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Le petit coin du râleur - Page 19

  • Le temps qui passe.

    Le temps qui passe.

    Ou l'art d'exister, et de le mesurer par la pensée,

    L'automate bouge, mime il existe et ses mouvements pour réels qu'ils soient n'en sont pas moins que l'expression de la pensée d'un autre, le fruit de l'imagination.

    Il prétend en faisant bouger, faire vivre, donner cette ressemblance nous apporter l'illusion du réel, il nous permet de transposer ce désir de nous reproduire, de nous composer une chose vivante, un autre nous même.

    De là, à imaginer un désir de clonnage, se reproduire.

    L'homme pense, cherche, élabore, imagine, construit ; En même temps il détruit ce rève, crée ce double fantasmagorique et fini en complet équilibre.

    L'homme individu obscène ne cherche pas à se surpasser, déjà il veut plus ; plus de temps, d'espace, de grandeur de possession.

    L'être joue, non à gagner valeur noble, mais déjà de tout temps être le plus fort, dompter, puis maîtriser, posséder.

    Le cerveau humain est-il si vil, petit.

    Nos milliards de neurones si bien imbriqués dans notre processus de vie, chacun complétant l'autre merveilleuse mécanique, tant de richesse pour un si petit homme.

    Certes, les Einstein, Curie et autres génies, s'ils avaient su qu' en découvrant l'atome et sa fission, ils donneraint aux autres non le développement mais l'anéantissement de la vie.

    Celui-là même pourtant capable du meilleur se voue au pire.

    Toujours plus, non de savoir, de connaissance de partage et d'échange.

    L'homme bon est-il philosophe

    Déjà Pinochio prédisposait cet "être" là,

    Petit homme de bois, il se voulait l'incantation de l'être bon, parfait.

    Même "Gépéto" son "mentor" chargé de lui montrer la bonne voie.

    Drôle de vie que ce double prédisposé.

    Ma mémoire garde ce petit personnage, ce redresseur se tord, seul le droit chemin, et le bien figurait dans ses actions.

    Et le temps dans cela me direz vous.

    Certe le sablier comme le tic tac de la pendule augurent ce long écoulement ce mouvement perpétuel.

    Pourtant il semble court le moment du sablier, hélas notre vie à l'échelle du temps n'est guère plus longue.

    Pensez votre ami celui qui vous accompagne, chien chat aprés dix quinze ans vous laissent tomber cruelle douleur, tant de vies dans une vie.

    Tant de petits bonheurs et quelques bons moments.

    Joies peines vivre l'instant.

    G  B

     

     

     

     

     

  • Ils ont voté

     

    Vive la Guéguerre.

     

    Allons Méssieurs, triste sir ; Il ne vous suffit plus de vous écharper, plutôt égratigné, vos vétilles, vos simagrées, vos pics et anicroches, vos coups de gueule, vos élans de colère.

     

    Du cinéma, que dis-je de l'esbrouffe.

     

    Pourtant comme un seul homme, d'une même voix vous savez vous entendre.

     

    Comme souvent, ligués dans un bel ensemble vous avez voté pour continuer la guerre.

     

    L'Irack, l'Afghanistan ne vous suffisait pas comme terrain de bataille, maintenant la Libye, qui sait pourquoi pas bientôt la Syrie, ça vous démange.

     

    Que leurs peuples se rebellent contre leurs dictateur, certe des tyrans, mais sous couvert de liberté ou de je ne sais quelle morale, vous disposiez des Nations Unis ; Résolution 1973.... Quand ça vous arrange.

     

    Qu'Israël crée un gigantesque camp, enferme tout un peuple, que l'ONU ai timidement condamné; néanmoins avec 65 résolutions, fi de vos gesticulations, personnes ne moufte, Les Palestiniens, ils en ont cure !

     

    Mais l'ordre mondial à la sauce Américaine, alors là on y va, vive la France, Vives les Peuples opprimés, en avant notre force de frappe.

     

    De Gaulle voulait une force de dissuasion.

     

    Voilà encore Droite- P S Même combat.

    Allons z'enfants de la patrie....

     

     

    G.B

  • La télé( encore)

     

    La Télé, (encore)

     

    Pas triste ces moments fabuleux de libérations d'otages.

     

    L'histoire va ainsi de jours de geôles à des jours de joies.

     De belles histoires aux faits divers réels......

     Notre dernier feuilleton américain plus vrai que vrai, tous les ingrédients dignes d'une super Série.

     Des blancs, des noirs, ca fait toujours recette, des riches des pauvres, comme partout.

     Des hommes, puissants, des femmes pauvres et misérables.

     Des belles voitures Porche  entre autres, et une famille pas JR mais DSK par exemple ; Des super hôtels, des juges, des flics, même la prison pour de vrai.

    Un viol, vrai surement, encore. Et pourtant ils s'aiment.

    Des enfants pour le décor.le tout sous couvert de campagne électoral.

     Wouah, il ne manque plus qu'un titre du genre "desperate  Story..." c'est quand même autre chose que notre "plus belle la vie".

     G.B.

     

  • Otages

    Sensationnel Dernière :

    Encore un Otage libéré.

     

     

    Ainsi la France est en veine, après nos amis journaliste,  détenus en Afghanistan  ceux-ci enfin libre après un an et demi de captivité...

    Ils ont retrouvé des leur descente d'avion femme, enfants, parents collègues, même leur boulot les attendait, et ils furent ovationnés par leurs collègues ; Ceux-ci en leur absence en surcharge de travail les ont accueillis avec un énorme plaisir.

    L'histoire ne dit pas si en leur absence et durant leurs "vacances" ils auront continué de toucher leur salaire, ce que nous espérons, n'étaient-ils pas en mission pour leur entreprise.

    Autre inconnu, combien couteront ils au peuple Français en deux mots combien l'état aura-t'il  payé pour leur libération.

    Autre grande libération dans la foulé Dominique Strauskan retenu par la justice des États-Unis.

    Celui-ci aura été enfermé une quarantaine de jours, seul problématique est, que ce dernier a perdu son boulot.

    Alors quel avenir pour cet ex-geôlier.

    Voilà pourquoi des femmes abusées n’osent pas porter plainte.

    Enfin là aussi on appréciera cette justice des riches, quand d’autres « à Quantanamo par exemple », restent  enfermés les pauvres bien sur.

     

    G B

  • P S 2012 ; Chronique d'une défaite annoncée.

    Hors donc, jamais 2 sans 3.

    Ainsi après 2002, 2007, 2012 suivra.

    Serais-je un oiseau de mauvais augure, ni devin ni grand prêtre il suffit juste de constater ; fi des sondages, lesquelles voient une victoire : Aubry, Hollande ; ils avaient déjà misés Stroskan alors.

    Illusion d’optique, désir d’envie face à cette droite « Sarko-phage ».

    Bien sur tous les ingrédients sont là ; Alors pourquoi la sauce ne prend pas ?

    Pour sûr une partie les Français sont  lassés des promesses, et puis cette gauche, la vrai, celle que Mitterrand à utilisé, piégé, coulé, noyé.

     Serait-elle prête à encore croire au chant des sirènes , celle là même ex force d’appoint, qui  a creusé sa tombe, désabusée, bafoué aura-t-elle envie d’aider à porter  vers la victoire, ce P S timoré, ces porteurs de la sociale démocratie, ces « pro-Européens » des nantis, ceux là qui ont mis en place Maastricht, L’euro, ont voulu cette constitution Européenne cher à la droite , ceux là toujours qui au nom de leur Europe avaient commencé les privatisations d’EDF de France Télécoms.  etc. ; Ainsi, droite gauche même combat.

    Le peuple, celui qui bosse se lève tôt, celui qui remplit les caisses de l’état, vous, moi ;  celui qui au final paie les taxes et les impôts, lui ne croit plus en leur politique, en leur salade, en leurs sornettes.

    Comme moi ils ne croient plus en cet avenir, ils ont cessé d’aller voter ou alors, pire  ils ont par dépit, par désillusions donné leur voies aux extrêmes ; parce que il y en a marre.

     

    Alors, en plus chez nos co-ex renégat ces pilleurs des tombes de nos illusions, pourtant au faite des attentes ;  mais quid de leurs propositions, de leur organisation.

    Une première secrétaire qui en veut, un ex premier, présent lui aussi, une déjà ex candidate, toujours en piste, des jeunes loups aux aguets, des vieux stroumphes qui agitent, qui s’agitent et ça pue.

     

    Le bordel : tout le monde est candidat potentiel,

    Oui c’est la merde.

    Et pas une tête qui dépasse, juste un gigantesque jeu de massacre.

    Pauvre France, allons nous devoir, par manque d’une véritable « autorité » qui sortirait du lot avec des idées, en imposerait, rassemblerait, allons nous laisser encore la droite, et sa « Sarkotisation » re-passer.

    Cette France des inégalités, des gâchis.

     

    Alors si  encore la droite revient ; Celle-ci libre imposerait, cette terrible politique de la mondialisation, de ; Toujours plus pour les riches et les pauvres, les "blacks, blancs, beurs, les roms et autres moins que rien," toujours moins.

    Vont-ils pouvoir continuer d’appliquer leur envie de droite extrême, de justice aux ordres, d’écoles que l’on vide de ses profs, de sa matière de son avenir.

    Notre monde malade de l’Europe, des banquiers, des dividendes.

    Cette droite qui nous dénie, ces  Atlantistes, va t’en guerre aligné sur les Etats-Unis.

    Cette grande puissance de l’argent roi, là bas même les procès s’achètent, combien de millions de milliard qui passent au dessus de la tête de ses juges ; Payer pour voir, pour attendre, être libéré.

    Payer toujours ; là bas aussi misère aux pauvres ; ils sont pourtant légions.

    Alors la seule hypothèse crédible pour voir ; pour rire Sarko Président, et une majorité à la chambre Rouge rose.

    Allez !  on y va et va y avoir du sport.

     

    G.B.

  • J'en suis

    C’est donc cela votre justice !

    Évidement quand l’ancien ministre du budget, actuellement au travail et dont la femme s’occupait des « intérêts » de la première fortune de France, il ne faut pas s’attendre à ce qu’ils dévoilent leurs secrets d’alcôves.

    Bien sûr il y a conflit d’intérêts.

    Bouclier  fiscale oblige, cette Dame De Betancourt, un peu ramollie par toutes les saloperies qu’elle étend sur vos peaux ; l’Oréal oblige. Un peu confite par ce trop d’affaires, son manque d’intérêt, mais peut- elle connaître le montant de sa fortune, de toute manière qu’importe vous ne lui arriverez jamais à la cheville. Alors qu’elle la dilapide ! Oui sa fille voudrait bien en croquer, mais a ce qu’il semble celle-ci ne nous paraît pas trop démunie.

    Ah ces histoires de gros sous cela en fait saliver plus d’un. Et donc laissons cela aux journalistes friand de ces turpitudes. Une affaire autrement grave occupe et trouble ma pensée.

    De quatre à quelque quinze ans de prison pour quelques gamins imbéciles de nos banlieues.

    Mal nés ceux-ci, pour se défouler, ont molesté quelques peu les forces de l’ordre.

    Ce n’est ni plus ni moins c’est chez nous les forces armées Israéliennes contre ces enfants Palestiniens, Nos petits gars aussi à coup de pierres prétendaient jouer «  la baston » et crier leur existence.

    Et parodie de justice, ou des témoins de complaisances, ou sans preuves et pour la gloire de nos héros CRS en actions ;  la justice à tranchée, verdict sans pitié.

    France tu déshonneurs tes enfants, tu rejettes tout espoirs, tu nies tous ce qui est ta richesse.

    Gloire à ces jeunes, honte à leurs bourreaux.

    Et ils, ceux qui nous gouvernent prétendaient te lire la lettre de Guy Moquet.

    J’ai encore honte, et suis mal d’être nous Français, aujourd’hui je suis  un peu de Villier le Bel et avec toi  jeunes.

    G B.

  • Allez la "bleusaille"........

    Tiens de l’animation, du délire, du jeu pour rire, de l’ambiance,  tout le monde s’en mêle, chacun y va de son anathème, on croirait encore une fois il n’y a plus que ça,  on ne parle plus que de la retraite des bleus, pas de  l’autre, celle qui devrait nous mobiliser, celle qui prétends vous garder aux travaille, alors que même les patrons y veulent plus de vous, coûtez trop cher, z’êtes trop gourmand, vous  n’avez plus la " gniac " pour aller bosser, vous n’aviez accepté de vous faire exploiter, utiliser pour pas cher, pour, Parce qu’il faut bien vivre, travailler. Pourtant vous, vous n’êtes pas trop payé !

    Ah ce n’est pas la coupe.

    Et puis, il y à loin de la coupe aux lèvres.

    Bon vous vous êtes égaré, incontrôlable ; Indécent, vous avez ridiculisé vos sponsors et autres dirigeants.

    Oui vous avez touché le fond, on ne peut tout avoir, le fric celui qui pue, la gloire, et les honneurs, Mêrme l JF Copée y va de son refrain, indigne de l’esprit Français, tu parles Charles.

    Enfin  avec eux c’est la rébellion, ils vous feront boire la coupe jusque à la lie.

    Aux armes citoyens, aux larmes les troyens les " vouvouzellas" tonnent l’heure de cette fronde.

    Et nos ‘petits gars comme prétendent certains journalistes, ils baissent les bras, relèvent la tête même pas honte.

    C’est quoi ¨être Français, la voilà la vrai citoyenneté,  le pouvoir de traiter son « patron » son coache de « fils de pute ».

    Merci moi j’aime.

    Et en plus je serais dans la rue le 24.

    G B

  • Après le Logement, le coffre Fort !

    De qui se moque-t-on. Tant de mépris.

    Indécent, vous n’avez pas dit, Madame Boutin.

    Ancien député, Ancien Ministre, ancienne…. il vous fallait une situation à votre mesure.

    18.000, 00  et quelques euros par mois de revenu, c’est , ce que combien de famille gagnent en une année.

    Je rêve, dans quel monde nous vivons ou les abus, les outrances des uns, couvrent la misère et les déboires des autres.

    Combien personnages de l’état, ou grand patron vivent ainsi, royalement, sans compter, sans mérite ; car leur « statut » leur cynisme les imposent, alors que ceux là même, bouclier fiscal oblige, ne seront pas rançonnés.

    Essayez-vous autres, tiens ; un simple arrêt de travail, stupide accident,que le stress ou la pression aura mis sur votre chemin. Et vous voilà racketté, pillé, ponctionné. Pis encore pour un peu nous devrions avoir honte de vivre petit, simplement ;  chichement miséreux.

    Smicard à une connotation péjorative, pourtant dire merci aux patrons, collectivités ou autres « employeurs » qui pour 800, 00 nous, vous fera trimer, sans compter.

    Ah ce système qui génère ses « Kervielles, et ses outrances, prétendant contrôler quand ça les arrange.

    J’ai honte d’être nous, alors que vous,  vous affichez sans vergogne et que vous, nous jetez au visage votre arrogance et votre mépris.

    Pourtant c’est encore, et toujours sur nous, sur nos petits revenus que nos dirigeants, ces législateurs d’intérêts viendront ponctionner pour combler tel trou ; Fut-il de la sécu, comme pour « renflouer ces banques et autres organismes financiers ». Arbitrairement pillés par ceux là même qui ont fait leur richesse. Et bien sûr réduire nos dépenses, rigueur oblige, et la dette abyssale que vous avez laissé filler, pour servir vos intérêts.

    Gloire, aux pilleurs de coffres, ces détrousseurs de diligence des temps modernes, à ceux qui prennent aux riches.

    G B.