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Le temps qui passe.

Le temps qui passe.

Ou l'art d'exister, et de le mesurer par la pensée,

L'automate bouge, mime il existe et ses mouvements pour réels qu'ils soient n'en sont pas moins que l'expression de la pensée d'un autre, le fruit de l'imagination.

Il prétend en faisant bouger, faire vivre, donner cette ressemblance nous apporter l'illusion du réel, il nous permet de transposer ce désir de nous reproduire, de nous composer une chose vivante, un autre nous même.

De là, à imaginer un désir de clonnage, se reproduire.

L'homme pense, cherche, élabore, imagine, construit ; En même temps il détruit ce rève, crée ce double fantasmagorique et fini en complet équilibre.

L'homme individu obscène ne cherche pas à se surpasser, déjà il veut plus ; plus de temps, d'espace, de grandeur de possession.

L'être joue, non à gagner valeur noble, mais déjà de tout temps être le plus fort, dompter, puis maîtriser, posséder.

Le cerveau humain est-il si vil, petit.

Nos milliards de neurones si bien imbriqués dans notre processus de vie, chacun complétant l'autre merveilleuse mécanique, tant de richesse pour un si petit homme.

Certes, les Einstein, Curie et autres génies, s'ils avaient su qu' en découvrant l'atome et sa fission, ils donneraint aux autres non le développement mais l'anéantissement de la vie.

Celui-là même pourtant capable du meilleur se voue au pire.

Toujours plus, non de savoir, de connaissance de partage et d'échange.

L'homme bon est-il philosophe

Déjà Pinochio prédisposait cet "être" là,

Petit homme de bois, il se voulait l'incantation de l'être bon, parfait.

Même "Gépéto" son "mentor" chargé de lui montrer la bonne voie.

Drôle de vie que ce double prédisposé.

Ma mémoire garde ce petit personnage, ce redresseur se tord, seul le droit chemin, et le bien figurait dans ses actions.

Et le temps dans cela me direz vous.

Certe le sablier comme le tic tac de la pendule augurent ce long écoulement ce mouvement perpétuel.

Pourtant il semble court le moment du sablier, hélas notre vie à l'échelle du temps n'est guère plus longue.

Pensez votre ami celui qui vous accompagne, chien chat aprés dix quinze ans vous laissent tomber cruelle douleur, tant de vies dans une vie.

Tant de petits bonheurs et quelques bons moments.

Joies peines vivre l'instant.

G  B

 

 

 

 

 

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