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Bétise

  • C'est un scandale...!

    Certe je suis un vieux con, et je le revendique.
    Désolé, jeunes gens, mais il y à quinze ans, vingt ans, Ces mots résonnaient.
    , Un certain Georges Marchais Secrétaire du PCF de l’époque aimait comme les journalistes vitupérer et caractériser les faits de son époque.
    Maintenant jeunes, maintenant les anciens, les affaires pleuvent, les faits de sociétés inondent notre sphère médiatique, bien pauvre d’ailleurs et seulement, toujours si un, des lanceurs d’alertes à corps défendant « balance » quelques affaires d’argent.
    Hier : Panama papers, aujourd’hui Paradise papers, bref l’argent salle, ce papier mal ou trop bien placé qui échappe aux fisc et mettent nos peuples en périls.
    Trois petits tours de médias et l’actualité passe.... .Un jour nouveau, Demain ce sera quelle appellation, le principe reste le même, les profits aussi rassurez vous !
    Et nos hommes politiques jurant mais un peu tard qu’on ne les y reprendrais plus.
    Ben Oui, bien sur, craché juré, si j ment je vais en enfer….
    Dormez sur vos deux oreilles, et en paix chers capitalistes, Un journaliste passe, trois petits tours et puis s’en va….
    Alors vous aviez dit c’est un scandale…..Il paraît que c’est ça l’Europe…Alors..


    G.B.

  • Tous des Charlots,

    Oui, la France est bien un pays de Charlot

    La récupération va bon train ; Et le politique toujours prêt à s’engouffrer, pire à utiliser le moindre prétexte pour redorer son blason, pour illusionner ce peuple.

    Oui vous, petit fils et arrière petit fils de Voltaire, revendiquez votre part de cet héritage du traité de la tolérance.

    Vous dont la cote de popularité fluctue au gré des courants, vous qui vous honorâtes d’avoir sauvé la France de je ne sais quel péril terroriste.

    Quand trois gamins en rébellion prétendaient jouer aux gendarmes et aux voleurs.

    Et préféraient mourir que vivre votre vie, du moins celle que vous leur proposez.

    Vous et votre cour qui vous prétendez rassembleur, lors si le monde pour figurer dans votre vitrine défile derrière votre bannière ; Laquelle prétend rassembler des assassins, comme des pourfendeurs des libertés.

    L’ignominie comme état, et l’hypocrisie comme statue.

    Et fière prétendez montrer au monde le chemin, de l’honneur.

    Vous qui, pauvre France, amusez le peuple et le tient sous le joug de la médiocrité, vous qui entraînez notre monde dans la spirale du déclin de ce Capitalisme, de cette société libérale avancée.

    La pourriture gagne, et l’état de déliquescence de notre monde n’offre ni avenir, ni perspectives.

    Pourtant vous accentuez la pression, vous bradez notre hégémonie, et détruisez nos valeurs.

    L’état de servitude au profit des plus influent, des plus en vus ; Ces riches qui réduisent la planète, et la brûlent à petit feu.

    Et face à toute cette misère, les banlieues, les jeunes se rebellent et cherchent d’autres voies, d’autres issus.

    Parfois leur regard se tourne vers des précheurs, d’autres illusionnistes.

    Un monde face à l’autre.

    Et si le rêve ne leur suffit pas ils pensent trouver des certitudes dans cette échappatoire, dans ce rejet, dans cet autre monde. L’ignorance comme la misère engendre des dégâts, attention à ce que ceux-ci ne soient pas irréversibles.

     

    G.B.

  • Ils ne sont pas mort pour ça !

    Pauvres Charlie,

    Par vos dessins, par vos écrits, vous avez suffisamment moqué la bêtise de ce monde, sa supercherie, sa duplicité, la connerie humaine.

    Qu’auriez-vous dit, de voir notre président, le représentant d’un peuple qui se dit libre, et porteur d’espérance défiler avec des assassins, des gens ayant les mains rouges du sang de leur peuple, ou, d’autres ayant ouvertement financé les terroristes de tout crin.

    Et les simagrées, et les salamalecs dans la Synagogue avec Netannyahou, ne manquent pas de provocation.

    Oui,  vives Charlie, mais honte à tous ceux qui se réclament de son humour, et récupèrent un tel drame.

    A suivre au prochain sondage. La cotes de popularité….

    Et pendant ce temps les boîtes continuent de licencier, de fermer.

    Charlie Hebdo était au bord du gouffre et à l’époque F Hollande n’avait pas levé le petit doigt.

     Tous des cons malgré leur simulacre d’honneur.

    Et vous croyez que cela servira leçons à ces  jihadistes  en herbes, ou en devenir ; À ces fous de dieu.

    La Marseillaise, à l’école ou bien ailleurs on s’en fout, il faut surtout redonner des valeurs à l’âme humaine, avec des paroles crédibles.

     Les patries on s’en tape, il faut défendre les individus, et avoir les pieds sur terre.

    Et continuer d’outrager les dieux de quelque obédience qu’il soit.

    A bas la calotte, rendons hommages à ces Brassens Brel, Voilà des paroles pour le peuple.

    Mais il y à longtemps que ces apôtres ont disparu.

     

    G.B.

  • Nous sommes tous des Charlies,

    Pour ma part je voudrais reprendre une première réaction, un peu moins de compassion, et donc un peu plus de réflexion

    Certes, d’abord la mort a gagné sur la vie.

    Mais les dessins, les destins de l’homme résisteront à la barbarie, à l’intolérance, à la bêtise.

    L’homme est grand, les assassins, les tueurs des monstres bien petits.

    Il faut se moquer, rire et sourire.

    Les massacres, les meurtres perpétrés par ces assassins révèlent leur ignominie, leur peu de foi..

    Levons-nous pour dire stop.


    Et marchons ensemble vers la fraternité des êtres, et la résistance à l’obscurantisme.

     

    G.B.

  • Le monde comme il va !

    Heureusement certains commentateurs ne se trompent pas ; Leur sourire, forme de clin d’œil, démontre s’il en était le grotesque d’une situation, ou tout serait déréglementé, allant depuis l’ouverture des magasins le dimanche . Pourquoi 24 h sur 24 ? certains le souhaite.

    De même, nous pourrions nous improviser, chauffeur de maître, et en tous moment véhiculer quelques pauvres âmes perdues dans nos grandes villes.

    Pourquoi ne pas remettre au goût du jour les chaises à porteur, une idée qui ferait un immense plaisir à certaines dames toujours prêtes à se mettre en avant, et à se montrer.

    Et puis comme il y à les distributeurs de prospectus, salariés éminemment mobile, re-mettons au goût du jour les laveurs de carreaux, sillonnant nos villes interpellant, comme, les rémouleurs que nous renommerions, tailleurs en tous genre, bref comme il sied à certains de nous renvoyer deux cent ans en arrière, les petits métiers règnes à profusion.

    Retrouvons bien que certains ne les ai pas oublié, les cireurs de chaussures de rues, et souvenez vous ces images d’Épinal d’un petit bonhomme, noir de préférence qui avec son petit banc marche pieds propose « ciré chaussu Missié ».

    Notre petit ministre Macron, ne doit pas manquer d’idées sur la question.

    Et gageons que le Medef à mis en place une cellule de réflexion !

    Alors comme nos dirigeants, faisons preuve d’imagination, et comme au dix-neuvième siècle alors que le chômage n’existait pas.

     Soyons créatif; un bel avenir.

    Ça vous dirait ?

     

    G.B.

     

  • Laurence d'aujourd'hui !

    Pour en revenir à Laurence d’Arabie, et sa version moderne ; L’implantation d’un état Islamique au levant.

    La situation révèle des pires atrocités.

    Quelque vingt mille hommes qui n'ont de cesse que de conquérir tout un territoire, et que rien n’arrêtent….

    Et là aussi des avions, des missiles qui prétendent à, mais est-ce ainsi que la guerre se passe…

    Messieurs qu’on nomme grands, n’avez-vous pas déjà par le passé subi les pires déconvenues, malgré tous les moyens mis en œuvre.

    Votre puissance fut-elle destructrice, massive et monstrueuse.

    En face quelques valeureux guerriers, une force que seule la foi, ou la volonté pousse, et fait résister

    Vous prétendez éradiquer le mal, vous faites montre d’un zèle, vous jouez les gros bras, roulez des mécaniques.

    Vous êtes surtout fort en gueule.

    Vos parodies de mise en scène ne touchent que vous-même.

    Vos gesticulations n’impressionnent personne.

    Vos piteux exploits se révèlent plus dans la presse que sur le terrain.

    Oh ce monde qui se prétend moderne, mais un grain de sable et la machine s’enraye.

    Et puis combattre sans combattants

    « à vaincre sans périls on triomphe sans gloire »

    Et en plus vous n’arrivez même pas à triompher.

    En vrai votre guerre vous la menez plus à coût de communiqués.

    Et toujours deux mondes deux antagonistes.

    Et toujours des morts, femmes enfants, comme ces otages qui n’y sont pour rien.

    Et nos grands hommes complotent, se consultent, établissent des process.

    Et l’avenir dans tout ça.

    Vous ne savez pas qu’il vaut mieux éduquer les masses que de les régenter , encore moins se battre contre elles !

     

    G.B.

  • Gens de Gad ou d'ailleurs !

    Licenciés et en plus méprisé par  un étron de ministre !

     Certes nos ouvriers n’ont pas tous faits les grandes écoles.

    Bien sûr ils n’ont pas les moyens de se payer un chauffeur.

    Ils n’ont surement pas tous le permis de conduire ; mais ils ont du bon sens et de la raison ; Ce qui semble manquer cruellement à notre nouveau tout petit ministre.

    On voit bien, et c’est là que les propos de Valérie Trierweiler prennent tous leur sens ; le mépris de nos dirigeants voir des personnes du pouvoir, pour les honnêtes gens, travailleurs, éventuel pauvres chômeurs ou simple retraités.

    Non seulement ces parvenus ne paient pas leurs factures, loyer ou impôts mais ils font preuve d’un mépris, d’une arrogance. Grave les mecs !

    Oui, il serait temps d’en finir avec cette cinquième république de faiseurs.

    Le peuple est grand et respectable, il vous le démontre à chaque élection même si c'est en s'abtenant.

    Aussi Messieurs qu’on nomme grand, vous êtes pourtant bien petit, et vraiment minable.

    G.B.

     

  • Le sens des mots !

    Une voisine, certes un peu âgée, comme moi, me disait ne plus être  dans l’époque ne comprenant plus la moitié des mots ou locutions que nos journalistes, commentateurs ou autres présentateurs nous abreuvent,  à  longueur de temps, lors de  leurs diatribes sur les antennes.

    Tous ces gens des médias qui, sous couvert d’être dans l’époque, ou par snobisme ou autres conneries emplois à tour de bras, des termes étrangers.

    Certains se font un plaisir à parler de « Hollande basching ; Est-vous aleave » ? Écoutons le dernier « blogbosters », etc.

     Bref je n’entends plus ces discours, je ne  comprends plus, ces nouvelles générations qui prétendent faire jeunes branchés et distillent, ce fatras d’Anglicisme, et de terme racoleur.

    Quel gâchis et voilà qui réponds bien aux désirs de nos responsables, nous Américaniser, préparer nos cerveaux à cette mode que veulent nous imposer les tenants de ce « traité transatlantique ; espèce de serpents de mer qui nous guettes mais dont nous ne connaîtrons pas pour autant le contenu.

    Qu’importe il faut « globaliser » les cerveaux, nous habituer à un entendement international, vives les Multinationales, un langage minimum pour tous, une seule consigne, le rabotage intellectuel, surtout nous empêcher de penser, vives la pensée unique, et qui mieux que les Etats Unis pour réduire, puis  imposer,  ce nouveau poison, ce fiel qu’ils inoculent dans nos oreilles et limitera notre entendement.

     

    Il ne faut  pas non plus  négliger le style  «  Twitter » et autres nouveau langage N’est ce pas là cette nouvelle communication, c’est  donc ça leur conflit de génération, car de mon temps comme disent les anciens, le  verlan était pour moi un mystère, mais on me l’expliquait, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

    Et puis il faut nous habituer au zéro papier, vous savez, les écrits restent, les paroles s’envolent.

    Alors…

    Mourons idiot.

    G.B.