ses richesses

    Leur faiblesse de vouloir tout posséder, tout piller, tout contrôler.

    Notre monde se meurt, leurs déchets sont toxiques, les eaux polluées sinon empoisonnées, en tous les cas très trouble.

    Ils ont vidés nos océans, drainés les fonds.

    Ils abattent les forêts, le désert gagne.

    Ils font fondre, Arctique et Antarctique ces réserves d’eau, l’avenir de notre humanité

    Ils brûlent l’atmosphère, et prétendent conquérir, bien plus que leur planète.

    Rien ne trouve gré que leur avidité.

    Le pot de l’amitié érigé en valeurs, et vous devenus des voleurs.

    Vous ne savez plus que le mal, vous battre et même gagner.

    Minable conquérant, vos penchants nous poussent à la ruine et à la destruction.

    C’est ainsi que naissent les guerres, comme toutes vos saloperies.

    Que celles-ci soient commercial, religieuse, ou bien encore ethnique

    Ils prétendent au Paradis, mais construisent l’Enfer.

    Décadence ils savent pourtant que notre monde va à sa perte.

     Les civilisations passées prétendaient au sommet, mais se sont écroulés.

    C’est leur intelligence, paraît-il qui les poussent, les font se dépasser.

    Leur bêtise tue les talents comme ils pillent  nos richesses.

    Qu’il est beau le bonheur de deux êtres qui échangent, partagent, donnent, aiment.

    Ils sont riches de leur largesse.

    Heureux les Robinsons, qui trouvent que le bonheur c’est de vivre simplement.

    Leurs servitude est le temps, levé, couché, trouver de l’eau des fruits murs et même faire bonne pèche.

    S’ils ont besoin de papier ce sera pour allumer le feu, ou pour quelques- autres besoins.

    .

    Comme des Robinsons retrouvons nous sans rien mais libre et peut être plus malin.

     

    .G.B.

    .

  • Des sous pour les banques........

    Bon sang, je reprends la plume, enfin à notre époque il s’agit plus généralement du clavier, bref  comme disent souvent nos journalistes une chose me taraude, ainsi le citoyen ordinaire, vous moi simple quidam, ceux qui ne jouent pas en bourse, ceux qui n’ont rien ou pas grand-chose, ceux dont leur seul pouvoir reste de travailler, de s’échiner pour

    -         Ramener leur paye, et faire ainsi chauffer la gamelle, enfin simple subsistance.

    -         Permettre à leur patron…

    Aie aie un terme honni certes  il y à patron et employeurs.

    -         Il y à celui du Cac quarante,  (employé model d’une société dont le but est d’engraisser leurs actionnaires).

    -         Ou le petit propriétaire voulant et faire vivre son entreprise et ceux qui la compose. Celle-là même qu’il aura ou monté de toute pièce ou obtenue en héritage.

    Enfin peu importe, la loi, nos dirigeants ont élaboré, cette recette sublissime pour

    «  Récompenser » leurs employés,

    Méthode déjà voulue, mis en place par ce grand Général, un certain De Gaule et son premier ministre Pompidou.

    Je veux dire la « participation » amélioré plus tard par l’intéressement.

    Poudre aux yeux pour maintenir un semblant de paix social, ou  soupape de sécurité pour faire fermer leur gueule à tous ces récalcitrants demandant des AUGMENTATIONS.

    Vous pensez, on vous dit, une bonne affaire de l’argent acquis, certes bloqué des années pour le plus grand bénéfice des banquiers.

    -         Une manne importante et disponible, de quoi alimenter leur fond spéculatif.

    Demander donc à « la Générale ».

    -                Et l’on vous dit, vous claironne, vous rabâche que votre argent, vous ne risquez pas de perdre, que vos dépôts sont garanties par l’état.

    Allez donc voir, hormis si, en bon père de famille, en gestionnaire avisé, vous avez bloqué cette, ces sommes en «  fonds communs de placement », sans risque mais d’un rapport équivalent à celui du livret A.

    Sinon gaffe les banquiers vous rendront, s’il en reste que le résultat de leur jeu en bourse, en ce moment pas grand-chose, des broutilles.

    Et oui miracle de la participation si cher à nos dirigeants de quoi alimenter leur jeu en bourse et ces  fonds spéculatif, mais d’un bien piètre rapport pour le petit salarié.

    Alors pour qui l’intérêt ?

    Or donc un salaire, un revenu, c’est bien et uniquement ce qui en monnaie sonnante et trébuchante permet à l’individu, vous, moi d’échanger chaque mois contre des biens de consommation, ou pour se loger, voir distraire, enfin vivre.

    Alors INDIGNEZ-VOUS.

     

     G.B.