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Blog - Page 2

  • Alors on déménage !

    Et oui, j'ai déménagé !
    Enfin je suis entrain.


    Mon éditeur n'assurant plus les statistiques ; Or celles ci pour moi sont importantes, que dis-je fondamentales.
    Diantre j'aime connaître ma "popularité" !
    M'enfin petits scriboullard, il me plait de savoir mon audience.
    Donc, tel le maçon je vais tenter de me reconstruire, ailleur.
    Et comme je l'ai toujours dit : Qui m'aime me suive.
    Chers amis lecteurs et critiques, merci.

    Cent cinquante trois pages plus tard, Merci Haut et Fort ; Vous m'avez lancé, suivi, épaulé, voilà séparation en douceur, exemple de courtoisie.
    Moments délicats, pourtant décicifs.
    Penser se reconstruire ailleurs, se repositionner.
    Retouver son auditoire.
    Mais repartir se relancer, re-vivre. et poursuivre l'aventure.
    Bien à vous fidèles lecteurs.
    A suivre...

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  • Le prix de la ville !

    Mesdasmes, Messieurs,
    Ah ces fins de mois difficile, Ces budgets étriqués ou il faut compter, compter, repousser certains achats, pour une facture de gaz, d’électricité en augmentation.
    Et la paire de chaussure du petit, éculés et déjà presque trop petite, ça n’a l’air de rien, mais c’est encore entre quinze et vingt euros qui s’ajoutent.
    Ah toutes ces augmentations, 03 % à l’année qu’ils disent. Le panier de la ménagère, mon cul, mais c’est vrai que ces gens-là ils font pas les courses, tiens rien que le pain en début d’année 10 %¨d’un coup, on appel ça se faire rouler dans la farine !
    Alors leurs comptes ils les arrangent comme ils veulent, n’empêche !
    Tu parles on ne compte pas les sous de la même manière ; Pour sûr !
    Pendant ce temps, tiens, ils viennent de couper des arbres, ça faisait vingt ans qu’ils avaient été plantés, commençaient à être beau, respectables.
    Et ils nous mettent un panneau, ils vont refaire la chaussée, mettre des pavés, on voudrait bien leur jeter à la figure ces pavés, tout ça pour 250.000 euros, ben tient c’est avec nos impôts, facile pour eux, pas dure de gérer leur finance, ils pensent que c’est pour ça qu’ils ont été élus.
    Bravo, Ah oui j’oubliais profession Politien.
    On appelle, ça aussi des gestionnaires.
    En place pour dépenser notre argent. Voilà où vont nos impôts, vous savez que tous les ans sont programmés des gros travaux. Pour cause ?
    On En plus c’est l’entreprise, Jean Machin,qui hérite du chantier, tu crois qu’ils vont faire comme quand ils ont refait nos bords de Marne, un revêtement tout fissuré, il y à trois ans cet entreprise avait déjà récolté 500.000 euro d’argent publique ; Bizarre non ?
    Et puis, la communauté d’Agglo, qui décide, fait faire les études, et, est maître de l’ouvrage ; tiens un financement louche. Ou une manière de s’auto- financer ; Pas con non !
    Bon de toute façon c’est eux qui commandent, alors que faire.
    Au moins parler dénoncer, dire raconter, informer.
    Qui sait un jour une vie propre dans un monde honnête, allez jeunes je vous laisse ce monde pas beau hein !
    Et pourtant toi tu n’as pas de boulot, alors tu la fermes toi aussi.
    Eux ils sont payés pour ça.

    G.B.

  • Ô temps suspend ton VOL !

    Pourfendeur F M I,
    Comme d’autre Merkel,
    Pas préteurs, encore moins,
    Généreuse, tout juste prêcheuse
    Crâneuse, gagneuse, elle entend,
    Comme d’autre en leur temps.
    Imposer leur diktat.
    Mettre au pas les peuples
    Semer la misère, démontrer
    Son austère fonction.
    Marchand d’armes, il faut bien
    Imposer sa vision.
    Fructueuse mission
    Encaisser la taille et la gabelle.
    Étrangler les peuples.
    Et grossir les caisses de son empire Nation.
    Prélever l’impôt
    Attentionnée suppôt,
    De ces marchands roi.
    Écoutez, c’est Merkel qui gouverne ;
    Europe, au pas,
    Elle prend sa revanche,
    De cette Allemagne de l’est
    Crée sur les décombres
    De ces ruines National Socialisme.
    Besoin de s’affirmer, envie de dominer
    Voilà qu’elle entend
    Imposer un régime
    Ô peuples généreux.
    Ton histoire plaide
    Berceaux des civilisations.
    Et ce ne sont ni Zeus, ni Homère, ni Platon
    A moins qu’un bon, Ulysse
    Ou généreuse Aphrodite.
    Tu su en son temps poser les jalons
    D’un équilibre utile
    Entre peuple et nation.
    Prêcher les vertus de la civilisation.
    Et nous laisser ton emprunte.
    Où Grèce rime avec Démocratie.
    Le pouvoir appartient bien aux peuples.
    Allez finance, reste là pour servir, Non pour te servir.

    G.B.

  • Place au peuple !

    Les Grecs, malgré pressions et manipulations se sont exprimés.
    Ils rejettent massivement la politique du FMI, de L’Union européenne d’aide et de mise aux pas.
    Pour l’heure la Grèce relance la Démocratie, et l’idée que nous en avons. Elle nous redonne une leçon.

    Enfin le peuple prend le pas sur la finance et ses lois scélérates.
    Enfin il faut croire, non pas à leur rejet du sortir de l’Euro, ni de l’Union Européenne.
    Ils veulent juste, simplement, renégocier leur dette, Voir en supprimer une partie, et pouvoir vivre.
    Mais c'est trop demandé , pour la Troïka des oligarchies financières.

    L’Europe des peuples et des Nations est entrain de prendre corps.
    La puissance de la finance comme de l’Allemagne, déniée.
    Oui l’Europe à eu chaud.
    Oui les peuples vont pouvoirs faire entendre leur voix.
    Les Grecs ont dans leur bon sens donné un coup d’arrêt aux requins qui voulaient continuer de les saigner.
    Chacun sait que les peuples ne sont pas responsable, que la pression mise par ceux qui prétendaient récupérer sur le dos de ces nations, jeux de dupes, voir des intérêts de vendeurs d’armes, étrangleurs.
    Oui il faut relancer les économies et faire que les subsides injectés servent à autre chose qu’à rembourser la dette, donc à faire vivre ce CAPITALISME étrangleur.
    Aujourd’hui, grâce au vote Grec l’Europe des nations est née.
    Aidons là, renforçons son audience ; Nous, peuple de France qui en son temps avait ; dit NON au traité de Maästrich.
    Nous Français vendu par nos dirigeants, soutenons la légitime bataille du peuple Grec.

    Oui il faut soutenir la Grèce, comme il faut aider l’Espagne, Le Portugal, L’Italie, comme il fait faire respecter pour la France le niveau d’endettent. Tiens pourquoi eux, et pas nous ? Vive le peuple et la voie qu’il nous montre ; Noble et sa parole est vrai le choix qu'il exprime.
    Les Grecs, malgré pressions et manipulations ont rendu leur verdict, sans appel, ils se veulent résolument Européen, mais prétendent VIVRE.
    Ils rejettent massivement la politique du FMI, de L’Union européenne d’aide et de mise aux pas.
    Pour l’heure la Grèce relance la Démocratie, et l’idée que nous en avons. Elle nous donne une leçon.


    Le peuple est noble et sa parole est vrai quand il s’exprime, vive la voie qu’il nous montre.
    Suivons les.

    Oh peuple souverain RESPECT !

    G.B.

  • Jeu de mots !

     

    Vos maux me pèsent,

    Et si mes mots opèrent.

    Pour vous suivre, j’obtempère.

    Un peu pervers, je soliloque ou bien je vitupère.

    Certes, je vous prends en exergue.

    Bien que j’attende de vous comme un nouveau concept.

    Le juste sens, où ce stupide prétexte

    Je vous tiens comme en laisse,

    Et me joue, de vos stupides complexes.

    J’attends calmement qu’ils s’écoulent,

    Mais pour ne pas être en reste

    Je donne l’illusion du devoir accompli,

    Parfois, simple savoir faire.

    L’homme comme l’escargot, prétend laisser sa trace.

    Laquelle révèle, comme un lourd passé.

    L’expérience conduit, comme au bout de ses pages

    À mener lecteur au profond de l’écrit.

    Tyrannie du dico, à moins que l’imposteur correcteur

    Nous offres, une pénible agonie, cherchant à semer le trouble.

    Et le conditionnel, illustre tellement mieux,

    Ce que l’avenir attend, même si le réel affiche l’incertitude.

    Obsédante histoire qui nous oblige sans cesse.

    À toujours nous reprendre, voir ressasser son texte ;

    De revisiter les anciens pour retrouver un sens.

    Pourtant les suivre comme douce astreinte.

    Car c’est bien la contrainte qui nourrit le sujet.

    Et de savoir en finir, cruel, point final.

     

    G.B.

    Vos

  • Des astres !

    Au fil du temps,

    Au fil des ans.

    Je n’avance plus, je piétine.

    Mes pas devenus plus lent

    Tout mon être se tasse

    Mon regard ne porte plus, 

    Mes yeux ont rétréci l’horizon.

    Mes errances se diluent.

    Je vais indolent, sans but.

    On ne rattrape pas le temps perdu.

    C’est aujourd’hui le printemps,

    Pour moi l’automne de la vie,

    Désormais j’appartiens au passé

    J’ai œuvré, conduits, tracé.

    Et toutes ces étoiles au ciel,

    Comme tant de gens brillant,

    Que l’on dit avoir quitté nos lieux.

    Petits astres luisants, comme bougies ;

    Souvenir de toi, de lui des autres.

     

    G.B.

     

  • Ô saints des seins !

    J’ai fait un rêve, madame,

    Ou vous m’émerveillez  de vos rondeurs,

    Elles étaient arborées sagement,

    Ce corps, votre physique mérite une attention extrême.

    Et, portés dignement, certains de vos attributs.

    Nobles et fières, prédisposés, imposent.

    Petits, ils narguent honorablement, le regard du céans.

    Subtilement offert, et sans ostentation.

    Ils pointent alors leur dard, émoustillé,

    Et nous font fête, tout en nous tenant tête.

    Toujours prêt à l’ouvrage ; Ils attendent de se rebeller.

    Caressant, ils se  laissent pétrir,

    Ces mamelons généreux, comme offrande en bouche.

    Si d’autres prodiguent, se dressent fièrement.

    Pointant et portant toujours droit devant.

    Se jettent aux yeux du monde.

    Si plus lourd ils tombent, et semblent rnarguer vos chaussures

    Un soutint leur offrira, tels des balcons de choix.

    Les offrant divin, comme dans un écrin.

    E t si pour les matrones jouissivement offertes.

    Comme balles rebondissent, et se laissent attendrir.

    Et merveille, ces médailles, comme bouclier.

    Offrande, fruit de la passion, ou délice de mangues.

    Et si au sein des seins ; Vous méritez de vous afficher,

    La liberté vous sied, sachez en profiter.

    Et si par coquetterie, ou par esprit malin.

    Vous vous libérez et pointez, dignement.

    Vous êtes les héros de cette féminité.

    Et le supplice de notre curiosité.

    Allez laisser nous combler, tendre gourmandise,

    Et nous ravir un peu de votre inimité.

     

     

    G.B.