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Le petit coin du râleur - Page 2

  • Le sablier du temps.

    moiguy

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  • Ma France oh doux pays de mon enfance..!

    Je vous l’ai déjà dit : La France, par l’intermédiaire de notre « bien aimé Président » prépare la paix ;
    Et, est à l’offensive tout azimute pour : faire régner celle-ci.
    La France, enfin notre très cher Président ; envoi nos avions, ses pilotes, armés de missiles, et autre je n’y connais rien en arsenal militaire.
    Or la France, pays libre et indépendant, qui n’a de compte à rendre à personne, joue à faire peur aux terroristes de tous crins, comme aux Islamiques guerriers et rebelle sur les terres de Laurence d’Arabie.
    Cette France dont la grandeur n’est plus à prouvée, ni à mettre en cause ; Ne participe- t’elle pas fièrement à la coupe du monde de rugby.
    Ne prépare- t’elle pas la Cop 21.
    Ne préside- t’elle pas à la destinée de l’Europe.
    Oh le doux pays de Voltaire, de Rousseau, voir de Mauriac, Sartre Camus.
    Oh la France et ses monts et vallons.
    Ses fromages et ses bons et grands vins.
    Ce pays qui prétend aux droits de l’homme et s’enorgueillit de recevoir vingt mille migrants.
    Aussi ,logique qu’elle critique Poutine et ses actions, ou plutôt exactions dans ce même tas de sable qu’est la Syrie.
    Celui-ci avec une armée qui semble en imposer.
    Des moyens, qu’il faudrait trente France pour égaler.
    N’entendez- vous pas, nos avions en une seule sortie ont explosé Daesh et ses camps d’entraînements.
    Alors que ces minables Russe ont manifestement décimé la population.
    Se serait même ridiculisé aux yeux du monde.

    Ben oui :C’est là ou l’on voit la grandeur d’un président.
    N’est-ce pas ?

  • Ah le modèle économique Allemand !

    Si on en parlait ?
    Tant vanté par nos politiques, des économistes, les médias.
    Ah A Merkel et sa réussite.
    Ah le modèle social Allemand.
    Des voitures au sommet de leur popularité, de leur technologie.
    Des bagnoles tellement plus solide que nos petites Française.
    Le moteur de recherche, avec une autre conception.

    Pan sur les doigts.
    Pris les mains dans le moteur.
    Dans le cambouis.
    La triche généralisée.
    Bon gaffe on n’est pas tout blanc, les nôtres d’industriels ils s’entendent sur le prix des yaourts, ou de la lessive.
    Bon
    Un grand patron, il n’a pas de frontière.
    D’ailleurs n’ont-ils pas fait l’Europe du mensonge.
    C’est bien Mas Triche !
    Et nous guignoles ; Pantins, même pas capable de leur dire STOP, ça suffit.
    Bien sûr ils nous promènent avec les « migrants ».
    Leur monde crée la guerre, ruine des pays, des peuples et ils s’étonnent après de devoir accueillir, recueillir des êtres qui fuient.
    Ils disent Fermeture des frontières.
    Mais pour faire bonne mesure, montrer notre côté humanitaire, ils décident de devoir, pouvoir recevoir tant de ces exilées.
    Comptes d’apothicaire.
    Ils ont fui et comme une nouvelle marée noire qui se déverse sur nos côtes.
    Cette Europe qui n’avait plus de frontière, sauf si…. Alors Tel Netanyahou, tel les Américains Ils construisent à la hâte, de kilomètres de barbelé.

    Et en plus ils vont se réunir pour parler de l’état de notre planète : Non mais je rêves, ils l’à pillent, détruisent nos côtes, polluent rivières et océans.
    Et ils vont se réunir pour dire il faut changer les choses.
    Oui il faut changer ce monde.
    Virer ces profiteurs, ces pollueurs, ces tricheurs.
    C’est quoi un monde plus propre ?

    G.B.

  • Emotions

    Une feuille de papier,
    Quelques mots posés.
    Oh crayon, cri du cœur,
    Les gestes qui s’imposent.
    Idées sans suite ; Jetées là,
    Rassemblement, moments futiles ;
    Égarement, illusion d’exister.
    Phrases au long court,
    Crions notre délire.
    Simple péripétie de langage.
    Adresse désordonnée,
    Ou l’empreinte marquée
    Fragile savoir, à vouloir partager.
    Histoire de paraître, humanité précaire ;
    Apparence incertaine, compagnon improbable
    Le clavier a remplacé, Ce bout de mine grise.
    Pourtant pensée et valeur ordonnée
    L’auteur supplicie ses perfides penchants,
    Méthodique, Il raisonne ses non-sens
    Attribut la passion, de l’essence naît l’idée
    Faire avancer un tant soit peu l’histoire.
    Mon cerveau liquéfie le verbe
    Je pisse des lignes, phrase le contexte
    Diatribes mes colloques ; Exhorte mes prétextes
    Ma douleur se dilue, je touche enfin le fonds
    Je perds la raison, inerte certitude
    Je cache ma fièvre, et somme le ridicule
    J’éructe des lambeaux de peau.
    Et décroche le tableau, à peine sorti du cadre.
    Regarde l’envers, décor intérieur
    Et y cherche mon droit, l’œil au bord du vide
    J’entends bien me montrer, un tant soi peu soumis
    Comme précipice, je cherche profondeur.
    Et me jette corps perdu vers mes attirances
    Dans ce que ma vie comme perte de sens.
    Alors demain, éphémère indécence.

    G.B.

  • Alors on déménage !

    Et oui, j'ai déménagé !
    Enfin je suis entrain.


    Mon éditeur n'assurant plus les statistiques ; Or celles ci pour moi sont importantes, que dis-je fondamentales.
    Diantre j'aime connaître ma "popularité" !
    M'enfin petits scriboullard, il me plait de savoir mon audience.
    Donc, tel le maçon je vais tenter de me reconstruire, ailleur.
    Et comme je l'ai toujours dit : Qui m'aime me suive.
    Chers amis lecteurs et critiques, merci.

    Cent cinquante trois pages plus tard, Merci Haut et Fort ; Vous m'avez lancé, suivi, épaulé, voilà séparation en douceur, exemple de courtoisie.
    Moments délicats, pourtant décicifs.
    Penser se reconstruire ailleurs, se repositionner.
    Retouver son auditoire.
    Mais repartir se relancer, re-vivre. et poursuivre l'aventure.
    Bien à vous fidèles lecteurs.
    A suivre...

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  • Le prix de la ville !

    Mesdasmes, Messieurs,
    Ah ces fins de mois difficile, Ces budgets étriqués ou il faut compter, compter, repousser certains achats, pour une facture de gaz, d’électricité en augmentation.
    Et la paire de chaussure du petit, éculés et déjà presque trop petite, ça n’a l’air de rien, mais c’est encore entre quinze et vingt euros qui s’ajoutent.
    Ah toutes ces augmentations, 03 % à l’année qu’ils disent. Le panier de la ménagère, mon cul, mais c’est vrai que ces gens-là ils font pas les courses, tiens rien que le pain en début d’année 10 %¨d’un coup, on appel ça se faire rouler dans la farine !
    Alors leurs comptes ils les arrangent comme ils veulent, n’empêche !
    Tu parles on ne compte pas les sous de la même manière ; Pour sûr !
    Pendant ce temps, tiens, ils viennent de couper des arbres, ça faisait vingt ans qu’ils avaient été plantés, commençaient à être beau, respectables.
    Et ils nous mettent un panneau, ils vont refaire la chaussée, mettre des pavés, on voudrait bien leur jeter à la figure ces pavés, tout ça pour 250.000 euros, ben tient c’est avec nos impôts, facile pour eux, pas dure de gérer leur finance, ils pensent que c’est pour ça qu’ils ont été élus.
    Bravo, Ah oui j’oubliais profession Politien.
    On appelle, ça aussi des gestionnaires.
    En place pour dépenser notre argent. Voilà où vont nos impôts, vous savez que tous les ans sont programmés des gros travaux. Pour cause ?
    On En plus c’est l’entreprise, Jean Machin,qui hérite du chantier, tu crois qu’ils vont faire comme quand ils ont refait nos bords de Marne, un revêtement tout fissuré, il y à trois ans cet entreprise avait déjà récolté 500.000 euro d’argent publique ; Bizarre non ?
    Et puis, la communauté d’Agglo, qui décide, fait faire les études, et, est maître de l’ouvrage ; tiens un financement louche. Ou une manière de s’auto- financer ; Pas con non !
    Bon de toute façon c’est eux qui commandent, alors que faire.
    Au moins parler dénoncer, dire raconter, informer.
    Qui sait un jour une vie propre dans un monde honnête, allez jeunes je vous laisse ce monde pas beau hein !
    Et pourtant toi tu n’as pas de boulot, alors tu la fermes toi aussi.
    Eux ils sont payés pour ça.

    G.B.

  • Ô temps suspend ton VOL !

    Pourfendeur F M I,
    Comme d’autre Merkel,
    Pas préteurs, encore moins,
    Généreuse, tout juste prêcheuse
    Crâneuse, gagneuse, elle entend,
    Comme d’autre en leur temps.
    Imposer leur diktat.
    Mettre au pas les peuples
    Semer la misère, démontrer
    Son austère fonction.
    Marchand d’armes, il faut bien
    Imposer sa vision.
    Fructueuse mission
    Encaisser la taille et la gabelle.
    Étrangler les peuples.
    Et grossir les caisses de son empire Nation.
    Prélever l’impôt
    Attentionnée suppôt,
    De ces marchands roi.
    Écoutez, c’est Merkel qui gouverne ;
    Europe, au pas,
    Elle prend sa revanche,
    De cette Allemagne de l’est
    Crée sur les décombres
    De ces ruines National Socialisme.
    Besoin de s’affirmer, envie de dominer
    Voilà qu’elle entend
    Imposer un régime
    Ô peuples généreux.
    Ton histoire plaide
    Berceaux des civilisations.
    Et ce ne sont ni Zeus, ni Homère, ni Platon
    A moins qu’un bon, Ulysse
    Ou généreuse Aphrodite.
    Tu su en son temps poser les jalons
    D’un équilibre utile
    Entre peuple et nation.
    Prêcher les vertus de la civilisation.
    Et nous laisser ton emprunte.
    Où Grèce rime avec Démocratie.
    Le pouvoir appartient bien aux peuples.
    Allez finance, reste là pour servir, Non pour te servir.

    G.B.