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Le petit coin du râleur - Page 20

  • Et oui !

    Vives L’info, vive France 2 et le service publique.

    Ce soir, 20h  par hasard, mais comme tous les autres, j’écoute les infos.

    Et puis c’est la « petite Drukker » pas si mal, pas trop tarte, le sourire en prime.

    Oh putain un sujet épineux, les retraites, j’en suis ;  Sans me sentir concerné, je voudrais bien savoir ce qu’ils vont encore inventer pour le pauvre peuple, peut être même contre. Il  est vrai on entend plus souvent parler des parachutes dorés et des retraites de nos dirigeants d’entreprise ; Attention, les grosses, celles du « Cac quarante » comme ils disent ; Notoriété oblige.

    Bon si récemment une enquête de l’INSEE, révélait, pourtant une disparité des revenus, tiens donc ils semblent s’en apercevoir !

    Un monde ! enfin plutôt deux mondes les toujours plus riches, les encore plus pauvre.

    Donc les retraites d’ici… 1 français virgule deux travaillera pour :  un qui lui travaillera plus et patati et patata, la grande réforme du quinquéna de Sarkozy ; Oh merde s’il continu ses réformes comme il  les à commencés, ça va faire mal, bouclier fiscal oblige. Et puis faut qu’il fasse oublier la déroute des Cantonales.

    Question retraites, on comprend que les jeunes n’aient pas envie de bosser.

    Y pouvait pas être dans l’avion Polonais, avec Carla,  Rachida, on aurait pu aussi y voir Besson et l’intérieur, l’autre affreux  Alte au feu.

    Je m’égare, donc vos retraites suite deuxième, comme dirait Besson, non Pas Eric, L’autre le pur Luc le mal coiffé, vous savez : Subway ;  le Grand Bleu ;  Le dernier élément ;  Nikita.

    Et puis pour nous prouver, nous suggérer, incidemment on nous emmène ailleurs ;  Histoire de nous dire, attention à ce qui vos attend, ah le anciennement mirifique modèle Suédois… tiens encore.

    Fort  heureux qu’ils ne nous trimbale  pas au Japon nous présenter le  fameux modèle Nippon !

    Donc ce qui vous attend ; permis de travail à point qui vous octroierait une retraite par capitalisation, bon avec un zeste de répartition en souvenir, et plus fort ;  tous les ans on saurait où l’on en est, comme en taule, oh merde encore quinze ans à tirer !

    ·        Suivait, je sais plus quoi de la Shoa, encore un anniversaire ;  les justes, Israël, finalement on s’en sort bien, car pour continuer c’était la page Haïti ; Tout le monde est effondré, heureusement des petits Français bien mis, bien gentil, propre sur eux vont dans le cadre d’un service civique, apprendre l’histoire de France et à parler aux jeunes Haïtiens désoeuvrés, c’est idiot qu’ils aillent si loin  ; on a les mêmes chez nous, dans nos cités. Et pour vous finir, une page sur la maladie de Parkinson, avant la retraite ça peut vous arriver…….

    Oh merci le service public pour ces infos.

    ·        Car ensuite suivait je ne sais quelle série Américaine à la con.

    Je hai la télé…connerie.

    Et pourtant je reconnais, ces deux chaînes du service public sont les meilleurs du Paf, c’est peu dire de la merde qui inonde les  z’auditeurs des z’autres chaînes.

    Dans quel état sont nos pauvres compatriotes, on comprend que Sarko ait été élu, il est encore capable de repasser, les pôvres.

     

    12/04/2010.

  • Balade au Parc

    Un dimanche comme les autres.

    Enfin il faisait beau en ce dimanche qui était un lundi d’ailleurs ; mais jour féries ; Pâques oblige.

    Les promeneurs allaient heureux, vivant ces moments de liberté retrouvé, des instants de fainéantise ; Ces moments de printemps, ou même en nous, cette sève qui montait et nous  revigorait, celle-là même qui donnait feuilles et bourgeons aux arbres, qui recouvrait la terre d’un tapis de verdure, parsemé de petites fleurs bleues, pour les violettes les boutons d’or brillaient et tant autres teintes, même les primevères étaient là ce jaune timide parsemaient les pelouses, celles-ci bien verte encore toute fraîche de cet hiver qui n’en finissait pas, nous rappelant certains matin par une bise froide qu’il valait mieux rester emmitouflé dans la douceur des couettes ou des parkas pour les plus téméraires.

    Dès l’aube pourtant les joggeurs dénouaient leurs muscles d’étirements en course folle, comme pour se libérer de cette longue nuit que leur corps a traversé. D’autres casse-cou dévalaient les allées sans retenue, pédalant comme si ce mouvement cette vitesse les porterait au-delà d’eu même, transcendé, l’œil exercé à détecter ce qui gênerait leur course folle, un caillou un chien, un piéton aussi.

    Donc  chaque un vacant à ses activités, je déambulais, tranquille, aucun vigil, à, l’entré n’ayant réfréné mon élan.

    J’avais été la veille interpellé et sermonné par deux individus type vigile, aux couleurs du SAN.* Oh pas bien méchant juste des employés voulant faire preuve de zèle, c’était leur mission ; Faire respecter le règlement ! seulement deux pauvres individus lâchés dans l’immensité de ce parc sans même un vélo ou vélomoteur pour faire le tour, aller débusquer les récalcitrants, ne parlons pas de ces quelques tètes brûlées se jouant des autorités, de toutes autorité et,  venus frimer sur des scooters ou autres petites moto. Enfin bons plus bêtes que méchant.

    Donc je fus interpellé et rabroué :  « Monsieur, s’il vous plait, les chiens doivent être tenus en laisse, c’est le règlement….. »

    Ne voulant pas envenimé, arguant que cela faisait 15 bonnes années que je me promenais ainsi dans cet espace de notre délicieux parc.

    Qu’ils feraient mieux de s’en prendre aux bandes, ou de ramasser les canettes oubliées qui jonchaient pelouse et sous bois ; souvenir d’une précédente beuverie.

    Bref ils avaient réussi à gâter ma bonne humeur.

    Certes c’est plus facile de s’en prendre à un petit vieux sans défenses qu’à des groupes de jeunes rebelles organisés.

    Enfin, ce jour-là liberté, nos vigiles avaient disparu.

    Et  notre parc, car depuis que je m’y promenais, j’en étais à ma troisième génération de chiens, et comme je disais j’en connaissais tous les brins d’herbe ; bref je me l’étais approprié, comme j’en avais fais mon territoire mon ère de jeu, le but de mes sorties, et aujourd’hui il  avait repris ses airs de festivité, des familles errant, qui jouant au ballon, d’autres,  poussette en avant sortaient la progéniture, surveillant l’avant dernière sur son tricycle ou le vélo, la guidant dans les ornières du chemin, comme elle le sera sur les routes de la vie, apprenant la vie des grands.

    Les tambours avaient fait leur retour rythmant nos pas de leur lancinant boum boums.

    Partout où nous étions, ils nous poursuivait impitoyable, sans rythme, au seul résonnement de leurs désoeuvrement, saccadant notre marche nous donnant le pas.

    Les premiers « barbecues » avaient fait leur réapparition, l’odeur des viandes grillé nous poursuivait nous obligeant de remettre nos chiens dans le droit chemin. Bien sûr leur flair,les attirait ver ces festins possible.

    Enfin autant de chose sympathique, prônant le bien-être d’une journée où chacun s’est lâché, ou tous retrouvons notre coté de primate, oubliant la hiérarchie reniant l’organisation rationnelle, le dirigisme étatique, patronal. L’individu se retrouve autour du feu et recrée le partage du festin.

    Oui il est beau notre parc, ses arbres centenaires nous indiquaient l’humilité ; le passé exposé, comme des pages d’histoire, de notre histoire, celle des générations liées par cette terre.

    Oublié la grotte aux ourses, celle-ci ne fait plus recette, abandonné par l’homme, qui mesure sa puissance, son emprise en prenant de la hauteur, seul compte maintenant cette pseudo perspective d’une visée prolongeant le regards des totems, nos twin towers, jusqu’à la Marne, plus même la base de Vaires.

    Ridicule Illusion d’optique, regard porté par nos hautes sphères bureaucratique, tentation de laisser son empreinte, de marquer un éphémère passage.

    Combien de responsables sont venus refaire, défaire ce que d’autres avaient commencé.

    Des arbres plantés, coupés ou déménagés à grands frais pour……la postérité.

     L’homme si grand si fort, et pourtant minable, mesquin, prétends régenter, dominer braver la nature, oubliant que celle-ci ne l’avait pas attendu, ; Mais les deniers publique utilisés sans compter.

    Voilà où allaient mes pensées, comme mes pas libres ou mon chien sans laisse.  

     

     

     

     

     

     

    • = Sacage des Abres à Noisiel.

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  • La télé

    Vous avez dit Télé.

     

    Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,

    Bonjour.

    Messieurs les directeurs de nos chaines, mesdames, mesdemoiselles, messieurs les journalistes, présentateurs, animateurs enfin bref tout ceux qui concourent, derrière nos anciens petits  écran, maintenant LCD, plasma, home cinéma bref, je ne compte ni ne regardes les plus de cent chaînes des opérateurs, les 17, ou 57 de la TNT, les 6 ou 7 de notre vieux réseau.

    Tant d’images nous inondes, tant de sens, de non sens, de bon sens ou de contre-sens qui prétendent nous informer, divertir je n’ai pas assez de mots pour imagés votre omniprésence dans nos foyers.

    Vous avez remplacé la famille, vous êtes imposé dans leur vie.

    Triste fenêtre sur le monde.

     Avec son lot de misérabilisme, avec son étalage indécent de plus beau, plus riche.

    Avec son pitoyable « audimat » et les débilités que ca  entraine, communiques nous impose, nous déverse.

    Eh bien, messieurs j’ai compris que le seul, le vrai qui fasse de l’audience reste « guignols » La une n’en avait pas elle aura désormais le sien, et non des moindres notre président en personne, et en vrai, nature.

    Canal s’y était essayé et avait parodiés avec son émission culte, battu par le vrai.

    Enfin j’ai compris sans l’avoir vu, mais vos commentaires le lendemain ont éclairés ma lanterne, ainsi donc pour faire de l’audience de l’audimat, ainsi pour satisfaire, mettre en avant vos marques et autres publicitaires, il vous fallait ce clowns.

    Drôle de monde ou pour présenter, représenter il faut un pitre.

    Ancien, Je suis de la vieille école j’acceptais et comprenais l’érudition et la faconde d’un regretté   Léon Zitrone.  J’aimais la richesse d’un Pierre Tchernia ou autre Pierre Sabbag, nous adorions les plongés dans le réel de « Cinq colonnes à la une.

     

    Aujourd’hui les journalistes ne savent plus dire bonjour, il nous reste la momie « Toutantenne2 » Drucker »70 ans de «  bons et loyaux services pour la cause, pièces jaunes ou autre, bientôt rattrapé par l’inimitable Julien Lepers «  Questions pour un.. ».

    Nous reste aussi les nouveaux réalities show, téléréalités, télé thérapies, sans oublier les sempiternelles séries américaines bien sur.

     les catastrophes s’étalent  à longueur d’émission, chacun reprenant le fait, nous le faisant digérer  à sa sauce.

     

    Quand je vois tout cela vous ne m’empêcherez pas de crier, vive la radio, au moins la bêtise nous n’à voyons pas.

     

    Voilà je pense que je suis vraiment un vieux con.

     

     

    G B.

  • De qui se moque t'on !

     

    Une affaire mobilise, retient l’attention, focalise tous nos commentateurs, journalistes, et autres parasites des médias ; même notre président s’en mêle,  y va de sa déclaration, et si ce n’est pas pour taxer les revenus des traiders, Ce n’est pas pour nous rappeler à nos devoirs civiques, face au pseudo péril des minarets, ce n‘est pas pour donner un peu d’oxygène à nos transporteurs, qu’ils soient chauffeurs routier, ou conducteurs de  Métro et RER.

    Pire que la grippe A H1 N1, plus fort,  cet imbroglio  climato-catastrophe, d’une fin annoncée.

    Ceux là même  sont en effervescence, les professeurs de médecine se mobilisent, des exactions-agression sont commises, diable quelle nouvelle guerre se prépare.

    Oublier  l’IRAK et L’AFGANISTAN.

     

    Relégué ;  ce rassemblement de Copenhague sur les mesures à prendre pour sauver la planète.  Comme sa cohorte de chef d’état au chevet de notre vieille terre qui leur rapporte tant, et qu’ils pillent sans compter.

    fi, du Président Américain OBAMA et sa nomination au prix Nobel de la Paix décerné en catimini.

     

    Une seule chose, un seul fait mobilise, rend l’opinion publique en émoi, trouble  les consciences. De quelle énormité s’agit ‘il ?  Quelle terrible tourmente nous guète?

     

    Une affaire d’état ! , peut être  trouverons nous quelque ressemblance avec le décès de Mickael JAKSON, qui à plongé notre microcosme Politico Médiatique dans un état proche du néant.

    Ce phénomène avait  fait oublier, vidé de toute substance tout autre événement, seul ce défunt grandissime personnage comptait, pendant des jours il nous fut servi à toute les sauces, il avait plongé le monde dans un vide sidérale, seule constellation à graviter dans l’univers des chambres de rédaction.

     

    Nous prépare-t-on ? les médias adores ça, à quelques nouvelles pertes gravissimes.

     Comme le plongeur de haut fond qui comprends ce que c’est que de commencer

    à manquer d’oxygène.

     

    … Ah bon Johnny est malade, pire une opération manquée, ouf heureusement cette fantastique puissance Américaine, cette nation providence, après être intervenue en Irak ; En  Afghanistan, va aussi intervenir pour sauver l’idole des jeune.

    C’était donc de cela que vous vous faite tant de raffut.

     

     

  • Amours loupés

    Coucou petite poupée.

     

    Je corresponds avec plaisir avec toi, j'apprécie ton charme et ta jeunesse fougueuse.

    Je te l'ai déjà dit, tu es très belle et attirante, mais tes photos me manquent,

    Bien sûr, tu te prends la tète avec ce que je t'ai dit, tu oublies notre différence, bien sûr je serais très content de te serrer dans mes bras.

    Tu es très belle et tes petits seins  si mignons, je rêve déjà de les mordre, et de les caresser.

     

    As  tu déjà  sentie le bonheur de deux êtres qui se rencontre et font l'amour parce que leurs corps crient cette envie qu'ils ont l'un  de l'autre.

    As- tu déjà connue ces caresses, sur ta peau, d'abord du bout des doigts, puis avec la langue qui vient sentir ce grain de peau, cette douceur cet abandon, tes sens  défailles.

    L'envie  te possède et te fait tout oublier, et t'offrir avec une intensité, une force presque dévastatrice et qui te submerge.

    Connais  tu cette chaleur  intérieur  qui te précipite dans un oubli.

    Plus rien n'existe que l'accord et l'envie de l'autre de ce plaisir que tu attends, que tu demandes.

    Ce corps qui livre une véritable bataille et pour se libérer, l'à  il n'y à plus ni retenu, ni pudeur ni honte ; peut être un dernier combat, vais-je succomber, me laisser emporter par cette force terrible, ce ras de marée qui veut que de quelques gestes désordonnées on dépouille plus qu'on ne déshabille l'autre.

    Et ces deux corps nus enfin  se cherchent, les doigts regardent avec leurs yeux, la langue goûte cette peau  moite  un peu salée, cherche la source de la vie, les lèvres humides , tu attends, tu espère tu cherches ce moment suprême ou tu attendras cette pénétration douce, ces ondulations que nos corps imposeront pour aider le plaisir   à entrer et atteindre l'extase !

    Quand  toi aussi tu es seras venue  avec tes contractions intimes presser ce membre qui en toi te crache ce suc de la création, ce liquide blanchâtre comme du petit lait que tu apprendras à aimer , son petit goût  tiède et acidulé c'est un peu comme des larmes, la source du bonheur, ce trop plein   que tu laisse se répandre.

    Tu boiras à cette source de vie, comme je viendrais chercher en toi, dans tes profondeurs la douceur de ton miel de ton jus.

    Ce fruit merveilleux, à la chaire si bonne.

    Nous sortirons de ce torrent humide et épuisé, ayant trouvé la plénitude de l'oubli.

     

    Voilà petite fille, petite poupée ce que je voudrais t’offrir, ce que tu dois sentir, en plus de cette étreinte qui te  prend dans le ventre quand  tu  penses  à ton aimé.

     

    Guy.

     

  • Il faut Voter!!!

    Politique de tout crin tu nous à bien berné, trompé, utilisé, épuisé.

    Politiciens, une bien piètre appellation, une bien peu glorieuse recommandation, qui pourtant fait recette, la place est bonne, d’ailleurs si  ils sont tant à vouloir se l’accaparer, se l’approprier.

    Si les batailles sont si rudes pour se présenter, conquérir, maîtriser, obtenir, se faire élire !

    Petit homme j’ai navigué sur vos radeaux, c’était à qui prétendait me récupérer, me formater, me driver, même me discipliner !.

    ..Le kilo de chaire humaine est bien peu chère, la crédulité passagère offerte, la niaiserie à l’ordre du jour.

    Toute ma vie rebelle j’ai refusé, aussi accepté, on ne peut pas se faire que des ennemis.

    J’ai composé j’étais dans leur moule, dans ce réseau qu’ils avaient tissé pour emprisonner ma pensée, pour canaliser ma rébellion. J’en ai avalé des tonnes de discours, sur la méthode, ou sur la nécessité., le besoin, le savoir faire, leur comment être..

    Le bien fondé, le raisonnement, les préceptes, les concepts ,les tendances,

    Quand le doute s’installait en moi, on brosse dans le sens du poil, moi aussi j’ai mes faiblesses, comme mon chien j’apprécie d’être, du moins de paraître, ce n’est pas tant la considération que ce besoin de partager, de se sentir aimé.

    J’y ai cru, le changement, un monde meilleur, c’est pas le monde qu’il fallait changer c’est les gens leur mentalité pourri, leur besoin de réussite, de conquérir, combien de mises au pas de  rappel à l’ordre, comment ils ont essayés de sculpter mon cerveau, de le drainer avec leur mots de passe, leurs sentences, leurs conseils, leurs théories, leur dictat.

    Tiens même il faut VOTER, c’est un droit gagné de haute lutte par nos pères, tu ne peux pas…

    Tu dois..Il faut….Leurs raisons faisaient chanceler la mienne.

    Pour qui, pour quoi, l’autre est quand même moins pires, allez décides toi !

    Et dieux sait qu’ils en invente des élections pour que tu puisses te sentir y participer, pour te sentir partie prenante.

     parce que, chute ; faut pas le dire,mais il vaut mieux les berner, les tromper en les laissant croire qu’ils ont choisi, participé, apporté leur opinion. leur libre arbitre.

    Foutaise, ils te font creuser la tombe qu’ils te destine, ils te permettent de penser, mais leur pensée, celle de nos, de leur médias, ils t’autorisent, mais te font dire ce qu’ils veulent, te font élirent les hommes qu’ils ont mis en place, qu’ils t’on choisi.

    Tous les mêmes, tu crois avoir le choix, mais c’est comme ton avenir,c’est pas toi qui décide, déjà dans leurs écoles ils  t’on dirigé, éduqué, t’on proposé leur filières, t’on organisé le droit de subir, t’on proposé leur formation, ont orchestré ton futur, à leur service, pour que tu satisfasse leur besoin tout cela dans le cadre de leur pensée, leurs envies, leurs réalités

    Toi les tiens, mais tu n’existes pas tu es par eux, pour eux., laisse toi aller ils vont t’organiser une gentille petite vie, petite réussite, tu auras ton petit chez toi, tu choisiras une gentille petite femmes, tu feras tes deux ou trois enfants pour la suite, pour l’avenir, lequel le tiens ! idiot je t’ai pourtant dit qu’ils dirigent pour toi, gèrent, maîtrisent, informent !.

    Toi tu n’es rien que leur objet, leurs machines,ce bras qui exécute leurs pensées.

    Maintenant que je me suis libéré, que j’ai rompu les amarres, j’ai mon autonomie, je n’ai plus besoin d’eux seulement de certains de leurs produits.

    Maintenant je puis crier ma révolte, me lâcher dans mes pensées, refuser leur complicité,rejeter leur monde, leur pensée, leurs décisions, leurs principes.

    Maintenant je vais pouvoirs  ; Montrer, faire partager mes valeurs, mes choix, mes envies, je ne me substituerais pas à eux, non je veux les nier, les oublier.

    Moi je partage, j’échange, je donne, je reçois aussi.

    Moi je choisis, j’apprends, je contemple, je profite, mais c’est avec les yeux, avec le cœur….

    Je m’ouvre aux autres j’aime, et je veux que l’on m’aime.

    Et demain je n’irais plus VOTER, mais je serais inscrits, je veux leur faire  savoir que j’existes.

  • A Danièle........

     

    Tu m’as aimé, et l'as avoué l’espace d’une soirée,

    Tu avais bu, je ne peux l’ignorer ;

    mais ça ne peux tout expliquer ;

    Et ta sincérité pourquoi te la reprocher.

    Ivre tu as glissé, comme le bateau tu t’es laissé emporter

    Par le flot de tes tumultueuses pensées.

    Ce reproche de n’avoir pas craqué ;

    Mais tu étais tempête et j’aurais pu flancher.

    Pourtant j’étais trop bien arrimé, je t’avais peut être trop pratiqué.

    J’aurais été ta bouée pour un soir,

    Tu sais, ce quelque chose auquel tu cherches à t’accrocher,

    Ou ce phare a la fois mirador et point de mire.

    Tu dis non, tu refuses et puis rejettes tout.

    Tu balances sur la houle et, marine préfères grise mine.

    Tu sais pourtant être brillante, miroiter sous la lune,

    Rêver la l’assaut de fugitives dunes,

    Allumer tes feux de détresse, et malheur à qui peux les capter.

    A moins que de toi-même tu ailles à l’abordage

    Précipitant tes victimes sur des récifs, dans un abîme insondable.

    Marée lunatique qui brise ses flots,

    Rocs coraux rocs, rien n arrêtes ton éternel balancement.

    Tu tourbillonnes rageuse et repars alanguie

    Ou tu roules inonder quelques landes arides

    Brutale tu nous suffoques, ou câline à nos pieds

    Sans cesse recommences une nouvelle virée.

    Et si petit bouchon tu fais mine de couler, tu repars ballottée.

    Si l’on rêve de te voir happée, tu resurgis toujours, bien balancée.

    Alors on fuit, car on vacille, vertige ; Pourtant si hypnotisé on s’entête

    Nos yeux se brouillent on croit que tout s’arrête.

    Et si simple curieux on espère ce moment,

    Qui te fera chavirer, et te verras enfin noyée.

    Tu es mer et vagues, et moi poisson ; Et si des fois tu me submerges,

    N'oublie pas que je suis dans mon élément comme toi,

    Tu es ce qui me fait vivre, je justifie ton état, on ne peut y échapper.

    Alors écoutes moi gober tes tourments et puis m’en contenter.

    N’ai aucune colère, ni trouble, gardes ta fraîcheur, ta transparence,

    Continue à nourrir ce plancton qui te permet de te régénérer ;

    Et ne t’inquiètes pas pour ces rochers puisque tu les rendras sables.

     

    A Danielle, mon amour adoré.

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  • Des sifflets au stade de France

    Bon, Monsieur Sarkosy, je sais vous voulez vous méller de tout et tout régenter.

     

    Mais attention, faudrait pas stromper, j'ai bien regardé le film des événements, au stade de France les spectateurs, y on pas sifflé la Marseillaise, mais bien la chanteuse qui interprétait cette oeuvre avec un chapeau.

    Quel manque de savoir vivre, quelle indécence.Devant notre hymne national, on s'lève, et on se découvre.

    Voilà la vraie raison.

    Allez Sarko retourne à la cuisine de tes Bourses.