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de république à nation.

  • Humeur du jour !

    Et donc notre quotidien reprend le dessus.

    Besoin d’assurer la transition entre ce jour et son lendemain. Histoire de gérer une continuité.

    De retrouver cette stabilité, cette offre imposée, cet ordre du jour au lendemain.

    Ah oui ! Les valeurs ; le sens des mots, le rythme d’une phrase.

    Ce besoin d’enfanter un jour nouveau. D’exister, de se révéler.

    Tiens comme ça hier dans cette manif, contre, pour,  qu’importe j’y étais.

    Anonyme, un parmi d’autres, un entre ces 2500 remarqués par nos CRS Compteurs, et ces 100.000 reconnus par des organisateurs, pas très organisé.

    Un début qui n’en finissait pas de démarrer, semblant attendre, quelques impulsions. Un mot d’ordre. Un chef ; une tète.

    Pourtant des gens, cette foule qui piaffait, prête à en démordre, volontaire pour en découdre.

    Arrogante envers ce pouvoir qui les malmène.

    Intransigeante, face à ce défi, cette Euro-punition imposé par un régime en mal de fric.

    La domination se cet argent roi !. Money  is money.

     

    Que vives et leur servent les dividendes, pendant que d’autres tristerons leur quotidien, cherchant, même pas à joindre les deux bouts, juste d’assurer une subsistance, service minimum. Juste à vivre encore un peu.

    .

    Et comme d’habitude l’on nous annonce des cadeaux, Milliards pour les patrons, La générosité coule à flot, pendant qu’ils cherchent,

     Milliards d’économies, de restrictions, de coupes sombres.

    Ce monde coure à sa perte, notre planète déjà gâtée par leurs saloperies réduisant notre potentiel de vie.

    La température se réchauffe.

    Les dividendes s’accroissent. La misère explose, les riches pavoisent.

    Terre de tous les défis j’ai marché pour toi, pendant que d’autres marchent sur la tète.

    Comme, et avec d’autres je me suis levé.

    Demain, ne sera pas pour moi, mais pour nos enfants, et quelle sera la mesure de la dette que nous leur léguerons.

    Celle des banques, ou celle de notre climat.

     

    Pourtant ils, certains ont voté. Ils disent démocratie.

    Beaucoup se sont abstenus.

    Certains sont descendus dans la rue manifester.

    D'autres, ont regardé la télé.

    Et vous ?

    Alors !.

     

    G.B.

     

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