Vous vous en serez aperçu, je ne relève plus le politiquement incorrect.
Je ne tiens plus comme nombres de nos commentateurs, ou autres journalistes en quête de sensationnel, à fouiller dans les poubelles de l’actualité.
Trop de ces restes servent, profitent à cette extrême droite qui n’attend que ces ramassis pour se mettre en avant.
Aussi méfions-nous, car, pour beaucoup de nos concitoyens, braves gens incultes, ce terreau pourraient après avoir vu croître et prospérer ce populisme, desservir la grandeur humaine, et nous rabaisser, voir nous faire tomber bien bas.
Et tous ces politiciens, en mal de reconnaissance, se présentent tels, certaines femmes derrière des vitrines vantant ainsi leur charme, se montrant disponible, tout en restant bien à l’abri.
Hors noter que le devant de la scène aujourd’hui ressemble vraiment plus au contenu de nos poubelles que de l’exposition de certains corps, parfois aimable à nos regards.
Si la beauté peut-être exposée, et si notre humanité préfère voir le beau, je me contenterais de regarder ce qui mérite de l’être.
Donc je cantonne mes chroniques, voir mes diatribes à mettre en avant les gens que j’aime, où apprécient.
Si la terre est basse et mérite que l’on se penche sur ses bienfaits, je préfère pratiquer la culture du bon sens et du bien-être.
Si, notre monde mesure la réussite, plus par le niveau du compte en banque que dans les valeurs humaines.
Nous sommes pourtant plus nombreux à vanter la beauté de notre monde, que la cupidité de certains.
Alors, honneur à ceux qui au péril de leur vie, bravent les océans, et les éléments, pour prouver solitaire, que nous pouvons défier la nature, sans pour autant l’abîmer.
Gloire à ceux, solitaires qui passent des jours, des nuits pour écrire et offrir, livres ou films, toujours de grands et bons moments en perspective.
La grandeur humaine se mesure à des petits gestes.
Et la beauté, comme la bonté demeure souvent bien caché ; sauf à ceux qui savent les voir.
Alors ouvrons l’œil.
G.B.