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Société - Page 4

  • Le temps de la Gestapo !

     Allons donc,

    Que l’on demande aux hôteliers de signaler, la présence de certaines catégories d’individus.

    Que dans un arrondissement Parisien, la police demande de ramasser, faire la chasse à tous les traînes misères.

     Sans oublier, et ce n’est pas d’aujourd’hui ; à Nice ou bien ailleurs tous ces décrets pris contre, ou la mendicité, ou les « sans logis. » Histoire de ne pas porter tord, ni préjudice pour Nos touristes. Et puis cela dénote dans le décor tous ces tristes êtres.

    Pour les, ceux-ce qui peuvent ramener de l’argent.

     Haro sur la misère.

    Certes, comme l’on ne peut se battre contre ce triste lamentable phénomène.

    La misère contre pied de cette richesse, arrogante, que les riches et leur représentant au pouvoir veulent nous cacher ; Comme pour la soustraire.

     Pauvres, rejetés, vous le savez que vous n’êtes pas bien vu.

    Qu’ils soient Roms, Bulgares. N’en sont ’ils pas moins EUROPEEN.

    Ne sont-ils pas HUMAIN.

     Comme les simples travailleurs de nos usines, même combat.

    Au moment où l’on parle du triste souvenir de l’hôtel Lutétia, fermé pour rénovation.

     La police, comme aux pires moments de Vichy, se fait les basses œuvres exécutrices d’une politique de chasse à l’homme. Nos camps d’internements existent déjà ; ils se nomment camps de transites, ou centres de rétention !. Et nos prisons sont pleines.

    Oh France de Jaurès,  J’ai honte pour toi.

    Pays des droits de l’homme (à condition qu’ils soient riches). Déjà que ces riches tout puissant délocalisent et ruinent notre économie, notre pays pour raisons gardées, Les charges, vous savez celles qui pèsent pour les patrons, Voilà l’œuvre de misère en marche, voilà  encore des futures exclus.

    Hier l’ancienne Seita bradée à Tobacco, je ne sais quoi et qui ferme ses sites de productions.

    Demain ces Fagor Brantd Vendu à un puissant financier Algérien ; et qui bientôt ajoutera son lot de plans sociaux.

    Hier, toujours Les Salaries de VIVENDI SFR, bradés pour, « restructuration » offert à un magnat de la finance international, que restera-t’il des emplois ?

    Combien de nos richesses, de nos usines, de nos emplois jetés pour cause de délocalisation.

    Tiens en Pologne. Des emplois jetés comme des vieux Kleenex. Pour des salaires à pas cher : Camarades la misère gagne.

    Au début du XX eme siècle, c'étaient les Polonais, Les Italiens et tant d’autres qui venaient nous offrir leurs bras, leurs vies pour construire ce qui fut la France.

    Aujourd’hui vendu aux Américains, bradés aux Allemands ; Ce qu’ils n’ont pas réussi à faire en 14 et en 40, à lieux aujourd’hui. Le marché commun, l’Europe des Nations ; Un marché de dupes.

     

    Dites STOP.

    Peuple je sais que tu descends dans la rue.

     Ouvriers, employés, Hommes femmes, citoyens et républicains.

    Peuple de Gauche, Déjà tu rejettes les urnes et leur verdict, très bien.

    Il faut faire plus et entrer en guerre contre la finance.

    Je sais que certains consomment déjà minimum, il faut nous qui avons encore un peu de moyens, mettre à genoux ces riches flambeurs, les étrangler, leur rendre la monnaie de leur pièce.Et que le Cac 40 soit divisé par deux. Faisons-nous les chevaliers de la décroissance..

    Notre charge devra les faire pliés.

     

    Tiens Patrons, cadeaux….

     

  • Bientôt les Européennes !

    L’aventure, c’est l’aventure !

    Je vous sais anxieux de connaître les suites de notre super production ; Après les municipales, on fait quoi ?

     D’abord, le grand ménage dans nombres de nos mairies. Un grand classique.

     Tant de dossiers sensibles vont devenir « secrets défenses », et rejoindre comme le « Bugaled Breizh » les profondeurs et de l’océan et de notre  haute stratégie du savoir faire «  made in France ».

     Ensuite vint la Valse des étiquettes, et il n’y aura pas de Valse hésitation.

     L’un se croyait un « Héros », pôvre  Jean Marc,  enlisé dans la boue de son aéroport de Notre dame des Landes; lâché, jeté par NO Lande. L’autre surgit et en trois tours de piste, un nouveau « petit Sarkozy »  qui reprit du pouvoir.

    Ô roms, roumains et autres Bulgares, prenez garde, déjà dans le collimateur ; tous pris pour des voleurs de poules incapables de vous intégrer.

    Profitez, notre nouveau premier sinistre Hidalgo, Hollandais aura plus à faire pour rentrer dans les cordes Européennes que de vous poursuivre de sa vindicte.

    Bref un répit pendant qu’il se débat dans le fiasco d’une Europe en 28 morceaux, pendant qu’il cherche à placer le prix de son autorité, et  la « grandeur de la France »

    Donc trois petits tours de Valse ;  Lequel promet de diviser nos régions par deux, de supprimer les départements. Croyant ainsi régler notre, enfin leur dette.

    Le sujet pour audacieux qu’il soit ne présente pas une affaire il y a longtemps que nos jeunes ne connaissent plus ceux-ci encore moins préfectures et sous- préfectures. Alors ?

     Cela se nomme «  la réforme des rythmes scolaires », ils disent qu’ils travaillent trop !

     Bon Manuel tel le torero tu comptes affronter le taureau France, et de piques en banderilles tel Carmen tu nous la chante belle.

    Et tes passes d’armes n’amuseront plus le peuple, lassé du grand guignol de la république.

    Vives la France, Vives le peuple Français.

    Et pour les Européennes on fait quoi ?

     G.B.

  • Chapeau bas !

    Élection municipale 2014 Ville-Noisiel.fr

     

    Chapeau bas, Mesdames, Messieurs.

    Nous partîmes presque 9000. (8661)

    Et vous retrouvons 3900, en arrivant au port.

     Vous fîtes donc 2297

    Bien joué, beau bilan, et les nuls 324 ; Comme votre opposant 1309

    Se feront une raison.

    4761 auront préféré, les balades en forêts, ou bien se seront enfermés dans le noir d'un ciné, voir choisi la compagnie d'un Michel Drucker et sa  triste télé.

    Donc vous allez continuer de gérer ( la pénurie)

    Et nous, voir vous débattre dans cette  triste incurie.

     Vous pourrez vous montrer, comme toujours arrogant.

     Bon les urnes ont parlé, nous on devra la fermer.

     Même si l'on continue de regarder passer les trains (de triste vie).

    Pourtant c'est vraie vous avez donc gagné.

     

    Bravo, et merci  Eh Lecteurs !

  • Le jeux sont faits !...

    Ainsi donc, notre Maire, encore actuel, se démène, et n’aura jamais autant fait distribuer de tracts et professions de foie.

    Notre seigneur et Maître est au aboi, il sait que ses amis socialistes ont savonné la planche sur laquelle il joue.

    Il sait son avenir incertain.

     

    Pourtant après 34 ans de service, il est comme notre vieux réseau d’eau qui fuit de toute part.

     

    Il espère garder la place, puis y mettre un de ses pions, fidèle vassal, Il prétend jouer la démocratie, puis contourner ses lois, utiliser son avantage, jouer l’image de marque, pour un de sa liste, même pas habitant la commune, un parvenu.

    Ô France patrie des tricheurs, cumulards et fils de…, arrivés, non par son charisme, mais grâce à des relations…

    Un tel dévouement, savoir à ce point renier ses convictions pour se trouver placer jouant gagnant.

    Grandeur et servitude, cela me rappel Alfred de Vigny, qui montrait la dépendance entre l’état et son armée.

     

    Nos généraux d’aujourd’hui, n’arrivent plus pour leur méritent, mais par relation.

    Le pouvoir acquis par « Parti pris ». Le jeu des encartés.

    Le jeu des chaises, ou comme quand il s’agit pour cinq individus de chercher à s’asseoir sur quatre chaises.

     

    Nos politiques pour attacher qu’ils soient à leurs sièges ; Il faut pour les en déloger plus que gesticulations, affaires et méfaits.

    Ils tiennent à leur place et s’accrochent.

    Morpions de la politique, ils connaissent toutes les combines, possèdent tous les atouts, et ont dans leur manche tant de gens haut, et bien placés.

    Nos petits commis de l’état roi se partagent le gâteau.

    Gavez-vous le peuple n’attend rien de vos restes.

  • La grande illusion !

    Monsieur not’ maire parade sur les affiches, osant prétendre, Noisiel Solidaire ; Pour bien vivre ensemble !.

    De tracts en sorties de quartier, il entend faire passer ses messages subliminaux comme quoi l’ordre règne dans notre ville, et il nous propose une liste d’union, que je qualifierais de liste de Dupes et de marionnettes.

    Noisiel, et ses habitants souffrent d’un manque de dynamisme.

    Coincé entre une communauté de commune, omniprésente, mais laxiste et irresponsable, et des obligations quelle ne prétend assumer qu’à grands coups de mandatement d’études de toutes sortes, aux résultats délirants.

    Aménagement du Luzard inconvenant, irréaliste et d’un coût exorbitant.

    L’enfermement des principaux groupes immobiliers, créant des bastions, et des caches misères à la population, et les isolants derrière des murs et des grilles.

    La dégradation des voiries, usées par le temps et le manque d’entretien.

    Des aires de jeux, pour les gamins, refaites à grands frais et en permanence hors services.

    Des aménagements paysagers ou les herbes folles nécessitent l’intervention permanente des jardiniers, lesquels n’arrivent pas à endiguer le retour de la nature à son coté sauvage et incontrôlé.

    Un réseau lumineux en panne, pendant plus d’un mois, sur 2013, au grand dame des nuiteux.

    Noisiel et ses commerces, chassés pour cause de misère, laquelle génère son lot de soumission et de réseaux souterrains, petits boulots, pour génération désœuvrée, pour jeunes oubliés.

    Noisiel grippé par son manque de fermeté vers certains intégristes.

    Il est plus facile de faire la chasse en Centre-Afrique que sous nos fenêtres.

     

    Noisiel, ville d‘art chargé d’histoire, mais qui détruit son passé.

    Noisiel, à l’avenir incertain.

    Noisiel qui prétend à la grandeur, alors qu’elle n’en a ni les moyens, ni l’espace.

    Noisiel jeu de piste pour handicapé, absence de marquages, trottoirs défoncés, obstacles infranchissables.

    Noisiel citées dortoir, qui veut jouer les grandes, et se targue du Grand Paris, tout en étant rabougri, et sans envergure.

    Il faut que les citoyens reprennent le pouvoir, il faut que ce soit les habitants qui proposent et donnent leur avis et non les bureaux d’études.

    Voilà un maire en campagne avec un passé de quelque trente ans d’immobilisme.

     

    Il serait temps que cela change.

    G.B.

  • Petit sondage d'avant les urnes !

     

      Ainsi donc, Daniel Vachez, notre  seigneur et maître, élu et maire depuis      «  Mathusalem »

    Ose-t-il prétendre à se représenter.

    Dont-acte, et fort bien.

    Ce n’est pas qu’il délaisse sa tâche pour d’autres plus reluisante ; plus rémunératrice enviable et  autoproclamé ; Communauté de communes ! Tiens, pourquoi pas ?

    Pourtant, sur notre ville sa seule réalisation d’importance, avoir redessiné les bords de Marne.

    Encore en aura-t-il profité pour redéfinir les grands axes de notre parc.

    Fi du petit pont de tous les soupirs, détruit pour voir plus grand !

    Percement d’une zone marécageuse.

     

    Bref en ville depuis des années nous attendons, demandons un peu de lumière, un minimum de sécurité.

    Oh les études pleuvent, au grand profit de bureaux d’études à docs ! Mais pour la réalisation ; c’est à l’étude….

     

    Noiséliens, Noiséliennes il serait temps de changer et de prendre votre destin en main.

    D’autant que la rumeur, souvent bien informée prétend que, à mi mandat le maire abandonnerait son poste au profit d’un tiers de sa liste. Tiens donc !

    La même entendrait  encore qu’il aurait, enfin, faut voir, qu’il proposerait postes et responsabilité à d’autres, voir encore de cette ancienne « union de la gauche ; Socialo, écolo, communiste.». Baliverne !.

    Ainsi dans les cuisines de notre pouvoir il se prépare de drôles de plats ?

    Bon laissons leur ces manipulations, et laissons Augias à ses écuries.

     

     

    Soyons clairs, efficaces ; nous choisiront le changement.

    Amis, Voisins, et lecteurs  que l’on croisent en chemin, demain Noisiel doit se choisir une autre voie.

     

    Demain faisons entendre la notre de voix et Votons pour NOISIEL et sa population, non pour des « communautés d’intérêts ».

     

    Alors ça vous dit ?

     

  • Election sur l’air de la bêtise.

    Bientôt les solde !

    Et l’hiver qui arrive,

    Et le temps, de fourbir ses armes.

    Et  de missions en compromis,

    Les partis, font les fonds de tiroirs.

    De ceux qui délocalisés,

    Aux autres parachutés.

    De basses manœuvres,

    De  si vil ,servile pour le bien de la cause.

    A ceux plus audacieux qui prétendent innover.

    Des promesses, inutiles bêtise ; misère et pauvreté.

    De ceux qui sont acheté, à d’autres bien vendu.

    Grandeur et décadence chacun prétend en être.

    Même nos villes et le moindre village

    Servent de prétexte pour beaucoup d’y aller.

    Ils veulent donc gérer, ou bien se faire valoir !

    Ils prétendent régenter, vous guider, voir vous épauler.

    Ils entendent gouverner et donc vous diriger.

    Ils n’ont d’autres pouvoirs que de changer les plaques d’une rue.

    C’est pourtant la petite porte, pour accéder aux grandes.

    Cumulards, ils entendent préserver leurs droits.

    Nos villes les intéressent, à moins que ce ne soit nos vies.

    Avec l’hiver les feuilles d’impôts sont tombées.

    Ils attendent le printemps pour ressortir les urnes.

    Et voir vos bulletins valider leur méfait.

    Et c’est dans l’isoloir que vous pourrez aller vous faire rhabiller, ou bien même plumé.

    Ils appel ça démocratie.

    C’est vrai, le droit  républicain de voter pour ses gardiens.

     

    Et vous étrangers vous n’avez pas ce droit.

     

    G.B.

  • Noisiel, Les municipales 2014 ; Et si on changait de maire !

    Et si pour nous aussi, le CHANGEMENT ?

     

    Pareil les feuilles mortes chaque automne, Tel cette vieille grille de notre parc, immuable, nous nous sommes habitués.

    Il arrive qu’on le croise, on peut même lui parler, l’interpeler.

    Il ne fuit pas, il se dérobe.

    Toujours présent, il entend tout diriger.

    Pourtant ce, n’est jamais sa faute, ni sa responsabilité.

    Un bilan exemplaire.

    Comme le temps, comme cette perçante  « allée des bois ; Il entend traverser, regard droit devant ; depuis nos tweens towers des Totems jusque Cette base de Vaires, un horizon dégagé.

     

    Nul gène, un arbre le dérange, qu’on l’abat, une poubelle, virez là.

     

    Sans gêne il jongle avec votre argent « contribuable », une aire de jeu par ci, trois petits arbres par là. Mais le tronc d’un diamètre : tient comme cette feuille A4 Roulée, au minimum…

     

    Bon prince il vous dira : que ce n’est pas sa faute, Le SAN, La Communauté, Le Préfet…Les feuilles des arbres qui empêchent la lumière.

     Les pannes de lumière répétés ; il ne faut pas trop éclairer.

    Des petits trafics, des dealers ; où ça, qui ça, non pas chez nous ?

    L’ordre règne..

    Et deux vaches pour faire bonne mesure.

    Et cette Marne aménagée de pontons immergés, ca c’est une trouvaille !.

    Et un vieux, et très joli petit pont, sacrifié ; Il faut voir grand !

    Toujours présent, jamais responsable.

    Le marché, malmené, les marchands mécontent !.

    Des études menées par des bureaux adéquats, par des géomètres, des centres d’analyses. Des experts mandatés, rémunérés à grands frais. Tout ça pour : ….Grand seigneur, il entend déplacer des montagnes refaire sa ville, la votre.

    Nous aussi : On veut, mais par le choix du peuple, avec votre accord, votre participation citoyenne.

     

    Alors on y va, le Changement.

     

    Nous ce sera ; avec vous. Qu’en pensez-vous ?

     

    G.B.