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Livre

  • Les prix du bordel !

    Toujours à l’écoute de mon douze heure trente préféré.

    Un condensé de nouvelles, de culture, de rencontres insolites ; de moments captivants.

    Ce midi en plein journal se glisse par la fenêtre, les résultats de chez « Drouant », et là une cacophonie générale, trois sources de voix à peine audibles, chacun interpellant l’autre, envoyée spéciale.

    Notre Caroline, émoustillée comme une collégienne, tout le monde parle, personne ne s’entend, la foire, vous dis-je.

    Certes un grand moment que cette remise du Goncourt, & co ; mais comme chacun à cru entendre, et n’à pas compris, comme, les lauréats attendus sont nominés mais pas aux prix qu’ils auraient pu avoir, mais que c’est un autre qui l’à eu. Bref, un joli bordel, du direct à trois, et des auditeurs inquiets de la santé mentale de nos pourtant cher et adorables présentateurs, journalistes, commentateurs et envoyés spéciaux.

    Les problèmes du direct.

    Alors du calme.

    Quelle journaliste prétendait que son premier principe était de ne pas couper la parole aux autres ?

     

    G.B.

  • Chère madame Valérie Trierweiler

    Vous nous faites l’image d’une personne sensée et responsable.

    Vous ne paraissez pas comme ces oies blanches facile à attraper, encore moins à plumer.

    Votre niveau, comme votre milieux, nous semblent vous placer, non dans l’élite, mais dans une couche honnête, avec une  certaine image de réussite.

    Vous grande dame, bafouée, jetée ; par un goujat, par un  individu dont le cynisme dépasse tout entendement.

    Que vous fûtes abusé par la rouerie du personnage et sa duplicité ; plus de 50 % des Français le furent aussi.

    Il se sera joué de vos faveurs, comme il à trompé le peuple.

     

    Que vous vous ayez été séduite, puis conquise par les frasques, comme par  les désirs de pouvoir de cet ignoble individu, tant d’autres le furent et le seront encore.

     Notre monde malade de réussites, d’ascenseur sociale,  et de ma tu vues, lesquel  ne reflète que les restes d’une éducation courtisane, carriériste, comme de ces modèles  de célébrités, de notoriété, réussite.

    Pauvre monde qui ne voit plus que tricheries, mesquineries, il n’y à plus ni valeurs, ni sincérité.

    L’homme individu ne trouve plus son équilibre, toujours en balance ; le bien, le mal   ;  le vrai ,le faux.

    L’individu balance entre les mièvreries de leurs téléréalités, et les mérites de ces publicités tapageuses, portées au pinacle des modèles.

    La décadence de Ces feuilletons Américano-merdique  a modifié les comportements, les réactions des gens, notre vision se trouve déformé par le prisme de ces mises en scène outrancières.

    Nos grandes écoles forment des élites, et pour se faire leurs inculquent  les rouages de la réussite ; mensonges et tromperies.

    Redonnez à l’école, non la théorie du genre, garçon, fille, mais des valeurs fondamentales, le bien ; le mal.

    La noblesse avait ses  valeurs, les bourgeois d’aujourd’hui, ne resteront que des parvenus ;  Des gens foutres.

    C’est bien ça, notre vie.

    Et ils prétendent à  nous donner des leçons ?

    G.B.

  • L'ingenue !

    Etendue, détendue, à moitié nue,

    Elle avait le regard perdu,

    De quelqu’un qui attend l’air serein.

    Elle sentait percer sur elle comme un regard.

    Emue, troublée, elle n’avait d’autre envie,

     Que se laisser aller, conquise, caressée

    Par le souffle du vent, comme bercée par la brise

    Et qui sait peut être, enfin se perdre

     Comme prise, au détour d’un chemin.

    Libre étreinte, l’indécence la surprit

    Se savoir ainsi, offerte aux passants.

    Ne se troublant pas elle garda la pose,

    Qu’importent les mauvais esprits.

    L’herbe fraîche et tendre la reprit.

    Qui semblait préférable à tout autre destin.

    Elle était vraiment seule dans ce petit jardin.

    Il n’y a pas de mal à se sentir si bien.

     

    G.B.

     

     

     

  • Amis poètes, fais nous partager !

    J’aimerais partager et même te faire aimer, tous ces mots du passé.

    Tant de pages, si pleines, sous ces écrits puissants.

    Miroirs de nos âmes, ils peuvent te ressembler

    Comme des mirages, sur grand écran te feront cheminer

    Ces lectures découvertes t’invitent, sage réflexion

    Au calme d’une prairie, à la ténébreuse nuit.

    Voyages au gré des vents, comme après un orage

     Tu te retrouves sauvage ou bien plus qu’indolent.

    Tu ressens cette emprise et ces sages moments

    Tu sais le bruit des vagues, tu aimes ces tourments.

    A moins que comme cette page, tu sois  roseau pensant.

    Ces lacunes d’un esprit  sec comme la trique.

    Pénètre donc ce temple,  ne soit pas si critique,

    Vois ces penseurs sereins, pourtant esprits malins.

    Ils t’offrent leurs richesses et grandissent ton empire,

    Guide sous influences, apprécie ces largesses.

    Pour pas mourir idiot, ouvre donc toutes ces œuvres

    Enrichis-toi, de ces mots du passé, que tu crois dépassés.

    Apprends, laisse toi pénétrer, lis donc tous ces récits

    Que ces mots images impriment ton cerveau

    Comme l’aventure humaine, ce film déroule son empreinte

    Te voilà cinéaste montre nous tes penchants.

    Tant de scénarios écrits, que nous sentons vivant

    Tu n’es plus un corps vide, tu nages désormais

    Vers les richesses de nouvelles expériences,

    L’histoire te tiens et tu attends la fin

    Laisse toi guider, et peut-être emporter

    Vers les sommets des uns, la profondeur des autres.

    Il n’est pas de valeurs que l’on ne veuille surmonter,

    Il n’est pas de talents que l’on ne puisse aimer.

     

    G.B.