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terre

  • Tiens jeunes cadeau !

    Tiens jeunes cadeau !

     

    J’ai honte, bien que n’y étant pour pas grand chose.

    Pauvre terre, triste planète.

    Comment avons-nous pu au fil des années,

    Réduire ainsi tant de belles et bonnes choses,

    Des mers profondes et riches,

    Océan de ressource, comme terre nourricière,

    Ces fleuves, d’où l’eau claire irrigue la prairie.

    Un monde si beau, une nature ou chacun,

    Comme les bêtes, chassent pour se nourrir.

    Tout y est félicité, ces baies tout au long des talus,

    Ces jeunes pousses, offertes, cueillette nourricière,

    Dame nature organise des festins.

    Même les ronces propices, proposent tous ces fruits.

    Et pour un peu que l’on s’y donne du mal,

    Bécher,  planter, attendre, récolter.

    La souffrance est légère et la promesse au bout.

    Le soir descend, la terre se repose,

    Le jour reviens, et son lot de promesses.

    Si un nuage pointe, c’est pour arroser.

    Quand le soleil brûle, c’est pour cuire le pain de terre,

    Comme ces briques de terre séchées.

    Si des  rivières débordent, si d’autres zones arides

    Si la grande prairie, comme ces forêts profondes.

    Tout s’y organise, chacun y à sa place.

     

    Le petit prince, qui offrait tant de promesses,

    D’un désert il avait trouvé ses richesses.

    Un mouton, une orange, trois quatre fleurs.

    Hier promise, maintenant gâchée, cruelle.

    Qui sème le vent récolte la tempête.

    Homme prédateur, et l’on dit que c’est dieu qui l’à crée !

    Fichtre la belle affaire.

    Moi je préfère y voir faiblesse, cupidité.

    Tu sais pourtant être bon, loyal

    Enfin je le croyais.

    Homme mystère ; appât du gain.

    Le grain ne te suffit plus,

    Moudre pétrir et cuire.

    Humains de tous les malheurs,

    Tu sais pourtant guérir, soigner,

    Et même donner la vie.

    Et tu t’es pris les pieds dans le tapis de la renommée.

    Tant de gloires éphémères.

    Tu avais la récolte, le partage.

    Aujourd’hui tu amasses, entasses, perfides profits.

    Tu as drainés les mers, souillés les eaux,

    La terre rejette tes pesticides et tes engrais

    Même les pôles se fondent.

    Tes voitures, avions, cargos déversent leur tonnes de polluants.

    Nous voulions simplement vivre et tu nous fais mourir.

     

    G.B.

  • Comme des Robinsons....

    Robinson,

     

    Honni soit leur argent et leur cupidité

    L’homme esclave, consomme et veut tout posséder

    Illusoire penchant à prétendre l’argent roi.  Pauvre civilisation qui brule ses richesses

    Leur faiblesse de vouloir tout posséder, tout piller, tout contrôler.

    Notre monde se meurt, leurs déchets sont toxiques, les eaux polluées sinon empoisonnées, en tous les cas très trouble.

    Ils ont vidés nos océans, drainés les fonds.

    Ils abattent les forêts, le désert gagne.

    Ils font fondre, Arctique et Antarctique ces réserves d’eau, l’avenir de notre humanité

    Ils brûlent l’atmosphère, et prétendent conquérir, bien plus que leur planète.

    Rien ne trouve gré que leur avidité.

    Le pot de l’amitié érigé en valeurs, et vous devenus des voleurs.

    Vous ne savez plus que le mal, vous battre et même gagner.

    Minable conquérant, vos penchants nous poussent à la ruine et à la destruction.

    C’est ainsi que naissent les guerres, comme toutes vos saloperies.

    Que celles-ci soient commercial, religieuse, ou bien encore ethnique

    Ils prétendent au Paradis, mais construisent l’Enfer.

    Décadence ils savent pourtant que notre monde va à sa perte.

     Les civilisations passées prétendaient au sommet, mais se sont écroulés.

    C’est leur intelligence, paraît-il qui les poussent, les font se dépasser.

    Leur bêtise tue les talents comme ils pillent  nos richesses.

    Qu’il est beau le bonheur de deux êtres qui échangent, partagent, donnent, aiment.

    Ils sont riches de leur largesse.

    Heureux les Robinsons, qui trouvent que le bonheur c’est de vivre simplement.

    Leurs servitude est le temps, levé, couché, trouver de l’eau des fruits murs et même faire bonne pèche.

    S’ils ont besoin de papier ce sera pour allumer le feu, ou pour quelques- autres besoins.

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    Comme des Robinsons retrouvons nous sans rien mais libre et peut être plus malin.

     

    .G.B.

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