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Blog - Page 3

  • La vie devant soi !

    Tu ne seras pas homme mon fils,

    La laïcité devrait être le terreau de la démocratie.

    Ou quand celui-ci ne laisse plus pousser que ruines et misères.

    Quand nos perspectives ne sont plus que, l’état raquette, ou l’état prison.

    Ou l’état de déliquescence, exclusion.

    Quand l’avenir, se restreint à leur télé réalité, aux pires jeux de rôles.

    Quand votre rêve Internet, défie les consciences,

    Et, impose le virtuel au-delà des valeurs.

    Le temps de devenir sans avenir, celui des lendemains incertains.

     Quand vos certitudes oppriment les rêves.

    Que votre CAC 40 nous transforme en misère.

    Et tout votre argent roi, aux dépens des valeurs.

    Quand la terre appauvrie ne nourrit plus son homme.

    Et vos usines à bestiaux, dénient au temps son savoir-faire.

    Quand l’eau des mers et des rivières coule nitrate, pesticides et déchets.

    Quand la jeunesse crie son désarroi.

    Et pour le rêve, le shoot, cannabis d’avenir.

    Et que caricature la rébellion se termine en privation.

    Quand vous prétendez la hauteur en rabaissant les peuples.

    Alors que vos banques se servent, alors que nous on sue.

    Ou défilent, rejet, potion magique Pôle emploi.

    Que pourtant même les élus filent mauvais coton.

    Quand plus fort les écoles distillent l’exclusion.

    Et ne sèment qu’incompréhensions.

    Quand on bétonne, on bitume les terres.

    Tout en faisant pousser l’herbe sur les toits.

    Quand nos cerveaux sont vidés, nos idées rétrécies.

    Que vos dieux imposeront leurs lois.

    Alors des prêcheurs disposeront de toi.

    Tant que tu ne seras pas éduqué, conquérant et honnête.

    Tu ne seras pas un homme mon fils.

     

    G.B.

     

     

    N B . Ceci est un pastiche du célèbre poème de Rudyard kipling

    « Tu seras un homme mon fils »

  • Tous des Charlots,

    Oui, la France est bien un pays de Charlot

    La récupération va bon train ; Et le politique toujours prêt à s’engouffrer, pire à utiliser le moindre prétexte pour redorer son blason, pour illusionner ce peuple.

    Oui vous, petit fils et arrière petit fils de Voltaire, revendiquez votre part de cet héritage du traité de la tolérance.

    Vous dont la cote de popularité fluctue au gré des courants, vous qui vous honorâtes d’avoir sauvé la France de je ne sais quel péril terroriste.

    Quand trois gamins en rébellion prétendaient jouer aux gendarmes et aux voleurs.

    Et préféraient mourir que vivre votre vie, du moins celle que vous leur proposez.

    Vous et votre cour qui vous prétendez rassembleur, lors si le monde pour figurer dans votre vitrine défile derrière votre bannière ; Laquelle prétend rassembler des assassins, comme des pourfendeurs des libertés.

    L’ignominie comme état, et l’hypocrisie comme statue.

    Et fière prétendez montrer au monde le chemin, de l’honneur.

    Vous qui, pauvre France, amusez le peuple et le tient sous le joug de la médiocrité, vous qui entraînez notre monde dans la spirale du déclin de ce Capitalisme, de cette société libérale avancée.

    La pourriture gagne, et l’état de déliquescence de notre monde n’offre ni avenir, ni perspectives.

    Pourtant vous accentuez la pression, vous bradez notre hégémonie, et détruisez nos valeurs.

    L’état de servitude au profit des plus influent, des plus en vus ; Ces riches qui réduisent la planète, et la brûlent à petit feu.

    Et face à toute cette misère, les banlieues, les jeunes se rebellent et cherchent d’autres voies, d’autres issus.

    Parfois leur regard se tourne vers des précheurs, d’autres illusionnistes.

    Un monde face à l’autre.

    Et si le rêve ne leur suffit pas ils pensent trouver des certitudes dans cette échappatoire, dans ce rejet, dans cet autre monde. L’ignorance comme la misère engendre des dégâts, attention à ce que ceux-ci ne soient pas irréversibles.

     

    G.B.

  • Ils ne sont pas mort pour ça !

    Pauvres Charlie,

    Par vos dessins, par vos écrits, vous avez suffisamment moqué la bêtise de ce monde, sa supercherie, sa duplicité, la connerie humaine.

    Qu’auriez-vous dit, de voir notre président, le représentant d’un peuple qui se dit libre, et porteur d’espérance défiler avec des assassins, des gens ayant les mains rouges du sang de leur peuple, ou, d’autres ayant ouvertement financé les terroristes de tout crin.

    Et les simagrées, et les salamalecs dans la Synagogue avec Netannyahou, ne manquent pas de provocation.

    Oui,  vives Charlie, mais honte à tous ceux qui se réclament de son humour, et récupèrent un tel drame.

    A suivre au prochain sondage. La cotes de popularité….

    Et pendant ce temps les boîtes continuent de licencier, de fermer.

    Charlie Hebdo était au bord du gouffre et à l’époque F Hollande n’avait pas levé le petit doigt.

     Tous des cons malgré leur simulacre d’honneur.

    Et vous croyez que cela servira leçons à ces  jihadistes  en herbes, ou en devenir ; À ces fous de dieu.

    La Marseillaise, à l’école ou bien ailleurs on s’en fout, il faut surtout redonner des valeurs à l’âme humaine, avec des paroles crédibles.

     Les patries on s’en tape, il faut défendre les individus, et avoir les pieds sur terre.

    Et continuer d’outrager les dieux de quelque obédience qu’il soit.

    A bas la calotte, rendons hommages à ces Brassens Brel, Voilà des paroles pour le peuple.

    Mais il y à longtemps que ces apôtres ont disparu.

     

    G.B.

  • Des doutes!

     

    Après les opérations « coms »lancées tout azimut par

    François Hollande et ses ministres pour redorer le blason tellement terni par trois années du pouvoir au service de la finance et du patronat.

    Les voici occupés dans une méga campagne, et tout est bon.

    Tellement que…Y compris l’extrême droite prise au piège, le Front National taclé prétendant ne pas avoir été invité, bref…

    Tout cela sur des relents -d’anti-Islamisme, antisémitisme.

    Super Production et tous les ingrédients pour une super
    Promo. Le front républicain, à toutes les sauces.

    Ben oui, c’est les soldes, tout est bon.

    Donc bien, que étant de tout cœur et en toute raison avec les Charlie, je n’irais pas à leur manif.

    La ficelle me semble un peu grosse….

    Ils ne sont pas mort pour ça..

     

    G.B.

     

     

  • Nous sommes tous des Charlies,

    Pour ma part je voudrais reprendre une première réaction, un peu moins de compassion, et donc un peu plus de réflexion

    Certes, d’abord la mort a gagné sur la vie.

    Mais les dessins, les destins de l’homme résisteront à la barbarie, à l’intolérance, à la bêtise.

    L’homme est grand, les assassins, les tueurs des monstres bien petits.

    Il faut se moquer, rire et sourire.

    Les massacres, les meurtres perpétrés par ces assassins révèlent leur ignominie, leur peu de foi..

    Levons-nous pour dire stop.


    Et marchons ensemble vers la fraternité des êtres, et la résistance à l’obscurantisme.

     

    G.B.

  • Une vie de chien.

    Je t’avais rencontré, tu as rempli ma vie.

    Tu m’as donné, aimé, suivi.

    Tu ne demandais rien, simplement être à mes côtés.

    Compagnon sans reproche,

    Aujourd’hui je t’ai aidé à partir.

    Tu laisses un vide immense,

    C’est dur, et court une vie de chien.

    Reposes en paix.

     

    G.B.

  • Le monde comme il va !

    Heureusement certains commentateurs ne se trompent pas ; Leur sourire, forme de clin d’œil, démontre s’il en était le grotesque d’une situation, ou tout serait déréglementé, allant depuis l’ouverture des magasins le dimanche . Pourquoi 24 h sur 24 ? certains le souhaite.

    De même, nous pourrions nous improviser, chauffeur de maître, et en tous moment véhiculer quelques pauvres âmes perdues dans nos grandes villes.

    Pourquoi ne pas remettre au goût du jour les chaises à porteur, une idée qui ferait un immense plaisir à certaines dames toujours prêtes à se mettre en avant, et à se montrer.

    Et puis comme il y à les distributeurs de prospectus, salariés éminemment mobile, re-mettons au goût du jour les laveurs de carreaux, sillonnant nos villes interpellant, comme, les rémouleurs que nous renommerions, tailleurs en tous genre, bref comme il sied à certains de nous renvoyer deux cent ans en arrière, les petits métiers règnes à profusion.

    Retrouvons bien que certains ne les ai pas oublié, les cireurs de chaussures de rues, et souvenez vous ces images d’Épinal d’un petit bonhomme, noir de préférence qui avec son petit banc marche pieds propose « ciré chaussu Missié ».

    Notre petit ministre Macron, ne doit pas manquer d’idées sur la question.

    Et gageons que le Medef à mis en place une cellule de réflexion !

    Alors comme nos dirigeants, faisons preuve d’imagination, et comme au dix-neuvième siècle alors que le chômage n’existait pas.

     Soyons créatif; un bel avenir.

    Ça vous dirait ?

     

    G.B.

     

  • Une ouverture pour tout un monde,

    Mes radios me vantent, ce nouvel espace, cette nouvelle maison, repensée, reconstruite, ouverte à tous et toujours au public.

    Bravo Radio-France et ses nouveaux locaux.

    Vives la maison des radios, ok pour cette maison des cultures.

    La France pays de culture et de traditions trouve enfin un lieu commun ou s’exprime ses talents, ses richesses.

    Si les « animateurs » ne tarissent pas d’éloge.

    Les superlatifs, accompagnent cet enthousiasme.

    En fait ce feu parti un jour dans le décor d’un certain nombre d’émissions éclatera tel un feu d’artifice, prétextant la réouverture de cette nouvelle maison, et lançant les festivités.

    Les talents ont leur lieu de rassemblement, les artistes, ont cet amplificateur, cette monstrueuse, machinerie, et des espaces pour y vivre.

    Notre richesse, notre talent ; notre différence s’exprime plus fort, rassemblée.

    Le bonheur du service public, sa grandeur.

    Merci à vous Radio-France, ses directeurs, ses animateurs journalistes techniciens, preneurs et diffuseurs de sons.

     

    Voilà bien j’œuvre de l’éclat, et de la diversité culturelle de notre pays, et ça le peuple aime !

     

    G.B.