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Le petit coin du râleur - Page 4

  • Nous sommes tous des Charlies,

    Pour ma part je voudrais reprendre une première réaction, un peu moins de compassion, et donc un peu plus de réflexion

    Certes, d’abord la mort a gagné sur la vie.

    Mais les dessins, les destins de l’homme résisteront à la barbarie, à l’intolérance, à la bêtise.

    L’homme est grand, les assassins, les tueurs des monstres bien petits.

    Il faut se moquer, rire et sourire.

    Les massacres, les meurtres perpétrés par ces assassins révèlent leur ignominie, leur peu de foi..

    Levons-nous pour dire stop.


    Et marchons ensemble vers la fraternité des êtres, et la résistance à l’obscurantisme.

     

    G.B.

  • Une vie de chien.

    Je t’avais rencontré, tu as rempli ma vie.

    Tu m’as donné, aimé, suivi.

    Tu ne demandais rien, simplement être à mes côtés.

    Compagnon sans reproche,

    Aujourd’hui je t’ai aidé à partir.

    Tu laisses un vide immense,

    C’est dur, et court une vie de chien.

    Reposes en paix.

     

    G.B.

  • Le monde comme il va !

    Heureusement certains commentateurs ne se trompent pas ; Leur sourire, forme de clin d’œil, démontre s’il en était le grotesque d’une situation, ou tout serait déréglementé, allant depuis l’ouverture des magasins le dimanche . Pourquoi 24 h sur 24 ? certains le souhaite.

    De même, nous pourrions nous improviser, chauffeur de maître, et en tous moment véhiculer quelques pauvres âmes perdues dans nos grandes villes.

    Pourquoi ne pas remettre au goût du jour les chaises à porteur, une idée qui ferait un immense plaisir à certaines dames toujours prêtes à se mettre en avant, et à se montrer.

    Et puis comme il y à les distributeurs de prospectus, salariés éminemment mobile, re-mettons au goût du jour les laveurs de carreaux, sillonnant nos villes interpellant, comme, les rémouleurs que nous renommerions, tailleurs en tous genre, bref comme il sied à certains de nous renvoyer deux cent ans en arrière, les petits métiers règnes à profusion.

    Retrouvons bien que certains ne les ai pas oublié, les cireurs de chaussures de rues, et souvenez vous ces images d’Épinal d’un petit bonhomme, noir de préférence qui avec son petit banc marche pieds propose « ciré chaussu Missié ».

    Notre petit ministre Macron, ne doit pas manquer d’idées sur la question.

    Et gageons que le Medef à mis en place une cellule de réflexion !

    Alors comme nos dirigeants, faisons preuve d’imagination, et comme au dix-neuvième siècle alors que le chômage n’existait pas.

     Soyons créatif; un bel avenir.

    Ça vous dirait ?

     

    G.B.

     

  • Une ouverture pour tout un monde,

    Mes radios me vantent, ce nouvel espace, cette nouvelle maison, repensée, reconstruite, ouverte à tous et toujours au public.

    Bravo Radio-France et ses nouveaux locaux.

    Vives la maison des radios, ok pour cette maison des cultures.

    La France pays de culture et de traditions trouve enfin un lieu commun ou s’exprime ses talents, ses richesses.

    Si les « animateurs » ne tarissent pas d’éloge.

    Les superlatifs, accompagnent cet enthousiasme.

    En fait ce feu parti un jour dans le décor d’un certain nombre d’émissions éclatera tel un feu d’artifice, prétextant la réouverture de cette nouvelle maison, et lançant les festivités.

    Les talents ont leur lieu de rassemblement, les artistes, ont cet amplificateur, cette monstrueuse, machinerie, et des espaces pour y vivre.

    Notre richesse, notre talent ; notre différence s’exprime plus fort, rassemblée.

    Le bonheur du service public, sa grandeur.

    Merci à vous Radio-France, ses directeurs, ses animateurs journalistes techniciens, preneurs et diffuseurs de sons.

     

    Voilà bien j’œuvre de l’éclat, et de la diversité culturelle de notre pays, et ça le peuple aime !

     

    G.B. 

  • Invitation,

    Bonjour, ma bonne amie.
    Seras-tu libre, ce jour pour le déjeuner,
    Voir ce soir pour dîner ( et plus si affinité ! )
    En toute amitié, pour un petit souvenir de nos années qui passent.
    Car si nous les voyons défiler, donnons-nous un instant
     Pour les regarder, un moment pour nous retourner.
    Donnes moi l’occasion de poser encore mon regard
    Sur ta douce personne, histoire de remonter le temps.
    De sentir la caresse, et fondre sur moi comme le poids du passé. 
    D’entendre tes paroles s’inscrirent doucement en moi.
    Le temps fait ses dommages, et nous marque de son passage
    Pourtant les yeux ne voient-ils pas le reflet.
    De ce que le cœur laisse s’afficher.
    Petite fille qui oublie, pour ce qui me concerne,
    Que la vie, ce n’est pas que derrière un bureau,
    Les ordres du patron, à ton âge tu n’attends plus après ;
    Et, ne valent pas, le regard d’un ami.
    Alors laisses toi convaincre,
    Puisses-tu, te laisser enfin aller.
    Et me répondre simplement : OUI.
    Allez viens sois à moi l’espace d’un moment.
    Merci ; Bises.
     
    G.B.
     
     
    Texte envoyé pour l’anniversaire d’une amie : Patricia.
     

  • Alors ces vitrines ?

    Oui je sais à quelques jours de Noël, elles revoient briller les yeux de nos enfants.

    La magie opère toujours, et pour certains parents comme un parfum de retour en enfance.

    Quelques grands magasins rivalisent, et si l’illusion offerte, provoque encore milles émois, il n’empêche l’ambiance générale reste plus à la morosité, voir au pessimisme qu’à la joie.

    D’autres vitrines marqueront l’histoire, et ce petit robot de la sonde Rosetta qui pendant dix ans parcourt notre système solaire pour ;  ô miracle de l’aventure humaine, se poser sur un caillou, cette  comète Tchouri.

    La fabuleuse histoire de l’aventure humaine, comme les miracles de la technique médicale, jamais assez vanté.

    Depuis plusieurs mois un homme vit au rythme de son cœur artificiel, sans oublier les centaines qui greffé, vivent encore, aussi grâce au cœur d’un autre.

    Gloire à ces hommes humains, qui restent dans l’ombre, et sont l’honneur de notre civilité.

    Gens de progrès et de bonheur, humanistes, chercheurs insignifiants.

    Je veux simplement saluer ces vivants, ces gagnants, incognitos, ceux qui font la grandeur humaine, et sa beauté ; Et restent dans l’ombre.

    Bien que ceux-ci soient loin du devant de la scène, sont loin des vitrines.

    L’argent bien employé sert le monde, et c’est ce monde que nous aimons.

     

    Amis n’oubliez pas ceux-là quand vous irez faire vos cadeaux de noël.

    Et pour les commémorations, bien sûr qu’il ne faut pas oublier le passé, au contraire, tirons en des leçons pour permettre l’Avenir.

    Rosetta restera le symbole d’un monde qui bouge et avance, pour la paix, et le bien-être de l’humanité.

      

     

    G.B.

  • Derrière la vitrine !

    Vous vous en serez aperçu, je ne relève plus le politiquement incorrect.

    Je ne tiens plus comme nombres de nos commentateurs, ou autres journalistes en quête de sensationnel, à fouiller dans les poubelles de l’actualité.

    Trop de ces restes servent,  profitent à cette extrême droite qui n’attend que ces ramassis pour se mettre en avant.

    Aussi méfions-nous, car, pour beaucoup de nos concitoyens, braves gens incultes, ce terreau pourraient après avoir vu croître et prospérer ce populisme, desservir la grandeur humaine, et nous rabaisser, voir nous faire tomber bien bas.

    Et tous ces politiciens, en mal de reconnaissance, se présentent tels, certaines femmes derrière des vitrines vantant ainsi leur charme, se montrant disponible, tout en restant bien à l’abri.

    Hors noter que le devant de la scène aujourd’hui ressemble vraiment plus au contenu de nos poubelles que de l’exposition de certains corps, parfois aimable à nos regards.

    Si la beauté peut-être exposée, et si notre humanité préfère voir le beau, je me contenterais de regarder ce qui mérite de l’être.

    Donc je cantonne mes chroniques, voir mes diatribes à mettre en avant les gens que j’aime, où apprécient.

    Si la terre est basse et mérite que l’on se penche sur ses bienfaits, je préfère pratiquer la culture du bon sens et du bien-être.

    Si, notre monde mesure la réussite, plus par le niveau du compte en banque que dans les valeurs humaines.

    Nous sommes pourtant plus nombreux à vanter la beauté de notre monde, que la cupidité de certains.

    Alors, honneur à ceux qui au péril de leur vie, bravent les océans, et les éléments, pour prouver solitaire, que nous pouvons défier la nature, sans pour autant l’abîmer.

    Gloire à ceux, solitaires qui passent des jours, des nuits pour écrire et offrir, livres ou films, toujours de grands et bons moments en perspective.

    La grandeur humaine se mesure à des petits gestes.

    Et la beauté, comme la bonté demeure souvent bien caché ; sauf à ceux qui savent les voir.

    Alors ouvrons l’œil.

     

    G.B.

  • Les prix du bordel !

    Toujours à l’écoute de mon douze heure trente préféré.

    Un condensé de nouvelles, de culture, de rencontres insolites ; de moments captivants.

    Ce midi en plein journal se glisse par la fenêtre, les résultats de chez « Drouant », et là une cacophonie générale, trois sources de voix à peine audibles, chacun interpellant l’autre, envoyée spéciale.

    Notre Caroline, émoustillée comme une collégienne, tout le monde parle, personne ne s’entend, la foire, vous dis-je.

    Certes un grand moment que cette remise du Goncourt, & co ; mais comme chacun à cru entendre, et n’à pas compris, comme, les lauréats attendus sont nominés mais pas aux prix qu’ils auraient pu avoir, mais que c’est un autre qui l’à eu. Bref, un joli bordel, du direct à trois, et des auditeurs inquiets de la santé mentale de nos pourtant cher et adorables présentateurs, journalistes, commentateurs et envoyés spéciaux.

    Les problèmes du direct.

    Alors du calme.

    Quelle journaliste prétendait que son premier principe était de ne pas couper la parole aux autres ?

     

    G.B.