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Société - Page 5

  • Noisiel, Les municipales 2014 ; Et si on changait de maire !

    Et si pour nous aussi, le CHANGEMENT ?

     

    Pareil les feuilles mortes chaque automne, Tel cette vieille grille de notre parc, immuable, nous nous sommes habitués.

    Il arrive qu’on le croise, on peut même lui parler, l’interpeler.

    Il ne fuit pas, il se dérobe.

    Toujours présent, il entend tout diriger.

    Pourtant ce, n’est jamais sa faute, ni sa responsabilité.

    Un bilan exemplaire.

    Comme le temps, comme cette perçante  « allée des bois ; Il entend traverser, regard droit devant ; depuis nos tweens towers des Totems jusque Cette base de Vaires, un horizon dégagé.

     

    Nul gène, un arbre le dérange, qu’on l’abat, une poubelle, virez là.

     

    Sans gêne il jongle avec votre argent « contribuable », une aire de jeu par ci, trois petits arbres par là. Mais le tronc d’un diamètre : tient comme cette feuille A4 Roulée, au minimum…

     

    Bon prince il vous dira : que ce n’est pas sa faute, Le SAN, La Communauté, Le Préfet…Les feuilles des arbres qui empêchent la lumière.

     Les pannes de lumière répétés ; il ne faut pas trop éclairer.

    Des petits trafics, des dealers ; où ça, qui ça, non pas chez nous ?

    L’ordre règne..

    Et deux vaches pour faire bonne mesure.

    Et cette Marne aménagée de pontons immergés, ca c’est une trouvaille !.

    Et un vieux, et très joli petit pont, sacrifié ; Il faut voir grand !

    Toujours présent, jamais responsable.

    Le marché, malmené, les marchands mécontent !.

    Des études menées par des bureaux adéquats, par des géomètres, des centres d’analyses. Des experts mandatés, rémunérés à grands frais. Tout ça pour : ….Grand seigneur, il entend déplacer des montagnes refaire sa ville, la votre.

    Nous aussi : On veut, mais par le choix du peuple, avec votre accord, votre participation citoyenne.

     

    Alors on y va, le Changement.

     

    Nous ce sera ; avec vous. Qu’en pensez-vous ?

     

    G.B.

     

  • A toi si battante....

    Tu semblais si battante,

    Toujours prête à nous en remontrer.

    Tu étais en plus ; si bandante,

    On te savait, rebelle conquérante

    Et ton petit coté dominatrice

    Sans cesse mobilisée à nous morigéner

    Ta verve, prétendait nous en imposer.

    Nous savions que petit oiseau blessé.

    Tu avais ce besoin d’écoute.

    Pourtant toujours prête

    Tu prenais faits et cause.

    Miroir sans tain.

    Ton reflet, image trouble

    Ta faconde, posture,

    Ne trompait que toi-même

    À trop vouloir en imposer !

    Et si nous jouions

    À te pousser dans tes retranchements.

    Nous t’aimons, pour ta fragilité.

    Je suis triste aujourd’hui

    Tous ces morceaux

    Miroir brisé.

    Reprends-toi, que l’on retrouve

    Cette adorable enfant gâtée.

    Pourtant petite fille brisée

    Ne te laisse pas emporter

    Par tes désillusions

    Repousse tes limites

    Rends-nous ton image

    Volontaire conquérante.

    On te cherche partout

    Redonnez-nous not ’Caro.

     

    G.B.

  • Oh toi ma ville Noisiel.

    Noisiel, ville d’art et d’histoires.

     

    Oh toi ma ville, mi campagne, à peine sortie des champs, tes grandes coulées vertes irriguent nos cités dortoirs.

    Les papiers gras par le vent balayés font des taches de couleur qui traversent dans leur lente agonie, à la recherche de quelques endroits où en finir.

    Poubelle  à ciel ouvert, tu récupères, accrochés dans tes hautes herbes, tous ces restes abandonnés, d’un monde que l’on dit civilisé.

    Rejets de tout un peuple, pas souvent ramassés, tu couronnes ton affiche de ville d’art et d’or (dures).

    Vois  dans cette traversée, coulée verte ou simple Allée des bois, comme un champ d’abandon, laissé là ; Oublié, Et ce long tapis ou ton herbe grasse pousse et croît en toute liberté.

    Ton métro RER rejette les trop pleins de la ville, comme ces gamins laissés à leurs petits commerces, Chacun sa dose ; qui veut en profiter !

    Résidus des banlieues, territoires oubliés.

    Nous voici donc déniés,  même si tes joyaux, grilles d’honneur en pleine lumière, appellent le chaland. Le regard porte au loin, un bout de Marne, un semblant de lac de Vaires, comme une base flottante, miroir aux oiseaux.

    Dans cet écrin, tes vestiges de gloire, merveilles d’architecture, reflets d’un siècle passé.

    Ton parc, espace immensité, taillé, coupé, rangé, enfin bien ordonné, contraste saisissant. Objet de tous les penchants.

    Comme ceux qui courent après quelques succès, ou d’autres promènent solitude leur chien compagnon.

    Enfin tes joueurs en herbe qui tapent dans un ballon, espoir de tous ces grands. Illusions d’un avenir qui reste à définir.

    Et vois  ces arbres ancêtres, qui prennent cela de haut, comme d’autres restes d’une grandeur passée qui entend ne pas se faire oublier.

     

     

    Guy Biaujaud.

  • Paris Département 75 Pari gagné!.

    Oh toi capitale, qui as grandi sur les berges de cette seine, Hausmann avait dessiné ton architecture, puis la Tour, qu’Eiffel proposa, semblant,  joindre les deux rives, et défier les étoiles, caresser les nuages, tour de magie, tour des miracles ; vouée à finir en canon, mais sauvée par les débuts de la radio, et des communications ; Signe d’une nouvelle ère.

    Paris grandeur. Tu as donné au monde, en plus de ton image, jusque cette statue liberté, cette enfant de chez nous qui regarde l’Amérique.

    Tu as gardée jalouse trois de ses enfants, sœur jumelle, pourtant modèle réduit de cette lointaine ancêtre.

    Ta noblesse passée aujourd’hui bouleversée, dame il faut bien se loger, et même y faire travailler tant de gens si pressés, entassés, ils ont creusés, ton donné ce métro, système nerveux qui fait voyager, et surtout se déplacer.

    Dix, douze, voir même quinze million de gens parcours tes entrailles, le monde te regarde, t’envie.

     

    Et comme su dire le Général De Gaule, «  Paris, outragé, mais Paris libéré ! Tu as gagné tes statues d’universalité.

    Tu as grandi, généreuse ; tu as même poussée, un peu n’importe comment, brisant tes façades ciselées, cette pierre travaillée, tu es devenue béton, ou vitrine laissant voir tes dessous. Et même Montparnasse, autre tour, pour faire pendant à la première, il fallait voir loin.

     Edifice pour faire monter le prix du mètre carré.

    Façade de verre, de briques ou bien de brocs !

    Chacun prétend y mettre sa pierre, souvent peu glorieux édifice. Beaubourg, centre Pompidou ; Détesté,  mais centre de gravité, tu réponds malgré tout à ta mission, faire voir, et être vu.

    Seule grâce divine dans ce temple de pierre des monuments du Louvres, cette superbe pyramide, posée là tel un diamant ciselé ; Entrée libre, telle la verrière du Grand Palais, témoin de la transparence de l’âme humaine.

    Sinon, tu as perdu tes usines et tant de simples ateliers, tu te vides de tes commerces, lieux de vies et d’échanges. Ton centre nourricier, de ses halles, vidés, et cet énorme trou, trente-sixième dessous, centre névralgique, toutes  les croisées des chemins, et toutes ses boutiques qui vivent dans la nuit .Du rêve passé, à ces restes dorés, ton clinquant dépouillé irrigue encore le chaland ; tes besoins ont changés, tu offres désormais comme sous le manteau, toutes sortes de frusques.

    Plus loin,  le génie de la Bastille regarde cette façade grise, plate, et triste de cet opéra de pacotille qui aurait pu être riche de promesses. Pourtant œuvre magistrale, reflet de la laideur du siècle, je n’ose même plus te mettre une majuscule.

    Aujourd’hui Paris n’est plus qu’un lieu de bataille, de concurrence, tes vitrines de joailliers,  à tes cafés-grand hôtel, tous aux mains des étrangers.

    Le peuple de Paris s’est battu pour te conserver, Sur tes places le sang à coulé, de ses barricades à dame Guillotine, tes pavés ont rougi tant de fois déshonorés.

    Puis ce fut le Paris des années folles, Le Moulin Rouge, les Grands Boulevards, Paris des poètes, Paris chanté, De Fréhel à la môme Piaf, Ferré, tant de talent se sont dévoilés, tant de seigneurs se sont révélés, il n’y a pas si longtemps Jacques Dutronc et son admirablement vrai « Il est cinq heures Paris s’éveil ! ». Paris désenchanté !.

     

    Bon dieu Paris qui bouge, qui vibre encore d’épistolaires sursauts, de légendes, toi aussi prisonnière de la finance, te voilà rabougri, qui cherche un nouveau souffle.

    Paris n’est pas le centre du monde, il reste notre univers.

    Oui pari sur l’avenir, Paris des Bobos, adieux les Poulbots. Alors pourquoi ne pas croire que Paris sera toujours Paris.

     

    G.B.

  • Vue de l'intérieur

     

    Notre auteur ayant voulu testé la réalité et le regard de l’intérieur d’un rassemblement, a choisi de rejoindre celui organisé ce jour.

    Des son entrée dans le RER déjà des calicots des banderoles, des drapeaux, nul ne peut se tromper et qu’à suivre cette foule joyeuse, bigarrée et hurlant déjà des slogans de victoires.

    Pris dans cette liesse il demande d’entré un ticket Nation Bastille ! Eh oui ce serait bien là ce rendez vous ce lieu mythique, chargé le l’histoire de son passé et de la gloire qui s’en auréole ; Oh riche peuple de France, ton passé  te pousse vers cette victoire, ces mouvements de foule retrouvé, cette envie d’affronter un avenir meilleurs, oui changer le cours de nos vie et prendre notre destin en main, oui, reprendre le dessus du pavé, et comme Victor Hugo aller battre notre histoire en reconquérir l’avenir, se faire des lendemains qui chantent.

    Retrouver ce comportement de battant vainqueur.

    Durant tout le trajet nous sommes entres connaissance, gens d’un même monde, tous pour la victoire.

    Aujourd’hui les transports ont un sens, Tous à la Bastille.

    Nation la foule  déjà gonfle, se dirige, sortie, rassemblement, il n’y à qu’a se laisser porter.

    Ah valeureux compagnons qui hurlez, chantez fiers d’en être.

    Ce mouvement stoppé par un trop plein, les gens presque blottis les uns contre les autres regardent, attendent cherchent une direction, à perte de vue des corps, bras surmontés qui d’un drapeau, d’un fanion, d’une banderole, la foule bloquée s’interpelle c’est bien là le lieu du rassemblement pour le 77 ; Oui la Bretagne c’est derrière.

    Plus d’une heure d’un pied sur l’autre à attendre que le cortège démarre, s’ébroue ; des panaches de fumé, rouge comme cette houle, le ciel est resté bleu gris, mais tant de ballons s’échappent  qui y monte.

    Cris musique, slogans, oui c’est aussi ça la fête.

    Trois heures pour faires ces cinq ou huit cents mètres, cette marée humaine déverse son lot de protestation populaire, cette envie de changement de retrouver avec la dignité un avenir nouveau, il paraît que la sixième constitution est en marche.

    Quand j’apercevrais la Bastille au loin  le mouvement est bloqué impossible d’avancer trop de monde, la place est déjà pleine, la place est déjà prise.

    Comme tout le monde j’évacue par des rues adjacentes, comme tout ce monde, j’y étais, et fier de l’être….

    A vous les studios, à vous Paris.

  • Tiens jeunes cadeau !

    Tiens jeunes cadeau !

     

    J’ai honte, bien que n’y étant pour pas grand chose.

    Pauvre terre, triste planète.

    Comment avons-nous pu au fil des années,

    Réduire ainsi tant de belles et bonnes choses,

    Des mers profondes et riches,

    Océan de ressource, comme terre nourricière,

    Ces fleuves, d’où l’eau claire irrigue la prairie.

    Un monde si beau, une nature ou chacun,

    Comme les bêtes, chassent pour se nourrir.

    Tout y est félicité, ces baies tout au long des talus,

    Ces jeunes pousses, offertes, cueillette nourricière,

    Dame nature organise des festins.

    Même les ronces propices, proposent tous ces fruits.

    Et pour un peu que l’on s’y donne du mal,

    Bécher,  planter, attendre, récolter.

    La souffrance est légère et la promesse au bout.

    Le soir descend, la terre se repose,

    Le jour reviens, et son lot de promesses.

    Si un nuage pointe, c’est pour arroser.

    Quand le soleil brûle, c’est pour cuire le pain de terre,

    Comme ces briques de terre séchées.

    Si des  rivières débordent, si d’autres zones arides

    Si la grande prairie, comme ces forêts profondes.

    Tout s’y organise, chacun y à sa place.

     

    Le petit prince, qui offrait tant de promesses,

    D’un désert il avait trouvé ses richesses.

    Un mouton, une orange, trois quatre fleurs.

    Hier promise, maintenant gâchée, cruelle.

    Qui sème le vent récolte la tempête.

    Homme prédateur, et l’on dit que c’est dieu qui l’à crée !

    Fichtre la belle affaire.

    Moi je préfère y voir faiblesse, cupidité.

    Tu sais pourtant être bon, loyal

    Enfin je le croyais.

    Homme mystère ; appât du gain.

    Le grain ne te suffit plus,

    Moudre pétrir et cuire.

    Humains de tous les malheurs,

    Tu sais pourtant guérir, soigner,

    Et même donner la vie.

    Et tu t’es pris les pieds dans le tapis de la renommée.

    Tant de gloires éphémères.

    Tu avais la récolte, le partage.

    Aujourd’hui tu amasses, entasses, perfides profits.

    Tu as drainés les mers, souillés les eaux,

    La terre rejette tes pesticides et tes engrais

    Même les pôles se fondent.

    Tes voitures, avions, cargos déversent leur tonnes de polluants.

    Nous voulions simplement vivre et tu nous fais mourir.

     

    G.B.

  • Bien sûr Agnes et tous les autres.

    Messieurs le Censeurs

     

    Je comprends que la terrible affaire du viol et du meurtre de la petite Agnès, mette le monde en émoi, cependant Messieurs les « politicards » arrêtez un peu votre cirque.

    Il est vrai, l’histoire est non seulement terrible et cynique, certes le meurtrier présumé, jeune de 17 ans surement récidiviste mérite les poursuites appropriées.

    Pourtant déjà le voici jugé et condamné, livré en pâture à l’opprobre populaire et aucun jury ne pourra ne pas tenir compte de ce fait.

     

    Alors un peu de retenu.

    D’abord que notre justice fasse son travail et en ait les moyens.

    Ce jeune placé sans jugement, peut-être dans une structure pas appropriées pour sa situation, néanmoins, que vous fîtes grands tapage après chacune de ces déplorables affaires, que  nos ministres fassent une surenchère de textes législatif ou autres déclaration d’intérêt je m’offusque car quand un automobiliste sous quelque emprise qu’il soit, parfois aucune, fauche des enfants, des familles, là nos dirigeants, notre justice se montre bien magnanime, et les journalistes bien peu prolixes.

    Or donc, la vie des uns vaut-elle mieux que d’autres.

    La manière de tuer ?

    Bien sûr vos hommes en Libye ou en Afghanistan, voir en Côte d’Ivoire, avaient pour mission, de tuer et d’éliminer.

    Raison d’état.

    Que quelque déséquilibré, dans un monde, ou la surenchère de combats, de vindicte, de violence rythme notre vie.

    Même vos jeux sont des combats.

    Alors faut-il être engagé ou avoir un volant pour avoir le droit de vie et de mort.

    Est-ce là votre force.

    Moi je m’interroge

    .

    G.B.

  • Leçon d'Avenir...

    Jeune,

    Tous les jours je te croise, moi promenant mon chien ; toi guetteur, tu veilles à ta réputation.

    Vigile tu surveilles pour le compte des plus grands, plus fort, plus influent.

    Ton avenir, s’il en est, sera de t’investir dans cette attente.

    Mais ou mène ce chemin dans nos cités-banlieue

    Est-ce donc là ton avenir ?

    Tes portes de l’enfer ! même pas de  petits boulots.

    Tu te sens rejeté, inutile dans une vie, ou tu n’as pas ta place.

    L’école déjà prétendait te former ; t’initier, te placer, te dompter.

    Remplir ton cerveau, ou plutôt le modeler

    Du moins t’offrir les clés  des portes du futur.

    Mais tu n’as pas suivi, et ils t’ont oublié.

    Tu as décroché, tombé dans le désœuvrement,  bien vite récupéré.

    Est-ce là ta raison de vivre, la rue, ces halls d’immeubles.

    Tu ne cherches pas la réussite, tu attends indolent.

    Ton territoire  est restreint, tes demains incertain.

    Tombé  sous la coupe de quelques grands,

    Petits caïds de nos quartiers ils te rémunèrent te donnent une importance

    Pour installer leur emprise, pour dominer,

     Et leurs petits trafics t’autorisent une rente complicité.

    Ta famille c’est la rue, ton présent ce milieux.

    Hier un moins que rien, tu te crois au faîte d’un réseau.

    Heureux d’appartenir, simplement de servir.

    Tu n’as plus de toi-même, sous leur coupe  ils t’enrôlent.

    Ils t’offrent une raison d’être, reconnaissance, te voilà investi

    Toi hier sans existence, tu trouves ici ta place.

    Travailleurs de l’ombre ta vie se réduit à ces quelques lignes, à ces moments d’illusions.

    Passeurs de rêves, gardiens du temple, chacun sa place ;

    Quartier sous influence, à toi la surveillance.

    Tu es le paysage, tout le temps rien à faire,

     Rassemblement étrange, qu’attends-tu de demain.

    Toi déjà sans passé, l’avenir incertain.

    Exclu de notre monde, tu interpelles pourtant.

    Ceux là qui t’ont tendu la main te tiennent, te servent de béquille

    Complice ou pauvre âme perdue

    Ton ennemi c’est l’ordre avec ses forces et ces gens étriqués.

    Au grand jour tu t’affiches que peut-on te reprocher

    Maillon d’un réseau souterrain, tu sais  jouer les gros bras.

    Chaine d’un espoir pour certain  ou désespoirs des autres.

    Tous ces faux paradis.

    Avec la religion, chacun ses illusions

    Mais les prêcheurs qui cherchent à nous récupérer, sèment la discorde sinon la soumission,

    D’autres trouvent la rébellion ;  être ou bien paraître, il faut bien exister.

    Ces chapelles-là, allez savoir pourquoi, veulent nous posséder.

    Alors discernement, raison comme toutes vos oraisons dans ce monde ou tout est possession

    Le savoir oublié, comme la connaissance, seule compte la maitrise du temps et puis ce gain d’argent.

    Ou est l’amour d’antan, l’être cher dans le simple dénuement.

    La richesse intérieure avec le partage, échange de bons procédés, comme des vœux pieux

     Jetés au hasard sans nulle prétention.

    Allez y croire encore, c’est ce à quoi je prétends.

     

    G.B.