compteur visite gratuit
compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Société - Page 2

  • Laurence d'aujourd'hui !

    Pour en revenir à Laurence d’Arabie, et sa version moderne ; L’implantation d’un état Islamique au levant.

    La situation révèle des pires atrocités.

    Quelque vingt mille hommes qui n'ont de cesse que de conquérir tout un territoire, et que rien n’arrêtent….

    Et là aussi des avions, des missiles qui prétendent à, mais est-ce ainsi que la guerre se passe…

    Messieurs qu’on nomme grands, n’avez-vous pas déjà par le passé subi les pires déconvenues, malgré tous les moyens mis en œuvre.

    Votre puissance fut-elle destructrice, massive et monstrueuse.

    En face quelques valeureux guerriers, une force que seule la foi, ou la volonté pousse, et fait résister

    Vous prétendez éradiquer le mal, vous faites montre d’un zèle, vous jouez les gros bras, roulez des mécaniques.

    Vous êtes surtout fort en gueule.

    Vos parodies de mise en scène ne touchent que vous-même.

    Vos gesticulations n’impressionnent personne.

    Vos piteux exploits se révèlent plus dans la presse que sur le terrain.

    Oh ce monde qui se prétend moderne, mais un grain de sable et la machine s’enraye.

    Et puis combattre sans combattants

    « à vaincre sans périls on triomphe sans gloire »

    Et en plus vous n’arrivez même pas à triompher.

    En vrai votre guerre vous la menez plus à coût de communiqués.

    Et toujours deux mondes deux antagonistes.

    Et toujours des morts, femmes enfants, comme ces otages qui n’y sont pour rien.

    Et nos grands hommes complotent, se consultent, établissent des process.

    Et l’avenir dans tout ça.

    Vous ne savez pas qu’il vaut mieux éduquer les masses que de les régenter , encore moins se battre contre elles !

     

    G.B.

  • Ca peut pas faire de mal ( bis )

     

    Dommage, je ne suis pas Philosophe, même que j’ai du arrêter mes études en Troisième, c’était, il y à déjà ou presque cinquante ans.

    Pourtant il me plait à écouter, parfois à réécouter, ces superbes émission de vulgarisation de la pensé, du langage, et des mots.

    Merci, Monsieur, Guillaume Gallienne ;

    Le samedi à 18 h 20. Sur France Inter.

    ; « ça peut pas faire de mal »

    Le thème ce samedi résonne encore à mes oreilles,

    La fin du courage de Cynthia Fleury.

    Oh bonheur, que ces textes.

    Ah grandeur d’âme. Que c’est  bon  de vous suivre et d’apprendre.

    Cette vision de l’avenir au travers des termes du passé.

    Ecoutons Victor Hugo ; suivons et reprenons ses discours, ses préceptes.

    O bonheur quand il dit : «  Désespérer c’est déserter, regardons l’avenir. »

    Sublime pertinence !

    Oui nos politiques manquent de courage et désertent devant le peuple, ils dirigent sans eux, glorieux qu’ils sont d’avoir été élu.

    Ensuite, ils tournent le dos, ils se contentent de se remplir les poches, et de satisfaire leur égo, et de placer leurs copains.

    La pensée politique transgresse le besoin des peuples, leurs désirs.

    Ces gens ne sont que des singes qui s’agitent

    Bien sur le peuple, souvent baisse les bras et, la machine moderne lamine toutes rébellions.

    Que des hommes entrent en conflits, tout de suite ils mettent l’avenir, de l’entreprise ; du pays en péril, nous dit-on !

    L’information permanente, les redites les reprisent ; minent, sabotent les réactions, les courages se diluent avec l’événement, qui n’existe plus puisqu’il est tellement repris, et déjà dépassé.

    Nos Médias, avec  tous ces regards sur le monde, dissolvent  tout cela dans une soupe, un brouillard qui s’entremêle dans nos neurones, les anesthésies.

    La mondialisation détourne  l’événement, et l’on ne se sent plus impliqué.

    Délite, les barbaries, glorifie les pires démons.

    Et le peuple est pris dans les rouages de l’interprétation, comme la terre après le labour.

    Alors comment réagir, comment s’impliquer.

    Allez ne désespérons pas l’histoire est en marche, ne nous contentons pas de la suivre faisons là.

    Courage.

     

    G .B.

     

  • Petite Madame, sagesse.

    Je te rencontre, et te trouves si gentille.

    Madame, pourquoi laisses tu toujours ta place aux hommes.

    Le pouvoir gâte -ceux-ci !

    Pourquoi  dés qu’ils nous dirigent oublient ’ils ;

    Compassion, sagesse humilité, et parfois raisons.

    Comment  une moindre parcelle de pouvoir, les rends vil, mesquins, profiteurs arrogants !

    Madame, on dit pourtant que c’et toi qui tiens en main notre destin

    Ne prétend t’on pas que c’est toi qui mène le monde.

    Tu es femme, douceur, parfois maîtresse.

    Si  l’on te symbolise : Courtisane,

    Là encore c’est  pour montrer que tu cherches à prendre la place du maître.

    Et toi éternelle  tu montres ton ventre qui féconde, offre des jours nouveaux.

    Femme et mère tu présentes l’avenir, tu nourris en ton sein les futurs demain.

    Toi maternelle, tu es pouvoir, volupté, et même un peu savoir.

    Tu es caresses, blessures, surtout un grand besoin.

    On te  veut, bien plus on te désir,

    Alors que l’homme n’a d’autre prétention,

     Que grandeur, réussite, comme servile démon, à moins que  sinistre étalon.

    Gloire, parade, il piétine le monde.

    Pourquoi prétend ‘il toujours à la prédominance ;

    Laissant éternellement la femme au second rang,

     Et s’il lui faut mettre celle-ci en avant, ce sera toujours en rappelant,

    «  C’est la mère de ses enfants ».

    Histoire d’imposer sa masculinité, voir de prouver sa supériorité.

    L’homme qui ne provoque que guerres et conflits.

    Quand la femme se bat pour préserver la destinée  des siens,

    Et leur offrir des lendemains meilleurs.

     

    G.B.

  • Gens de Gad ou d'ailleurs !

    Licenciés et en plus méprisé par  un étron de ministre !

     Certes nos ouvriers n’ont pas tous faits les grandes écoles.

    Bien sûr ils n’ont pas les moyens de se payer un chauffeur.

    Ils n’ont surement pas tous le permis de conduire ; mais ils ont du bon sens et de la raison ; Ce qui semble manquer cruellement à notre nouveau tout petit ministre.

    On voit bien, et c’est là que les propos de Valérie Trierweiler prennent tous leur sens ; le mépris de nos dirigeants voir des personnes du pouvoir, pour les honnêtes gens, travailleurs, éventuel pauvres chômeurs ou simple retraités.

    Non seulement ces parvenus ne paient pas leurs factures, loyer ou impôts mais ils font preuve d’un mépris, d’une arrogance. Grave les mecs !

    Oui, il serait temps d’en finir avec cette cinquième république de faiseurs.

    Le peuple est grand et respectable, il vous le démontre à chaque élection même si c'est en s'abtenant.

    Aussi Messieurs qu’on nomme grand, vous êtes pourtant bien petit, et vraiment minable.

    G.B.

     

  • Vous avez dit confiance !

     

    Messieurs les « sans ...ouilles »,

    Vous avez beau jeu de vous agiter dans tous les sens, de jouer les « frondeurs », de vous afficher : Ah ah ! Vous allez voir ça, cela ne se passera pas comme ça. !

    Pour au final vous dégonfler, que dis-je vous déculotter.

    Vous dites vouloir faire changer nos dirigeants de politique ; Ah bon, ou ça, comment.

    Grande gueule mais rien dans la culotte.

    Des minables.

    Des sans... ceurs, des sans domages, des sans effets.

    Alors fermez là, ; De vous non plus le peuple n’attend rien, et ne vous fais plus confiance..

    Bon pour vous ça ne change rien....pour l'instant.....

     

    G.B.

  • Le sens des mots !

    Une voisine, certes un peu âgée, comme moi, me disait ne plus être  dans l’époque ne comprenant plus la moitié des mots ou locutions que nos journalistes, commentateurs ou autres présentateurs nous abreuvent,  à  longueur de temps, lors de  leurs diatribes sur les antennes.

    Tous ces gens des médias qui, sous couvert d’être dans l’époque, ou par snobisme ou autres conneries emplois à tour de bras, des termes étrangers.

    Certains se font un plaisir à parler de « Hollande basching ; Est-vous aleave » ? Écoutons le dernier « blogbosters », etc.

     Bref je n’entends plus ces discours, je ne  comprends plus, ces nouvelles générations qui prétendent faire jeunes branchés et distillent, ce fatras d’Anglicisme, et de terme racoleur.

    Quel gâchis et voilà qui réponds bien aux désirs de nos responsables, nous Américaniser, préparer nos cerveaux à cette mode que veulent nous imposer les tenants de ce « traité transatlantique ; espèce de serpents de mer qui nous guettes mais dont nous ne connaîtrons pas pour autant le contenu.

    Qu’importe il faut « globaliser » les cerveaux, nous habituer à un entendement international, vives les Multinationales, un langage minimum pour tous, une seule consigne, le rabotage intellectuel, surtout nous empêcher de penser, vives la pensée unique, et qui mieux que les Etats Unis pour réduire, puis  imposer,  ce nouveau poison, ce fiel qu’ils inoculent dans nos oreilles et limitera notre entendement.

     

    Il ne faut  pas non plus  négliger le style  «  Twitter » et autres nouveau langage N’est ce pas là cette nouvelle communication, c’est  donc ça leur conflit de génération, car de mon temps comme disent les anciens, le  verlan était pour moi un mystère, mais on me l’expliquait, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

    Et puis il faut nous habituer au zéro papier, vous savez, les écrits restent, les paroles s’envolent.

    Alors…

    Mourons idiot.

    G.B.

  • Chère madame Valérie Trierweiler

    Vous nous faites l’image d’une personne sensée et responsable.

    Vous ne paraissez pas comme ces oies blanches facile à attraper, encore moins à plumer.

    Votre niveau, comme votre milieux, nous semblent vous placer, non dans l’élite, mais dans une couche honnête, avec une  certaine image de réussite.

    Vous grande dame, bafouée, jetée ; par un goujat, par un  individu dont le cynisme dépasse tout entendement.

    Que vous fûtes abusé par la rouerie du personnage et sa duplicité ; plus de 50 % des Français le furent aussi.

    Il se sera joué de vos faveurs, comme il à trompé le peuple.

     

    Que vous vous ayez été séduite, puis conquise par les frasques, comme par  les désirs de pouvoir de cet ignoble individu, tant d’autres le furent et le seront encore.

     Notre monde malade de réussites, d’ascenseur sociale,  et de ma tu vues, lesquel  ne reflète que les restes d’une éducation courtisane, carriériste, comme de ces modèles  de célébrités, de notoriété, réussite.

    Pauvre monde qui ne voit plus que tricheries, mesquineries, il n’y à plus ni valeurs, ni sincérité.

    L’homme individu ne trouve plus son équilibre, toujours en balance ; le bien, le mal   ;  le vrai ,le faux.

    L’individu balance entre les mièvreries de leurs téléréalités, et les mérites de ces publicités tapageuses, portées au pinacle des modèles.

    La décadence de Ces feuilletons Américano-merdique  a modifié les comportements, les réactions des gens, notre vision se trouve déformé par le prisme de ces mises en scène outrancières.

    Nos grandes écoles forment des élites, et pour se faire leurs inculquent  les rouages de la réussite ; mensonges et tromperies.

    Redonnez à l’école, non la théorie du genre, garçon, fille, mais des valeurs fondamentales, le bien ; le mal.

    La noblesse avait ses  valeurs, les bourgeois d’aujourd’hui, ne resteront que des parvenus ;  Des gens foutres.

    C’est bien ça, notre vie.

    Et ils prétendent à  nous donner des leçons ?

    G.B.

  • Au nom de la rose!

    Alors que la rentrée scolaire n’a pas encore eu lieu, quelques élèves, un tant soi peu indisciplinés  se seront vu jetés dehors, sans autres préalables.

    Des élèves bien sur quelque peu chahuteur, voir frondeur.

    M’enfin de bon petits, juste un peu « cabots ».Et leur comportement ne risquait pas de troubler outre mesure les fondements de notre système, ni l'ordre de la république.

    Bien sur l’histoire est regrettable, certes ils avaient été prévenus que,  à la première nouvelle incartade, ce serait le renvoi pur et simple.

    Bien sûr leur avenir n’est pas en jeu.

    Cependant la manière…Notez, Monsieur le Procureur qu’en outre ils étaient de bons élèves, que leurs familles des gens très bien, très comme il faut, et cultivé, je pense que cela nuira à la renommée de votre établissement.

    Evidement le proviseur …. Bien sur le directeur pourront toujours argué que ces individus par leur comportement mettaient l’équilibre de la classe en péril.

    Voilà, il n’est pas toujours bon d’être les premiers de sa classe.

     

    G.B.