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Société - Page 3

  • Le retour !

    Ouf ça y est je viens de réintégrer  mes pénates.

    Satisfait  de trouver un peu de calme.

    Il paraît qu’une trêve durable ait  lieux, entre l’armé de l’état Hébreux, et la population martyre de Gaza, comme de tous les territoires Palestiniens occupés ; et  semble se poursuivre. Et permette d’envisager un retour à un calme, lequel  bien que précaire soit pour la population une pause pour compter leurs morts et panser les blessures.

    On nous montre les images de soldats quittant avec leurs chars, ce qui semble être un monstrueux charnier, champs de ruines, désert de vie, les journalistes ont beau nous dire que la vie reprend, certes quelques âmes errantes  sur les décombres à la recherche, ou d’un proche, ou de quelques affaires semblent  montrer l’espoir  quand tout est à reconstruire, quand tant de vies, anéanties ; broyés.

     Tous  ces êtres pourtant courageux, qui n’espèrent que vivres et quitter les ruines qui n’attendent pour ceux qui rentrant chez eux souhaitent retrouver  ce calme précaire, ce semblant de sécurité que laisse entrevoir l’arrêt de ce pilonnage, de cette hécatombe de vie, de ce crime contre l’humanité.

    Cet acharnement mis par l’ennemi, cet état, ou la loi du talion prend toute son ampleur, ou l’histoire qui se retourne, prétend anéantir un peuple, une nation.

    Ceux- là même dépossédés de ces lieux, car la création de l’état d’Israël en 1947, sur la terre des Palestiniens.

    Désormais, ce sont bien les Israéliens qui sont devenus des  bourreaux nazis, et si, les dirigeants mondiaux n’ont pas la volonté, ni  le courage des les juger, le temps viendra ou ils devront rendre compte de leurs méfaits, et payer pour leur barbarie.

    Ces opprimés d’hier, sont devenus les bourreaux, et leur volonté affichée, manifeste de détruire, d’anéantir une population démontre qu’il est nécessaire que l’opinion internationale, comme les plus hautes autorités doivent non seulement réprimander, mais condamner et  punir l’état hébreux qui n’à aucune légitimité sur le territoire Palestinien.

    Il est urgent voir impératif de revenir aux frontières d’avant 1967, date ou l’état belliqueux et revanchard  Sioniste à commencé par la force de conquérir et déposséder l’état Palestinien.

    Les états Unis qui prétendent à diriger le monde, comme l’Europe qui souhaite s’imposer comme grandes nations feraient  bien de prendre les mesures qu’imposent une telle situation, et  agir pour une paix durable.

     

     

     

    G.B.

  • Vous avez dit condamnation !

    Comme chaque jour, à l’écoute du monde, de ses nouvelles ; Toujours sur ma radio préférée, il paraît en plus que c’est la plus écouté des Français, en tous les cas il y à un minimum de pub.

    Donc ce matin encore alors que des nouvelles  toujours plus dramatique de Gaza ; ou les morts s’ajoutent aux morts.

    Invité Madame TAUBIRA ministre de la justice, à trouvé honteux l’état d’esprit des Français, scandaleux leur réaction hostile au gouvernement Israélien, a justifié les condamnations de  manifestants ;  Pas un mots sur le sort infligé à cette population, à ses enfants.

    Compassion, connais pas ! Elle ministre soutien d’un gouvernement …

    Il semble qu’elle est ministre de la Justice !

    Heureusement quelques heures plus tard dans une autre  émission, un autre invité, ancien ministre Roland Dumas à déclaré que si Benyamin Netanyahou, le premier ministre de l’état Hébreux avait des enfants et des petits enfants, il ne devait pas dormir tranquille ! C’est le moins  que l’on puisse dire….cella vaut malgré tout  comme prise de  position.

    Alors c’est pour quand une condamnation de cet état pour crimes de guerre, et la condamnation de ses dirigeants par le tribunal international ! Que l’on sache s’il y à une justice.

    Quant à OBAMA, yes you can, il en peut plus, Bon à rien ; il tient à finir son mandat sans emmerdes.

     

     

    G.B.

  • Monsieur le président de SOS "coneries"

    Que des jeunes, voir des moins jeunes manifestent et expriment leur soutien au  Peuple Palestinien ; une réaction  qui dans la situation actuelle me semble  légitime, que vous vous offusquiez que l’on critique l’état Sioniste d’Israël qui chaque jour extermine une population.

    Que vous pensiez qu’il est normal que ce même état envoie chars et avions pour réduire voir anéantir, une population qui lutte avec des gros pétards, et des cailloux, mais surtout  un courage extraordinaire.

    Vous prétendez :

     Que critiquer les sionistes, c’est critiquer les « blancs », mais je suis fier d’en  être ; malgré vous ; et défenseur des peuples opprimés.

    D’autant qu’encore une fois les représentants de l’ONU ; interpellés n’ont pas  daignés prendre position, appelant juste les parties à plus de calme

    C’est bien là toute l’hypocrisie des états qui prétendent à diriger le monde.

    Il faut que l’ONU, comme la cours de justice internationale condamne sévèrement l’état Hébreux, et ses exactions.

    Il faut que celui-ci arrête sa colonisation des territoires Palestiniens ; l faut rendre au Palestiniens leur territoire  et revenir aux frontière d’avant 1967.

    Il faut arrêter le massacre.

    Il faut, que des petits  monsieur, comme vous  se taisent et restent  leur petit confort tranquille de petit blanc  bien  servi.

    Et vives la lutte du peuple Palestinien, chapeau à leur héroïque résistance, et à leur juste combat.

    Signé ;

    Un petit blanc, pourtant.

     

    G.B.

  • L’offensé, offensif !

    Dis Sarko, tu es bien un politique, même les doigts pris dans le pot de confiture tu prétends ; les yeux dans les yeux, ne pas y avoir touché.

    Tu ne veux pas avoir couché.

    Non, ce n’est pas moi, je n’y suis pour rien ! C’est un complot contre ma personne. Etc. Oh là là… toute une histoire.

    Mon pauvre Monsieur Sarkozy, petit enfant gâté ; Tu crois toujours, comme ces petits mafieux, avoir raison, porter la vérité, et malheur à qui voudrait se mettre en travers de ton chemin.

    Pourtant combien traînes tu de gamelles ?

    C’est bien l’effet mise en avant de ta petite personne,  il faut que tu te fasses voir, tu veux le devant de la scène.

    Ton coté « bligue, bligue ; biblique , sa sainteté .»

    Pourtant, la France, les Français, ne veulent plus de toi 65% sanctionnent tes envies.  Alors tu peux toujours courir, te défoncer, le peuple se moque de tes histoires. Tu n’amuses plus personnes ; Hormis quelques groupies ; Alors dégages.

    Tu n’es plus rien.

  • Vous avez dit justice !

    Bonnemaison, c’est comme la « bonne mère » !

    Bien sûr avec ton métier, tu as voulu arrêter la souffrance de quelques condamnés.

     Pour sûr tu as précipité quelques fins annoncées.

    Tu auras soulagé tant de familles affligées.

    Tes pères ton déniés ce droit, ils ont eut peur que ces  coups de pouce n’entachent leur réputation.

    Toi tu désirais simplement écrire le mot fin avec le respect de ces morts vivants.

    Tu n’entendais qu’abréger leur souffrance, les aider dans leur longue agonie.

    Les jurés ton suivi. Eux ils ont compris.

    Ils  ont entendu que tu ne voulais pas tuer, simplement aider à mourir.

    Et  toutes ses familles, soulagées, reconnaissantes, ont simplement dit ; « Merci Docteur ».

     

    G B

     

    P.S.

     

    Pendant ce temps La cour de justice Européenne à demandé de surseoir au débranchement de ce pauvre Vincent.

    Vous avez dit « justice » celle là même qui aura fait souffrir un condamné aux Etats Unis pendant plus d’une heure.

    Celle là qui voudra empêcher notre Vincent, de reposer en paix, et de faire que sa femme aussi soit soulagée de cette double vie sans vie.

     

    Alélouya, gloire à nos pères..

  • Repose en paix.

    Ça y est on y va !

    Alors Vincent, voilà combien de temps que tu attends..

    Tu étais un « casse coup », toujours prêt à dépasser les limites.

    Tu étais  baroudeur ; mais aussi, père tranquille, tu aimais la vie mais aussi  les défis.

    Sans limites tu bravais, un peu les interdits.

    Conquérants tu ne vis pas ce dépassement de trop.

    Tu ne compris pas le choc.

    Tas de ferraille, toujours présent, tu ne pouvais cependant plus percevoir, la caresse du vent, l’horreur  du moment.

    Tu reposes, corps inerte, pantin, sans ses liens, juste ces sondes, et toutes ces alims, ils te voulaient branché.

    Ta femme, ta famille t’ont apportée des paroles de réconforts.

    Tes amis ont veillé, ce corps inerte, ce cœur qui continuait de battre dans le vide.

    Tu étais encore, pourtant plus jamais là.

    Etre de chair et de sang, sans émotions, sans compassion.

    Tu ne vivais plus, juste objet de recueillement, mystère d’une présence sans répondant.

    Protégé, sécurisé, ils attendaient un geste toi.

    Corps mort, sans esprit, tu gisais cette longue agonie.

    La médecine et la science, te tenaient par un file, habile marionnette, tu respirais sans vie.

    Qu’attendaient-ils pour te laisser reposer, pourquoi  voulaient ils  croire une résurrection possible?

    Ils espéraient un signe de toi, ne voulaient pas  te laisser partir.

    Pour certains entre ciel et enfer, comme cette pendule, incapable de donner l’heure, mais dont le tic-tac rythmait les jours, présent dans cette absence, tu n’étais plus, mais représentais une cause à tout jamais perdue.

    Des années d’une attente, des moments de souffrance, pas toi tu étais parti, mais ils te voulaient, telles les cendres que l’on garde, ironique présence d'une personne qui n’est plus. Demain enfin, ils te laisseront reposer.

    Demain, mais il n’y avait déjà plus de demain.

    Repose en paix.

     

    Salut Vincent.

     

    G.B.

  • On en était ou ?

    Bon courage, ça vient ; On va y arriver, la sortie de crise approche et nos gentils voyageurs, comme nos férus de culture vont peut être enfin,  retrouver quelques bonnes dispositions.

    Nos députés planchent, et les lois se dessinent. Encore quelques améliorations proposées par les Sénateurs,  re petit tour à l’hémicycle, enfin peut-être une certaine paix restaurée, plus tard les usagers, s’en mordrons les doigts ; A moins que, mémoire courte oblige, le temps aura fait son affaire de ces nouvelles futures situations.

    Pour moi, dans mon petit pré-carré ;  Je dois dire que petit à petit je viens à bout de Windows 8.1.

    J’ai à l’ancienne utilisé le bureau y repositionne mes icônes ouvrants mes différentes applications.

    Télécharges quelques logiciels libres (THUNDERBIRD) pour le courrier, tranquille et d’usage pratique, une vue générale sur mes différents comptes de messagerie.

    Eh oui, j’en possède plusieurs et chacun son usage, ça vous épate. Mais comme les vedettes j’ai mes prêtes-nom et mon pseudo.

    Bon cela multiplie les réceptions de  Pub, mais là je gère, « supprimer »Poubelles directe.

    Il me reste à retrouver mes petits jeux Solitaires ; Freecell,  là encore cette version nous est proposée avec Pub ; Avoir sous les yeux un bandeau «  Gillette j’sais pas quoi » quand on se bat contre les cartes et le score, c’est vraiment de l’abus.

    Eh oui Microsoft en position dominante il se croit tout permis.

    Remarquez,  ils ont raison, c’est nous les CON d’utiliser leurs services.

    Attention, messieurs,  les gens éduqués, au faîte de vos manipulations vont aller  voir ailleurs,

    C’est par peur de se lancer, par paresse d’esprit que l’on va vers le service assuré immédiat.

    Mais les choses  pourraient changer.

    Pour moi, c’est  évident la prochaine fois LINUX.

    Bon  je comprends que vous prêtiez bien peu d’attention à mes tergiversations.

    Pourtant…..

    A la prochaine, désolé de ne pas vous entretenir Foot, mais je n’y connais rien, et puis  ils m’emmerdent à courir après une balle en étant payer des millions. C’est comme la pub, ca fait rêver tout le monde mais personne ne peut se la payer.

     

    G.B.

  • Moi, quand je serai président !

    Rêve ou vision angélique !

    Voilà que notre Président, Triste sir, miné par l’esprit publique,

    Pourfendu par la critique,

    Harangué par les foules.

    Moi, Président, mal aimé.

    Responsable, et si mal entouré.

    Moi, Président bafoué par les sondages,

    Lui , président, la coupe est pleine.

    Certes, les Or de l’Élysée, vu le faste de la fonction.

    Moi, Président, haï de tout un peuple,

    Lui, responsable brocardé par les siens, hué par les autres.

    Lui, Président, vous allez voir ce que vous aller voir !

    Lui encore Président, l’orage gronde et les foules se lassent.

    Lui toujours président d’une triste minorité.

    Lui socialiste, Énarque, ayant dupé son monde pour gagner ce pouvoir.

    Lui attaché aux services et lié par la finance.

    Lui, putain, encore deux ans pour que carpette France

    Serve de paillasson à l’Allemagne et au monde.

    Lui, responsable d’un déni de représentation.

    Petit serviteur, minable représentant.

    Pour lui la place est bonne, mais dort’il bien la nuit.

    Lui un passé en morceau, un avenir incertain ;

    Rejeté, haï, serviteur un peu vil.

    Lui, il se nommait François, on l‘aura vite oublié.