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Le petit coin du râleur - Page 21

  • Pauvre de nous

     

    Pauvres de nous !

     

    Il y à peu de temps c’était les vacances, alors que notre bien aimé président se faisait bronzer à Brégançon, ou en Corse je ne sais plus, peut importe d’ailleurs.

    Alors qu’à cette période certains groupes pétroliers amélioraient leur santé sur le dos des utilisateurs, faisant atteindre des sommets au prix du barils, ce bien plus que carburant, nos bouteilles d’eau ne sont-elles pas issue de cet or noir.

    Alors que les automobilistes étaient obligés de se restreindre, de parfois choisir ou la voiture ou les vacances, et la bouffe dans tout ça ?

    Car rappelez-vous à cette période tout s’était emballé, même le prix des pates, le litre de lait, la farine, la baguette de pain avait encore prit cinq centimes.

    A l’heure ou les salariés, les retraités, les chômeurs réclamaient du pouvoir d’achat, alors que nos gouvernants prônaient la rigueur, arguaient que les caisses étaient vides.

    Misères, seuls quelques « traideurs » jouaient en bourses des sommes colossales, gagnant perdant, les parachutes dorés amortissaient les coups, combiens de gros sous ?

    Pourtant nous n’étions guère concerné, sauf éventuellement pour les  «  petits porteurs » de participation, bloquée là par des entreprises qui se servaient de cette manne pour éviter les augmentations, vous savez ce plus que dans le temps un patron, un responsable donnait pour encourager, pour gratifier, pour reconnaître.

    Fini tout ça, vous n’êtes plus qu’un vulgaire pion, un numéro, un CDD ; et puis on vous le répète à longueur de média, on vous accuse, vous coutez trop chère à l’entreprise. Les travailleurs étranger eux…

    De toutes manière pour ces salariés floués, ces sommes étaient une réserve, de l’argent qui dort, un avoir au futur éventuel, une hypothèse de s’enrichir, un petit quelque chose que l’on à de côté.

    Donc misère, pauvres gens de ceux qui accroissent les chiffres du

    Surendettement, mais qui viennent grossir aussi les agios perçus par leur banque au titre du découvert autorisé ; Le risque se paye, braves gens, il faut pas vivre au dessus de ses moyens.

     

    Bon au fait, je vous disais, plus tôt ; on vous avait dit qu’il n’y aurait plus d’argent dans les caisses enfin pour vos besoins, pour vous soigner, pour ce RMI transformé en RSA : et qu’entendons nous donc….. je rêve, mirage affabulation, alchimie répétez s’il vous plait ? UN PLAN DE 360.000 MILLIARS D’euro, rien qu’en France ; je sais plus combien dans ce putain de monde capitaliste, sorti du chapeau de nos illusionnistes, et encore nous répètes t’on que c’est de l’argent qui existe, mais que nous n’avons pas, mais qu’on pourrait avoir et même que celui-ci va rapporter des intérêts à l’état…

    Et vous vous demandez comment boucler votre budget, comment à la veille de l’hiver, acheter à votre enfant ce manteau qui lui fait tant défaut.

    Vous dites devant votre quittance de loyer, sur quel poste vais-je rogner pour régler ces factures, tous les jours, je m’en veux d’avoir promis au gamin de lui acheter cet ordinateur, parce que les copains, et puis pour l’école…

    Parce que l’on nous rabat les oreilles avec internet, tiens si tu l’as pas t’es un moins que rien, perdu pour la patrie, l’avenir et le développement.

    Et puis la voiture, plus de dix ans bien sur le mari à bien bricolé ce pot d’échappement qui menaçait de tomber à chaque secousses.

    Enfin nous plaignons nous pas, elle nous transporte et pour ce qu’on l’à payée 400 euros à une voisine, une chance tu comprends.

    Bien sûr elle coute en essence, assurance, mais pour aller travailler c’est quand-même un avantage, pensez donc sans elle, je dois prendre un bus, un deuxième bus, ou le train, et pour finir faire encore dix minutes à pied aussi quant à l’arrivé je m’installe dans ce café pour y prendre une tasse, ce n’est pas un luxe.

    Trois cent soixante milliards, combiens de petits café, de loyers, de manteau et même d’internet.

    Combiens de jours de travaille, en plus j’ai choppée la crève, j’ai froid, je tousse, je devais me faire vacciner contre la grippe, Oh ce n’est pas pour le plaisir, j’ai une sainte horreur des piqures, tu peux y aller faut pas que je regarde quand il me pique !

    Je devais le faire car quant on travaille avec le troisième âge il vaut mieux être couvert, ne serais-ce pour ne pas les contaminer.

    Attends répète pour de rire pour le rêve 360.000 milliards d’euros, et moi qui trime par tous les moyens pour passer mon permis de conduire, car avec je serais autonome, tiens je t’emmènerais faire les courses.

    Tu sais pour ce permis j’ai bien vue qu’ils faisait des stages à 400 euros, encore que je ne sais pas si dedans ce prix y à les frais d’inscription pour le code, puis pour la conduite, et puis je dis que je l’aurais du premier coup, mais on sait jamais, tu vois c’est pour me le payer que tous les jours je vais travailler, je suis crevée mais je m’accroche, encore deux mois, ou plutôt une quinzaine de CDD, toutes les semaines y me refont un nouveau contrat, tiens aujourd’hui j’y suis allé, j’attends, de toute manière la secrétaire à encore oublié mes heures sup, tu parle d’un cirque.

    Et puis mes petites mémé si gentille, tiens madame Machin elle à même plus de pile pour sa montre, tu crois que je pourrais lui en acheter une ? Tu verrais elle trimballe partout un vieux réveil pour avoir l’heure.

    Tiens elle est pas belle la vie !

  • Fête du l'Huma

     

    Fête de l’Huma.

    Et oui cette année encore j’y tais !.

    Depuis qu’on nous prédit, « se sera la dernière… »

    .

    Messieurs qui nous dirigent et prétendent diriger notre pensée, nos actions, notre vie.

    Avez-vous vu cette file ininterrompue emplissant ces navettes RATP, lesquelles à peine pleine démarrent, direction la fête, il n’y a pas à se tromper, y a qu’à suivre le mouvement, le seul risque c’est de se faire marcher sur les pieds, mais l’à encore un pardon, un sourire de connivence.

    Donc cette foule, ces hommes, ces femmes, visiteurs animateurs témoins silencieux mais présent, participant pour cette longue marche vers un autre monde, une autre vie. Ces tètes, ni bien pleines, ni bien faîtes déambulent dans ces allés, qui cherchent une connaissance, ou une collation, un coup à boire, ce verre de Mosquito qui déplace les foules.

    Ils sont tous l’à parfois fatigués mais toujours heureux, j’y étais comme tant d’inconnu anonyme

    Messieurs les journalistes trafiquants, manipulant l’information même ceux de nos chaines nationale ; ils doivent s’essayer à la suppression de la pub, pas un mot sur cet événement.

    Bien sur y à le pape, un enfant disparu, une collision ferroviaire, bien sur il vaut mieux faire des bulles sur la non présence de Besancenot invité pas désiré, C’est vrai lui c’est une valeur des sondages, auteurs de ces manipulations d’opinions.

    Ah y à aussi le sport et son lot de but, voir de coups, même de mauvais coup..…

    Tiens encore sans oublier la sempiternelle succession annoncée de Le Pen.

    Or donc Menteurs de nos médias, journaleux à la botte du pouvoir et des patrons.

    Alors cette foule, z’avez qu’a demander à la RATP, combiens de bus, combien de rotation, même les jeunes recrus de la police faisant la circulation, ils ont vu ; Ils y étaient, et vous en avez a peine parlé, bizarre trouvez pas.

    Samedi soir, 1 ère impression.

  • Appels Désespérés

    Guy Biaujaud.

    77186 NOISIEL.

    Tel :  06.69.11.73.17.

    Email : guy.biaujaud@laposte.net

     

    Madame,

    Ma vie n’est, ni vide, ni ennuyeuse ;  Je dirais même que je ne manque ni de relations, au sens environnement amical. Ni d’occupations.

    Seul un certain vide affectif, et de m’être laissé abuser par une petite annonce et une agence, me fait prendre contact avec vous.

    Après ce positionnement rapide, permettez-moi de me présenter : Pas me décrire car c’est là une question de regard, mais vous permette de m’approcher, de savoir si je vous donne envie de me connaître, qui sait de se rencontrer.

    A priori notre démarche est la même, nos désirs s’accorderont-ils.

    Agé de 59 ans, si je fais le point, j’ai eu, à la fois une vie tranquille avec ses joies, ses peines, ses soucis.

    Aujourd'hui je ne suis pas au bout du voyage mais ma route ne sera plus semé des embûches et des soucis que créent le travail, je veux dire quand on a un patron, qu’ont subi des contraintes, le stress, enfin tout ce contexte.

    Retraité je suis libre, je n’ai de compte à rendre à personne, et je puis utiliser le temps tel qu’il se présente.

    Depuis douze ans ma vie s’articule autour de mes chiens, j’en ai eu un, puis deux, je les ai perdus ; j’en ai repris un autre.

    Fidèles compagnons, ils ne demandent rien, que d’être aimés, sorti nourri, que des vraies valeurs, pas de tricheries.

    Bon, question voyages, j’ai donné et pour l’instant je ne rêve plus d’évasion.

    Questions sorties, c’est un peu la même chose, il y a eu une période où je n’étais jamais chez moi, toujours occupé, j’apprécie maintenant et mon chez moi et la tranquillité.

    Comme je le disais je n’ai plus de compte à rendre et libre de m’organiser.

    J’apprécie que les choses soient rangées, et que l’ordre règne.

    Cependant je n’en fais pas un principe je m’accommode de quelques poussières on d’une vaisselle pas faite.

    Je suis » emmerdant » sur les principes, non sur le résultat.

    Je n’aime, ni la vulgarité, ni les êtres trop sophistiqués.

    Par nature généreux, je ne veux pas être pris pour une poire.

    D’attitude négligée, je prétends que ce qui est important n’est pas dans l’apparence, mais dans le comportement, Rabelais disait « qu’il vaut mieux une tète bien pleine, qu’une tète bien faite. »

    De bonne éducation, j’apprécie la culture, le débat, mais pas les discours.

    Si je suis libre je veux que les gens le soient avec moi.

    Je ne suis propriétaire de rien et donc la aussi sans attaches,, seules les contraintes liées à mon animale me retiennent.

    Je ne suis pas drôle pourtant j’ai de l’humour, je ne suis pas beau mais j’ai du charme ; Je ne suis pas un phraseur bien qu’ayant de la répartie, j’aime l’écriture, les mots sans être un penseur.

    J’aime aussi le silence.

    Malade du coeur depuis toujours, la médecine m’a permis de vivre, j’en porte des séquelles, mais aussi une certaine force, peut-être même rage de vivre.

    Voilà ce n’est qu’une approche, histoire de jeter des bases.

    J’ai envie de tendresse et que ce soit pour, soit passer un moment, soit pour plus, je m’offre à vous, mais j’attends un retour.

  • Ma ville, NOISIEL 77-les municipales

    Coucou les revoilà !

    La campagne bat son plein de nouvelles, et nos médias nous abreuvent de sondages de potentielles.. De listes tout azimut.

    ENCORE HUIT JOURS ? LA DERNIERE LIGNE DROITE.

    Et qui va basculer, l’effet SARKOSY, son image négative va t’elle influencer les électeurs..

    Vous le saurez dimanche soir.

    En attendant nous n’y échappons pas et notre Maire D.VACHEZ met les bouchées doubles, les promesses vont aller bon train.

    Il faut dire en plus qu’il s’est donné les moyens de sa propagande combien de nouveaux panneaux ornent nos trottoirs.

    Nous avons aussi ces colonnes  Meurisse qui décorent notre Allée des Bois, vous ne pouvez les manquer, et « Médor » y a toute sa place avec ses 80 Kg de crotte par an que nous laissons sur les trottoirs, c’est dégueullasse !…

    Bien sur ceux-ci ne nous parlent pas de la pollution émise par nos voitures et autres véhicules, ces nuisances là peuvent, doivent être cachés, seule la planète s’en souviendra, CHUTE C’EST POUR NOTRE PROFIT.

    Tandis que nos braves TOUTOUS VOUS EMMMERDE.

    Donc, nous sommes en pleine campagne, les professions de foi emplissent nos boites à lettre.

    Pendant ce temps et depuis assez longtemps, nous, nos locataires attendent, demandent qu’on leur répare un banc, que l’on mette quelques poubelles, et qu’on ferme cette allée piétonne qu’est l’Allée des Bois, qui sert de parking, de piste de vitesse, et sur laquelle aussi on demande plus de sécurité.

    On dit qu’il y a loin de la coupe aux lèvres, il y a très loin des promesses de campagne, à la satisfaction et la tranquillité des électeurs.

    -

    ET A TRAVERS CA JE NE  SAIS PAS POUR QUI JE VAIS VOTER.

    Bon nous avons encore huit jours pour réfléchir.

  • il parrâit qu'avec internet...) voir

    Bon alors voilà je suis enfin équipé, j'ai l'ADSL, un écran un clavier, même une souris,et avec çà deux bras deux jambes, je vous le dit, comme chacun d'entre vous. alors que diable puisque l'on nous en rabat tant les oreilles, je vais faire comme tout le monde et  aller causer sur internet ; car y à pas que ceux qu'on rien à dire qui ont le droit de se répandre.

    D'abord que je me présente, je ne suis rien, je n'attends rien.

    Tiens il faisait beau aujourd'hui et j'ai fais une grande ballade mon chien, celui là au moins il est gaté, et si je me consacre en priorité à lui c'est parce qu'il vaut mieux que vous.

    Oui en réalité celui-ci dépends de moi, le nourir, sortir : il ne demande jamais, il sait que je vais devancer ses attentes, et puis je lui ai loué ma vie.

    Allez donc vous rendre compte dans mon prochain chapitre, que le vous situe l'historique.

    Enfin pour ceux qui veulent me suivre.

     

  • Un jour l'esprit me vint

    Bonjour d'abord,

     

    Du blabla on, j'en entends à longueur d'écran ; on nous en balance sur chaque châine, oh bien sur c'est l'alignement, même certaines pub se trouvent envoyées au même moment, fichtre  ils sont vraiment fort.

    Et nous vraiment des imbéciles de nous laisser gaver.

     

    On dit pourtant l'homme intélligent, la femme aussi alors disons l'individu bon bref nous vivons le savoir (vous savez ce qu'on vous à appris!)

    Et ils nous rabache, et ils nous radotte, nous montre, nous démontre, tiens je parlais de pub, merde c'est la même chose en politique, ils nous vendent leur produits, leurs salades.

     

    Du calme patience, vous en avez pas fini avec mes élucubrations, je n'ai guère d'ambition, je ne cherche pas à plaire, je veux simplement crier ma révolte, et j'ai tout mon temps.

    A plus.