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Ô saints des seins !

J’ai fait un rêve, madame,

Ou vous m’émerveillez  de vos rondeurs,

Elles étaient arborées sagement,

Ce corps, votre physique mérite une attention extrême.

Et, portés dignement, certains de vos attributs.

Nobles et fières, prédisposés, imposent.

Petits, ils narguent honorablement, le regard du céans.

Subtilement offert, et sans ostentation.

Ils pointent alors leur dard, émoustillé,

Et nous font fête, tout en nous tenant tête.

Toujours prêt à l’ouvrage ; Ils attendent de se rebeller.

Caressant, ils se  laissent pétrir,

Ces mamelons généreux, comme offrande en bouche.

Si d’autres prodiguent, se dressent fièrement.

Pointant et portant toujours droit devant.

Se jettent aux yeux du monde.

Si plus lourd ils tombent, et semblent rnarguer vos chaussures

Un soutint leur offrira, tels des balcons de choix.

Les offrant divin, comme dans un écrin.

E t si pour les matrones jouissivement offertes.

Comme balles rebondissent, et se laissent attendrir.

Et merveille, ces médailles, comme bouclier.

Offrande, fruit de la passion, ou délice de mangues.

Et si au sein des seins ; Vous méritez de vous afficher,

La liberté vous sied, sachez en profiter.

Et si par coquetterie, ou par esprit malin.

Vous vous libérez et pointez, dignement.

Vous êtes les héros de cette féminité.

Et le supplice de notre curiosité.

Allez laisser nous combler, tendre gourmandise,

Et nous ravir un peu de votre inimité.

 

 

G.B. 

 

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