Bonnemaison, c’est comme la « bonne mère » !
Bien sûr avec ton métier, tu as voulu arrêter la souffrance de quelques condamnés.
Pour sûr tu as précipité quelques fins annoncées.
Tu auras soulagé tant de familles affligées.
Tes pères ton déniés ce droit, ils ont eut peur que ces coups de pouce n’entachent leur réputation.
Toi tu désirais simplement écrire le mot fin avec le respect de ces morts vivants.
Tu n’entendais qu’abréger leur souffrance, les aider dans leur longue agonie.
Les jurés ton suivi. Eux ils ont compris.
Ils ont entendu que tu ne voulais pas tuer, simplement aider à mourir.
Et toutes ses familles, soulagées, reconnaissantes, ont simplement dit ; « Merci Docteur ».
G B
P.S.
Pendant ce temps La cour de justice Européenne à demandé de surseoir au débranchement de ce pauvre Vincent.
Vous avez dit « justice » celle là même qui aura fait souffrir un condamné aux Etats Unis pendant plus d’une heure.
Celle là qui voudra empêcher notre Vincent, de reposer en paix, et de faire que sa femme aussi soit soulagée de cette double vie sans vie.
Alélouya, gloire à nos pères..