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Le petit coin du râleur - Page 3

  • Place au peuple !

    Les Grecs, malgré pressions et manipulations se sont exprimés.
    Ils rejettent massivement la politique du FMI, de L’Union européenne d’aide et de mise aux pas.
    Pour l’heure la Grèce relance la Démocratie, et l’idée que nous en avons. Elle nous redonne une leçon.

    Enfin le peuple prend le pas sur la finance et ses lois scélérates.
    Enfin il faut croire, non pas à leur rejet du sortir de l’Euro, ni de l’Union Européenne.
    Ils veulent juste, simplement, renégocier leur dette, Voir en supprimer une partie, et pouvoir vivre.
    Mais c'est trop demandé , pour la Troïka des oligarchies financières.

    L’Europe des peuples et des Nations est entrain de prendre corps.
    La puissance de la finance comme de l’Allemagne, déniée.
    Oui l’Europe à eu chaud.
    Oui les peuples vont pouvoirs faire entendre leur voix.
    Les Grecs ont dans leur bon sens donné un coup d’arrêt aux requins qui voulaient continuer de les saigner.
    Chacun sait que les peuples ne sont pas responsable, que la pression mise par ceux qui prétendaient récupérer sur le dos de ces nations, jeux de dupes, voir des intérêts de vendeurs d’armes, étrangleurs.
    Oui il faut relancer les économies et faire que les subsides injectés servent à autre chose qu’à rembourser la dette, donc à faire vivre ce CAPITALISME étrangleur.
    Aujourd’hui, grâce au vote Grec l’Europe des nations est née.
    Aidons là, renforçons son audience ; Nous, peuple de France qui en son temps avait ; dit NON au traité de Maästrich.
    Nous Français vendu par nos dirigeants, soutenons la légitime bataille du peuple Grec.

    Oui il faut soutenir la Grèce, comme il faut aider l’Espagne, Le Portugal, L’Italie, comme il fait faire respecter pour la France le niveau d’endettent. Tiens pourquoi eux, et pas nous ? Vive le peuple et la voie qu’il nous montre ; Noble et sa parole est vrai le choix qu'il exprime.
    Les Grecs, malgré pressions et manipulations ont rendu leur verdict, sans appel, ils se veulent résolument Européen, mais prétendent VIVRE.
    Ils rejettent massivement la politique du FMI, de L’Union européenne d’aide et de mise aux pas.
    Pour l’heure la Grèce relance la Démocratie, et l’idée que nous en avons. Elle nous donne une leçon.


    Le peuple est noble et sa parole est vrai quand il s’exprime, vive la voie qu’il nous montre.
    Suivons les.

    Oh peuple souverain RESPECT !

    G.B.

  • Jeu de mots !

     

    Vos maux me pèsent,

    Et si mes mots opèrent.

    Pour vous suivre, j’obtempère.

    Un peu pervers, je soliloque ou bien je vitupère.

    Certes, je vous prends en exergue.

    Bien que j’attende de vous comme un nouveau concept.

    Le juste sens, où ce stupide prétexte

    Je vous tiens comme en laisse,

    Et me joue, de vos stupides complexes.

    J’attends calmement qu’ils s’écoulent,

    Mais pour ne pas être en reste

    Je donne l’illusion du devoir accompli,

    Parfois, simple savoir faire.

    L’homme comme l’escargot, prétend laisser sa trace.

    Laquelle révèle, comme un lourd passé.

    L’expérience conduit, comme au bout de ses pages

    À mener lecteur au profond de l’écrit.

    Tyrannie du dico, à moins que l’imposteur correcteur

    Nous offres, une pénible agonie, cherchant à semer le trouble.

    Et le conditionnel, illustre tellement mieux,

    Ce que l’avenir attend, même si le réel affiche l’incertitude.

    Obsédante histoire qui nous oblige sans cesse.

    À toujours nous reprendre, voir ressasser son texte ;

    De revisiter les anciens pour retrouver un sens.

    Pourtant les suivre comme douce astreinte.

    Car c’est bien la contrainte qui nourrit le sujet.

    Et de savoir en finir, cruel, point final.

     

    G.B.

    Vos

  • Des astres !

    Au fil du temps,

    Au fil des ans.

    Je n’avance plus, je piétine.

    Mes pas devenus plus lent

    Tout mon être se tasse

    Mon regard ne porte plus, 

    Mes yeux ont rétréci l’horizon.

    Mes errances se diluent.

    Je vais indolent, sans but.

    On ne rattrape pas le temps perdu.

    C’est aujourd’hui le printemps,

    Pour moi l’automne de la vie,

    Désormais j’appartiens au passé

    J’ai œuvré, conduits, tracé.

    Et toutes ces étoiles au ciel,

    Comme tant de gens brillant,

    Que l’on dit avoir quitté nos lieux.

    Petits astres luisants, comme bougies ;

    Souvenir de toi, de lui des autres.

     

    G.B.

     

  • Ô saints des seins !

    J’ai fait un rêve, madame,

    Ou vous m’émerveillez  de vos rondeurs,

    Elles étaient arborées sagement,

    Ce corps, votre physique mérite une attention extrême.

    Et, portés dignement, certains de vos attributs.

    Nobles et fières, prédisposés, imposent.

    Petits, ils narguent honorablement, le regard du céans.

    Subtilement offert, et sans ostentation.

    Ils pointent alors leur dard, émoustillé,

    Et nous font fête, tout en nous tenant tête.

    Toujours prêt à l’ouvrage ; Ils attendent de se rebeller.

    Caressant, ils se  laissent pétrir,

    Ces mamelons généreux, comme offrande en bouche.

    Si d’autres prodiguent, se dressent fièrement.

    Pointant et portant toujours droit devant.

    Se jettent aux yeux du monde.

    Si plus lourd ils tombent, et semblent rnarguer vos chaussures

    Un soutint leur offrira, tels des balcons de choix.

    Les offrant divin, comme dans un écrin.

    E t si pour les matrones jouissivement offertes.

    Comme balles rebondissent, et se laissent attendrir.

    Et merveille, ces médailles, comme bouclier.

    Offrande, fruit de la passion, ou délice de mangues.

    Et si au sein des seins ; Vous méritez de vous afficher,

    La liberté vous sied, sachez en profiter.

    Et si par coquetterie, ou par esprit malin.

    Vous vous libérez et pointez, dignement.

    Vous êtes les héros de cette féminité.

    Et le supplice de notre curiosité.

    Allez laisser nous combler, tendre gourmandise,

    Et nous ravir un peu de votre inimité.

     

     

    G.B. 

     

  • La vie devant soi !

    Tu ne seras pas homme mon fils,

    La laïcité devrait être le terreau de la démocratie.

    Ou quand celui-ci ne laisse plus pousser que ruines et misères.

    Quand nos perspectives ne sont plus que, l’état raquette, ou l’état prison.

    Ou l’état de déliquescence, exclusion.

    Quand l’avenir, se restreint à leur télé réalité, aux pires jeux de rôles.

    Quand votre rêve Internet, défie les consciences,

    Et, impose le virtuel au-delà des valeurs.

    Le temps de devenir sans avenir, celui des lendemains incertains.

     Quand vos certitudes oppriment les rêves.

    Que votre CAC 40 nous transforme en misère.

    Et tout votre argent roi, aux dépens des valeurs.

    Quand la terre appauvrie ne nourrit plus son homme.

    Et vos usines à bestiaux, dénient au temps son savoir-faire.

    Quand l’eau des mers et des rivières coule nitrate, pesticides et déchets.

    Quand la jeunesse crie son désarroi.

    Et pour le rêve, le shoot, cannabis d’avenir.

    Et que caricature la rébellion se termine en privation.

    Quand vous prétendez la hauteur en rabaissant les peuples.

    Alors que vos banques se servent, alors que nous on sue.

    Ou défilent, rejet, potion magique Pôle emploi.

    Que pourtant même les élus filent mauvais coton.

    Quand plus fort les écoles distillent l’exclusion.

    Et ne sèment qu’incompréhensions.

    Quand on bétonne, on bitume les terres.

    Tout en faisant pousser l’herbe sur les toits.

    Quand nos cerveaux sont vidés, nos idées rétrécies.

    Que vos dieux imposeront leurs lois.

    Alors des prêcheurs disposeront de toi.

    Tant que tu ne seras pas éduqué, conquérant et honnête.

    Tu ne seras pas un homme mon fils.

     

    G.B.

     

     

    N B . Ceci est un pastiche du célèbre poème de Rudyard kipling

    « Tu seras un homme mon fils »

  • Tous des Charlots,

    Oui, la France est bien un pays de Charlot

    La récupération va bon train ; Et le politique toujours prêt à s’engouffrer, pire à utiliser le moindre prétexte pour redorer son blason, pour illusionner ce peuple.

    Oui vous, petit fils et arrière petit fils de Voltaire, revendiquez votre part de cet héritage du traité de la tolérance.

    Vous dont la cote de popularité fluctue au gré des courants, vous qui vous honorâtes d’avoir sauvé la France de je ne sais quel péril terroriste.

    Quand trois gamins en rébellion prétendaient jouer aux gendarmes et aux voleurs.

    Et préféraient mourir que vivre votre vie, du moins celle que vous leur proposez.

    Vous et votre cour qui vous prétendez rassembleur, lors si le monde pour figurer dans votre vitrine défile derrière votre bannière ; Laquelle prétend rassembler des assassins, comme des pourfendeurs des libertés.

    L’ignominie comme état, et l’hypocrisie comme statue.

    Et fière prétendez montrer au monde le chemin, de l’honneur.

    Vous qui, pauvre France, amusez le peuple et le tient sous le joug de la médiocrité, vous qui entraînez notre monde dans la spirale du déclin de ce Capitalisme, de cette société libérale avancée.

    La pourriture gagne, et l’état de déliquescence de notre monde n’offre ni avenir, ni perspectives.

    Pourtant vous accentuez la pression, vous bradez notre hégémonie, et détruisez nos valeurs.

    L’état de servitude au profit des plus influent, des plus en vus ; Ces riches qui réduisent la planète, et la brûlent à petit feu.

    Et face à toute cette misère, les banlieues, les jeunes se rebellent et cherchent d’autres voies, d’autres issus.

    Parfois leur regard se tourne vers des précheurs, d’autres illusionnistes.

    Un monde face à l’autre.

    Et si le rêve ne leur suffit pas ils pensent trouver des certitudes dans cette échappatoire, dans ce rejet, dans cet autre monde. L’ignorance comme la misère engendre des dégâts, attention à ce que ceux-ci ne soient pas irréversibles.

     

    G.B.

  • Ils ne sont pas mort pour ça !

    Pauvres Charlie,

    Par vos dessins, par vos écrits, vous avez suffisamment moqué la bêtise de ce monde, sa supercherie, sa duplicité, la connerie humaine.

    Qu’auriez-vous dit, de voir notre président, le représentant d’un peuple qui se dit libre, et porteur d’espérance défiler avec des assassins, des gens ayant les mains rouges du sang de leur peuple, ou, d’autres ayant ouvertement financé les terroristes de tout crin.

    Et les simagrées, et les salamalecs dans la Synagogue avec Netannyahou, ne manquent pas de provocation.

    Oui,  vives Charlie, mais honte à tous ceux qui se réclament de son humour, et récupèrent un tel drame.

    A suivre au prochain sondage. La cotes de popularité….

    Et pendant ce temps les boîtes continuent de licencier, de fermer.

    Charlie Hebdo était au bord du gouffre et à l’époque F Hollande n’avait pas levé le petit doigt.

     Tous des cons malgré leur simulacre d’honneur.

    Et vous croyez que cela servira leçons à ces  jihadistes  en herbes, ou en devenir ; À ces fous de dieu.

    La Marseillaise, à l’école ou bien ailleurs on s’en fout, il faut surtout redonner des valeurs à l’âme humaine, avec des paroles crédibles.

     Les patries on s’en tape, il faut défendre les individus, et avoir les pieds sur terre.

    Et continuer d’outrager les dieux de quelque obédience qu’il soit.

    A bas la calotte, rendons hommages à ces Brassens Brel, Voilà des paroles pour le peuple.

    Mais il y à longtemps que ces apôtres ont disparu.

     

    G.B.

  • Des doutes!

     

    Après les opérations « coms »lancées tout azimut par

    François Hollande et ses ministres pour redorer le blason tellement terni par trois années du pouvoir au service de la finance et du patronat.

    Les voici occupés dans une méga campagne, et tout est bon.

    Tellement que…Y compris l’extrême droite prise au piège, le Front National taclé prétendant ne pas avoir été invité, bref…

    Tout cela sur des relents -d’anti-Islamisme, antisémitisme.

    Super Production et tous les ingrédients pour une super
    Promo. Le front républicain, à toutes les sauces.

    Ben oui, c’est les soldes, tout est bon.

    Donc bien, que étant de tout cœur et en toute raison avec les Charlie, je n’irais pas à leur manif.

    La ficelle me semble un peu grosse….

    Ils ne sont pas mort pour ça..

     

    G.B.