compteur visite gratuit
compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

demain

  • Le temps !

    Ne dit on pas il t’appartient, pourtant il s’écoule

    Il rythme notre vie, comme il passe,

    Il nous aide à supporter l’ennui,

    Nous permet d’attendre

    Il est notre hier,

    Et déjà notre demain.

    Il change à chaque instant.

    Il égrène ses terribles minutes

    C’est aussi celui du réveil

    Qui nous sort de l’oubli

    Le temps de prendre un petit déjeuner

    Le temps de prendre son temps

    Et l’odieuse pointeuse

    Qui mesure notre temps de travail.

    Le temps, tiens il fait soleil aujourd’hui ?

    Celui de la météo.

    Donc prenons du bon temps

    Avec le temps qui nous attend

    Quand à la perte du temps

    Il nous laisse compter celui qui nous reste.

    Celui de l’horizon.

    Lequel prétend ne pas avoir de limite

    Le temps perdu, celui derrière lequel on court.

    Le temps des soupirs,

    Aussi des bons moments

    Celui qui marquera notre souvenir

    Le temps de chaque chose

    Le temps de faire ceci,

    Et d’attendre cela,

    Le temps de la gestation,

    Le temps de voir venir

    Le temps de gagner du temps

    Et tout ce temps passé

    A tout jamais gâché

    Il nous file entre les doigts

    Le temps de l’illusion

    Et toujours des regrets.

    Nous n’avons pas eu le temps !

     

    G.B.

  • La télé

    Vous avez dit Télé.

     

    Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

    Bonjour.

    Messieurs les directeurs de nos chaines, mesdames, mesdemoiselles, messieurs les journalistes, présentateurs, animateurs enfin bref tout ceux qui concourent, derrière nos anciens petits  écran, maintenant LCD, plasma, home cinéma bref, je ne compte ni ne regardes les plus de cent chaînes des opérateurs, les 17, ou 57 de la TNT, les 6 ou 7 de notre vieux réseau.

    Tant d’images nous inondes, tant de sens, de non sens, de bon sens ou de contre-sens qui prétendent nous informer, divertir je n’ai pas assez de mots pour imagés votre omniprésence dans nos foyers.

    Vous avez remplacé la famille, vous êtes imposé dans leur vie.

    Triste fenêtre sur le monde.

     Avec son lot de misérabilisme, avec son étalage indécent de plus beau, plus riche.

    Avec son pitoyable « audimat » et les débilités que ca  entraine, communiques nous impose, nous déverse.

    Eh bien, messieurs j’ai compris que le seul, le vrai qui fasse de l’audience reste « guignols » La une n’en avait pas elle aura désormais le sien, et non des moindres notre président en personne, et en vrai, nature.

    Canal s’y était essayé et avait parodiés avec son émission culte, battu par le vrai.

    Enfin j’ai compris sans l’avoir vu, mais vos commentaires le lendemain ont éclairés ma lanterne, ainsi donc pour faire de l’audience de l’audimat, ainsi pour satisfaire, mettre en avant vos marques et autres publicitaires, il vous fallait ce clowns.

    Drôle de monde ou pour présenter, représenter il faut un pitre.

    Ancien, Je suis de la vieille école j’acceptais et comprenais l’érudition et la faconde d’un regretté   Léon Zitrone.  J’aimais la richesse d’un Pierre Tchernia ou autre Pierre Sabbag, nous adorions les plongés dans le réel de « Cinq colonnes à la une.

     

    Aujourd’hui les journalistes ne savent plus dire bonjour, il nous reste la momie « Toutantenne2 » Drucker »70 ans de «  bons et loyaux services pour la cause, pièces jaunes ou autre, bientôt rattrapé par l’inimitable Julien Lepers «  Questions pour un.. ».

    Nous reste aussi les nouveaux réalities show, téléréalités, télé thérapies, sans oublier les sempiternelles séries américaines bien sur.

     les catastrophes s’étalent  à longueur d’émission, chacun reprenant le fait, nous le faisant digérer  à sa sauce.

     

    Quand je vois tout cela vous ne m’empêcherez pas de crier, vive la radio, au moins la bêtise nous n’à voyons pas.

     

    Voilà je pense que je suis vraiment un vieux con.

     

     

    G B.