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jeunes

  • La vie devant soi !

    Tu ne seras pas homme mon fils,

    La laïcité devrait être le terreau de la démocratie.

    Ou quand celui-ci ne laisse plus pousser que ruines et misères.

    Quand nos perspectives ne sont plus que, l’état raquette, ou l’état prison.

    Ou l’état de déliquescence, exclusion.

    Quand l’avenir, se restreint à leur télé réalité, aux pires jeux de rôles.

    Quand votre rêve Internet, défie les consciences,

    Et, impose le virtuel au-delà des valeurs.

    Le temps de devenir sans avenir, celui des lendemains incertains.

     Quand vos certitudes oppriment les rêves.

    Que votre CAC 40 nous transforme en misère.

    Et tout votre argent roi, aux dépens des valeurs.

    Quand la terre appauvrie ne nourrit plus son homme.

    Et vos usines à bestiaux, dénient au temps son savoir-faire.

    Quand l’eau des mers et des rivières coule nitrate, pesticides et déchets.

    Quand la jeunesse crie son désarroi.

    Et pour le rêve, le shoot, cannabis d’avenir.

    Et que caricature la rébellion se termine en privation.

    Quand vous prétendez la hauteur en rabaissant les peuples.

    Alors que vos banques se servent, alors que nous on sue.

    Ou défilent, rejet, potion magique Pôle emploi.

    Que pourtant même les élus filent mauvais coton.

    Quand plus fort les écoles distillent l’exclusion.

    Et ne sèment qu’incompréhensions.

    Quand on bétonne, on bitume les terres.

    Tout en faisant pousser l’herbe sur les toits.

    Quand nos cerveaux sont vidés, nos idées rétrécies.

    Que vos dieux imposeront leurs lois.

    Alors des prêcheurs disposeront de toi.

    Tant que tu ne seras pas éduqué, conquérant et honnête.

    Tu ne seras pas un homme mon fils.

     

    G.B.

     

     

    N B . Ceci est un pastiche du célèbre poème de Rudyard kipling

    « Tu seras un homme mon fils »

  • Tous des Charlots,

    Oui, la France est bien un pays de Charlot

    La récupération va bon train ; Et le politique toujours prêt à s’engouffrer, pire à utiliser le moindre prétexte pour redorer son blason, pour illusionner ce peuple.

    Oui vous, petit fils et arrière petit fils de Voltaire, revendiquez votre part de cet héritage du traité de la tolérance.

    Vous dont la cote de popularité fluctue au gré des courants, vous qui vous honorâtes d’avoir sauvé la France de je ne sais quel péril terroriste.

    Quand trois gamins en rébellion prétendaient jouer aux gendarmes et aux voleurs.

    Et préféraient mourir que vivre votre vie, du moins celle que vous leur proposez.

    Vous et votre cour qui vous prétendez rassembleur, lors si le monde pour figurer dans votre vitrine défile derrière votre bannière ; Laquelle prétend rassembler des assassins, comme des pourfendeurs des libertés.

    L’ignominie comme état, et l’hypocrisie comme statue.

    Et fière prétendez montrer au monde le chemin, de l’honneur.

    Vous qui, pauvre France, amusez le peuple et le tient sous le joug de la médiocrité, vous qui entraînez notre monde dans la spirale du déclin de ce Capitalisme, de cette société libérale avancée.

    La pourriture gagne, et l’état de déliquescence de notre monde n’offre ni avenir, ni perspectives.

    Pourtant vous accentuez la pression, vous bradez notre hégémonie, et détruisez nos valeurs.

    L’état de servitude au profit des plus influent, des plus en vus ; Ces riches qui réduisent la planète, et la brûlent à petit feu.

    Et face à toute cette misère, les banlieues, les jeunes se rebellent et cherchent d’autres voies, d’autres issus.

    Parfois leur regard se tourne vers des précheurs, d’autres illusionnistes.

    Un monde face à l’autre.

    Et si le rêve ne leur suffit pas ils pensent trouver des certitudes dans cette échappatoire, dans ce rejet, dans cet autre monde. L’ignorance comme la misère engendre des dégâts, attention à ce que ceux-ci ne soient pas irréversibles.

     

    G.B.

  • Nous sommes tous des Charlies,

    Pour ma part je voudrais reprendre une première réaction, un peu moins de compassion, et donc un peu plus de réflexion

    Certes, d’abord la mort a gagné sur la vie.

    Mais les dessins, les destins de l’homme résisteront à la barbarie, à l’intolérance, à la bêtise.

    L’homme est grand, les assassins, les tueurs des monstres bien petits.

    Il faut se moquer, rire et sourire.

    Les massacres, les meurtres perpétrés par ces assassins révèlent leur ignominie, leur peu de foi..

    Levons-nous pour dire stop.


    Et marchons ensemble vers la fraternité des êtres, et la résistance à l’obscurantisme.

     

    G.B.

  • Monsieur le président de SOS "coneries"

    Que des jeunes, voir des moins jeunes manifestent et expriment leur soutien au  Peuple Palestinien ; une réaction  qui dans la situation actuelle me semble  légitime, que vous vous offusquiez que l’on critique l’état Sioniste d’Israël qui chaque jour extermine une population.

    Que vous pensiez qu’il est normal que ce même état envoie chars et avions pour réduire voir anéantir, une population qui lutte avec des gros pétards, et des cailloux, mais surtout  un courage extraordinaire.

    Vous prétendez :

     Que critiquer les sionistes, c’est critiquer les « blancs », mais je suis fier d’en  être ; malgré vous ; et défenseur des peuples opprimés.

    D’autant qu’encore une fois les représentants de l’ONU ; interpellés n’ont pas  daignés prendre position, appelant juste les parties à plus de calme

    C’est bien là toute l’hypocrisie des états qui prétendent à diriger le monde.

    Il faut que l’ONU, comme la cours de justice internationale condamne sévèrement l’état Hébreux, et ses exactions.

    Il faut que celui-ci arrête sa colonisation des territoires Palestiniens ; l faut rendre au Palestiniens leur territoire  et revenir aux frontière d’avant 1967.

    Il faut arrêter le massacre.

    Il faut, que des petits  monsieur, comme vous  se taisent et restent  leur petit confort tranquille de petit blanc  bien  servi.

    Et vives la lutte du peuple Palestinien, chapeau à leur héroïque résistance, et à leur juste combat.

    Signé ;

    Un petit blanc, pourtant.

     

    G.B.

  • Ils ont gagnés !

    Mais  on est ou ?

     Camarade, j’ai pas tout compris, à entendre les cris, les concerts de klaxon.

    Des débordements propres à certaines victoires, comme pour fêter quelques réussites.

    Sans le savoir, pas trop intéressé, je subodore que l’équipe d’Algérie s’est qualifiée en foot.

    Bien sûr j’ai envie de leur dire eh, mais on est en France ici !

    Et les youyous reprennent de plus belle, et la fête avant la fête, histoire de marquer, son appartenance, enfin, ses origines, de témoigner, de se démarquer.

    La mondialisation décide, il n’y à vraiment plus de frontière, et d’un pays, l’autre, la victoire ça se mérite, ça se fête, ils honorent, une équipe, une nation, celle qu'ils croient la leur....

    Jeunes de nos cités, vous avez trouvés motifs pour vous exprimer, pour vous mettre en  avant ;  bon, mais la plus belle des gloires, n’est  pas dans la vie des autres ni leur réussite, mais ce que tu feras toi de TA VIE.

    Alors demain gagne, et partageons ensemble des lendemains qui chantent et nous enchantes.

     

    G.B.

  • Ils prennent les peuples pour des CON !

    Cher ami lecteur, et lecteurs.

     Je ne voudrais pas insister, mais, si par hasard, vous n’auriez pas compris, si dans votre monde, vous ne seriez pas au courant.. Si dans les stratosphères de nos médias ; petit monde ouvert proche du vide.

     Que vous soyez, Sourd, malentendants, aveugles, voir un peu hors du temps

    Excepté, nos braves ;  Vincent Lambert ou son compère  Michael Schumacher, quelque peu en marge, dans leur monde s’il en est. 

    Si, sur votre île déserte, sans autre communication que ce coquillage qui vous renvoie le bruit des vagues, le vent qui souffle et déplace le sable.

    Si vous n'aviez pas par hasard, au coin de votre rue, voir sur la place de votre village, vu  ce mur de panneau. Mur d'images, mirage aux alouettes ; promesses, qui dit mieux !

    Dans ce monde ou la presse, dite papier laquelle se meure, si cette même presse, prompte à nous informer, se positionne, sur la nouvelle toile d’internet, cette toile d’araignées.

    Ce réseau tissu, de brèves, de nouvelles, de ces restes de nos médias.

    Ah la terrible image de l’œuf et de la poule ;  Qui le premier….

    Idem est-ce le journaliste qui crée l’information, ou le lecteur  qui reçoit ; terrible révélateur.

    Bon notre air du temps qui chaque soir devant la télé, terrible somnifère, pourtant ce besoin d’écoute qui nous oblige de l’allumer. Illusion de partager ce monde, de zieuter le malheur des autres, d'entendre les meutes qui hurlent au passage des caravanes.

    Pourtant nulle n’y échappe, les élections à venir emplissent, inondent notre entendement. Percent nos tympans, déchirent nos timides croyances.

    À en devenir hostile. Non stop, assez pas encore.

    Alors qu'ils prétendent orienter nos choix, ils attendent que nous prenions positions.

    Ils veulent nous motiver.

    Et blabla et patati et patatras.

    O dieux que c’est odieux, ce fatras, 

    Tout cela pour nous embobiner, susciter en nous un désir, une envie.

    Merde faites chier avec votre connerie, de toutes façons vous ferez bien ce que vous voudrez,  tiens en 2007, le peuple avait dit NON, nos dirigeants et les autres ont tergiversé détournés le résultat et fait passer malgré les peuples, leur traité et glorifié, promu, mis en place cette gouvernance, contre nous.

    Bref, électeurs, on vous prend pour des CON, et pour habiller tout cela et vous culpabiliser, on parle de droit démocratique ; la démocratie sert nos dirigeants pour lier leur sauce ; et les peuples subissent, trinquent et au final doivent payer la note.

     Alors vous avez dit « élection Européenne »,

    SANS MOI.

    NON Merci.

     

  • Bientôt les Européennes !

    L’aventure, c’est l’aventure !

    Je vous sais anxieux de connaître les suites de notre super production ; Après les municipales, on fait quoi ?

     D’abord, le grand ménage dans nombres de nos mairies. Un grand classique.

     Tant de dossiers sensibles vont devenir « secrets défenses », et rejoindre comme le « Bugaled Breizh » les profondeurs et de l’océan et de notre  haute stratégie du savoir faire «  made in France ».

     Ensuite vint la Valse des étiquettes, et il n’y aura pas de Valse hésitation.

     L’un se croyait un « Héros », pôvre  Jean Marc,  enlisé dans la boue de son aéroport de Notre dame des Landes; lâché, jeté par NO Lande. L’autre surgit et en trois tours de piste, un nouveau « petit Sarkozy »  qui reprit du pouvoir.

    Ô roms, roumains et autres Bulgares, prenez garde, déjà dans le collimateur ; tous pris pour des voleurs de poules incapables de vous intégrer.

    Profitez, notre nouveau premier sinistre Hidalgo, Hollandais aura plus à faire pour rentrer dans les cordes Européennes que de vous poursuivre de sa vindicte.

    Bref un répit pendant qu’il se débat dans le fiasco d’une Europe en 28 morceaux, pendant qu’il cherche à placer le prix de son autorité, et  la « grandeur de la France »

    Donc trois petits tours de Valse ;  Lequel promet de diviser nos régions par deux, de supprimer les départements. Croyant ainsi régler notre, enfin leur dette.

    Le sujet pour audacieux qu’il soit ne présente pas une affaire il y a longtemps que nos jeunes ne connaissent plus ceux-ci encore moins préfectures et sous- préfectures. Alors ?

     Cela se nomme «  la réforme des rythmes scolaires », ils disent qu’ils travaillent trop !

     Bon Manuel tel le torero tu comptes affronter le taureau France, et de piques en banderilles tel Carmen tu nous la chante belle.

    Et tes passes d’armes n’amuseront plus le peuple, lassé du grand guignol de la république.

    Vives la France, Vives le peuple Français.

    Et pour les Européennes on fait quoi ?

     G.B.

  • Petit bateau,

    D’où viens-tu petit bateau

    Tu sembles si beau à filer ainsi sur l’eau.

    Et toutes ces vagues au fil de ton courant.

    Si j’avais des rames je te rejoindrais,

    Si tu avais des pieds nous pourrions ensemble

    Tous deux nous promener.

    Tu es trop beau, petit bateau,

    Et libre tu files sur l’eau.

    J’aimerais tant faire avec toi des ronds dans l’eau.

    Va petit bateau voir de l’autre côté de la mer.

    Mais reviens me montrer que tu ne t’es pas noyé.

    À bientôt, joli bateau.

     

    G.B.