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Blog - Page 11

  • Noisiel, Les municipales 2014 ; Et si on changait de maire !

    Et si pour nous aussi, le CHANGEMENT ?

     

    Pareil les feuilles mortes chaque automne, Tel cette vieille grille de notre parc, immuable, nous nous sommes habitués.

    Il arrive qu’on le croise, on peut même lui parler, l’interpeler.

    Il ne fuit pas, il se dérobe.

    Toujours présent, il entend tout diriger.

    Pourtant ce, n’est jamais sa faute, ni sa responsabilité.

    Un bilan exemplaire.

    Comme le temps, comme cette perçante  « allée des bois ; Il entend traverser, regard droit devant ; depuis nos tweens towers des Totems jusque Cette base de Vaires, un horizon dégagé.

     

    Nul gène, un arbre le dérange, qu’on l’abat, une poubelle, virez là.

     

    Sans gêne il jongle avec votre argent « contribuable », une aire de jeu par ci, trois petits arbres par là. Mais le tronc d’un diamètre : tient comme cette feuille A4 Roulée, au minimum…

     

    Bon prince il vous dira : que ce n’est pas sa faute, Le SAN, La Communauté, Le Préfet…Les feuilles des arbres qui empêchent la lumière.

     Les pannes de lumière répétés ; il ne faut pas trop éclairer.

    Des petits trafics, des dealers ; où ça, qui ça, non pas chez nous ?

    L’ordre règne..

    Et deux vaches pour faire bonne mesure.

    Et cette Marne aménagée de pontons immergés, ca c’est une trouvaille !.

    Et un vieux, et très joli petit pont, sacrifié ; Il faut voir grand !

    Toujours présent, jamais responsable.

    Le marché, malmené, les marchands mécontent !.

    Des études menées par des bureaux adéquats, par des géomètres, des centres d’analyses. Des experts mandatés, rémunérés à grands frais. Tout ça pour : ….Grand seigneur, il entend déplacer des montagnes refaire sa ville, la votre.

    Nous aussi : On veut, mais par le choix du peuple, avec votre accord, votre participation citoyenne.

     

    Alors on y va, le Changement.

     

    Nous ce sera ; avec vous. Qu’en pensez-vous ?

     

    G.B.

     

  • Ces gens qui nous dirigent ou le grand pataugeoire !

    Tout le monde vitupère, nos responsables seraient prêt à s’engager, chacun y va de ses preuves irréfutables, de ses appels à la vengeance, de ses cris de haine.

    La Syrie, son chef honni convaincu d’avoir commis les pires exactions.

    Le monde trépigne, rechigne, les débats font flores, les opinions publics défavorable, même en notre pays, mais son principal responsable veut en découdre, rêve encore une fois après son imbécile intervention au Mali, pour y chasser quelques rebelles, Touareg ou autres empêtré d’Alquaïda.  Pourtant le problème demeure. Et les Maliens restés au pays essaient de retrouver une identité, de se reconstruire.

    Donc un monde hostile, pourtant ils veulent juger, condamner, voir de débarrasser de Saddam Hussein. Pardon celui-là c’est déjà fait, lors il s’agit aujourd’hui de Bachir El Asad, un compère.

    Alors haro sur l’immonde !

    Déjà que n’attendent-ils pas pour le mettre au banc des accusé devant leur fameux tribunal international de La Hay : Tiens, ils font grand bruit mais pour preuve, ou cet organisme ne sert à rien et coûte cher et n’est bon qu’à juger des, déjà condamné….

    Chambre d’accusation ; Ah bon ! tien pour rire………

     

     

     Pauvre et triste monde ; Aussi ils s’excitent et te divisent un peu plus.

    Il leur faut en quelque sorte un bouc émissaire, dans leur défouloir collectif.

    C’est donc ça nos chefs, élus et responsables nationaux. Comme ces va-t-en-guerre qui jouent aux fléchettes pour déterminer lequel ira et ; " que c’est celui qui dit, qui est " !….Heureusement que pour votre petit peuple la guerre des boutons a fait un tabac d’audience, le bas populo est-il meilleur juge que nos grands hommes ?  En tous les cas il ne prend rien au sérieux.

  • Oh toi ma ville Noisiel.

    Noisiel, ville d’art et d’histoires.

     

    Oh toi ma ville, mi campagne, à peine sortie des champs, tes grandes coulées vertes irriguent nos cités dortoirs.

    Les papiers gras par le vent balayés font des taches de couleur qui traversent dans leur lente agonie, à la recherche de quelques endroits où en finir.

    Poubelle  à ciel ouvert, tu récupères, accrochés dans tes hautes herbes, tous ces restes abandonnés, d’un monde que l’on dit civilisé.

    Rejets de tout un peuple, pas souvent ramassés, tu couronnes ton affiche de ville d’art et d’or (dures).

    Vois  dans cette traversée, coulée verte ou simple Allée des bois, comme un champ d’abandon, laissé là ; Oublié, Et ce long tapis ou ton herbe grasse pousse et croît en toute liberté.

    Ton métro RER rejette les trop pleins de la ville, comme ces gamins laissés à leurs petits commerces, Chacun sa dose ; qui veut en profiter !

    Résidus des banlieues, territoires oubliés.

    Nous voici donc déniés,  même si tes joyaux, grilles d’honneur en pleine lumière, appellent le chaland. Le regard porte au loin, un bout de Marne, un semblant de lac de Vaires, comme une base flottante, miroir aux oiseaux.

    Dans cet écrin, tes vestiges de gloire, merveilles d’architecture, reflets d’un siècle passé.

    Ton parc, espace immensité, taillé, coupé, rangé, enfin bien ordonné, contraste saisissant. Objet de tous les penchants.

    Comme ceux qui courent après quelques succès, ou d’autres promènent solitude leur chien compagnon.

    Enfin tes joueurs en herbe qui tapent dans un ballon, espoir de tous ces grands. Illusions d’un avenir qui reste à définir.

    Et vois  ces arbres ancêtres, qui prennent cela de haut, comme d’autres restes d’une grandeur passée qui entend ne pas se faire oublier.

     

     

    Guy Biaujaud.

  • Vue de l'intérieur

     

    Notre auteur ayant voulu testé la réalité et le regard de l’intérieur d’un rassemblement, a choisi de rejoindre celui organisé ce jour.

    Des son entrée dans le RER déjà des calicots des banderoles, des drapeaux, nul ne peut se tromper et qu’à suivre cette foule joyeuse, bigarrée et hurlant déjà des slogans de victoires.

    Pris dans cette liesse il demande d’entré un ticket Nation Bastille ! Eh oui ce serait bien là ce rendez vous ce lieu mythique, chargé le l’histoire de son passé et de la gloire qui s’en auréole ; Oh riche peuple de France, ton passé  te pousse vers cette victoire, ces mouvements de foule retrouvé, cette envie d’affronter un avenir meilleurs, oui changer le cours de nos vie et prendre notre destin en main, oui, reprendre le dessus du pavé, et comme Victor Hugo aller battre notre histoire en reconquérir l’avenir, se faire des lendemains qui chantent.

    Retrouver ce comportement de battant vainqueur.

    Durant tout le trajet nous sommes entres connaissance, gens d’un même monde, tous pour la victoire.

    Aujourd’hui les transports ont un sens, Tous à la Bastille.

    Nation la foule  déjà gonfle, se dirige, sortie, rassemblement, il n’y à qu’a se laisser porter.

    Ah valeureux compagnons qui hurlez, chantez fiers d’en être.

    Ce mouvement stoppé par un trop plein, les gens presque blottis les uns contre les autres regardent, attendent cherchent une direction, à perte de vue des corps, bras surmontés qui d’un drapeau, d’un fanion, d’une banderole, la foule bloquée s’interpelle c’est bien là le lieu du rassemblement pour le 77 ; Oui la Bretagne c’est derrière.

    Plus d’une heure d’un pied sur l’autre à attendre que le cortège démarre, s’ébroue ; des panaches de fumé, rouge comme cette houle, le ciel est resté bleu gris, mais tant de ballons s’échappent  qui y monte.

    Cris musique, slogans, oui c’est aussi ça la fête.

    Trois heures pour faires ces cinq ou huit cents mètres, cette marée humaine déverse son lot de protestation populaire, cette envie de changement de retrouver avec la dignité un avenir nouveau, il paraît que la sixième constitution est en marche.

    Quand j’apercevrais la Bastille au loin  le mouvement est bloqué impossible d’avancer trop de monde, la place est déjà pleine, la place est déjà prise.

    Comme tout le monde j’évacue par des rues adjacentes, comme tout ce monde, j’y étais, et fier de l’être….

    A vous les studios, à vous Paris.

  • Messieurs les censeurs, (suite)

    Reprenons, je sais

    Vous me trouvez à mon tour cynique et vous dites

    Mais quelle est cette réaction, comment devant un tel drame, peut il se permettre ? Tuer une gamine, et dans d’atroces conditions.

    Je sais le désarroi des êtes proche.

    Il est vrai rien ni personne ne remplacera un enfant, un être cher.

    Et n’importe qui, qui ait fait cela mérite, et doit subir une  sanction exemplaire.

    Oui mais ce qui me dérange dans et le monde politique, et ses sphères médiatiques, c’est le désir, plus l’acharnement de vouloir tout expliquer, tout justifier.

    Ecouter ces éditoria-moralistes disséquer proprement leur invité ou l’information.

    Et pourquoi avez-vous fait ci, comment ressentez vous ça, n’avez-vous pas pensé…

    Au diable leur introspection, qu’un individu se raconte et philosophe sur la vie.

    Qu’il donne son avis, ses penchants, mais de grâce laissez lui son histoire, ses passions et son intimité.

    Et puis il faut savoir simplement dire, lorsqu’un fait se passe, parfois « c’est un accident », comme il en arrive tant, le triste hasard de s’être trouvé là au mauvais moment.

    On ne peut tout expliquer, ni postuler sur des si…….

    C’est vrai qu’avec des SI on refait le monde.

    Et dans celui-ci ou la violence est reine, ou les « gagneurs » sont ceux qui possèdent et détruisent Oui, certains, par on ne sait quel mécanisme dépasseront la mesure feront des actes d’une sauvagerie diabolique.

    Oui il faudra les punir.

    Mais que diable que la justice sereinement officie.

    Trop de pousses aux crimes dans l’ombre montent au créneau offrant en pâture à la vindicte populaire ces bourreaux -victimes.

    Cela fini par des lynchages en place publique. Oui bien sur le « petit » peuple aime ça.

    Le populaire à déjà tellement tendance à s’ériger juge.

    Que chacun fasse son boulot et le monde s’en portera mieux.

    Et le journaliste est là pour informer en toute impartialité.

    Et le politique pour diriger les affaires du pays, non les histoires des gens.

    Pourtant je dis ça mais je suis quoi, moi, rien il est vrai, j’ai peut-être un peu de mesure, c’est tout.

    Et envi de crier que ce monde me débecte.

    G.B.

     

     

  • Comme des Robinsons....

    Robinson,

     

    Honni soit leur argent et leur cupidité

    L’homme esclave, consomme et veut tout posséder

    Illusoire penchant à prétendre l’argent roi.  Pauvre civilisation qui brule ses richesses

    Leur faiblesse de vouloir tout posséder, tout piller, tout contrôler.

    Notre monde se meurt, leurs déchets sont toxiques, les eaux polluées sinon empoisonnées, en tous les cas très trouble.

    Ils ont vidés nos océans, drainés les fonds.

    Ils abattent les forêts, le désert gagne.

    Ils font fondre, Arctique et Antarctique ces réserves d’eau, l’avenir de notre humanité

    Ils brûlent l’atmosphère, et prétendent conquérir, bien plus que leur planète.

    Rien ne trouve gré que leur avidité.

    Le pot de l’amitié érigé en valeurs, et vous devenus des voleurs.

    Vous ne savez plus que le mal, vous battre et même gagner.

    Minable conquérant, vos penchants nous poussent à la ruine et à la destruction.

    C’est ainsi que naissent les guerres, comme toutes vos saloperies.

    Que celles-ci soient commercial, religieuse, ou bien encore ethnique

    Ils prétendent au Paradis, mais construisent l’Enfer.

    Décadence ils savent pourtant que notre monde va à sa perte.

     Les civilisations passées prétendaient au sommet, mais se sont écroulés.

    C’est leur intelligence, paraît-il qui les poussent, les font se dépasser.

    Leur bêtise tue les talents comme ils pillent  nos richesses.

    Qu’il est beau le bonheur de deux êtres qui échangent, partagent, donnent, aiment.

    Ils sont riches de leur largesse.

    Heureux les Robinsons, qui trouvent que le bonheur c’est de vivre simplement.

    Leurs servitude est le temps, levé, couché, trouver de l’eau des fruits murs et même faire bonne pèche.

    S’ils ont besoin de papier ce sera pour allumer le feu, ou pour quelques- autres besoins.

    .

    Comme des Robinsons retrouvons nous sans rien mais libre et peut être plus malin.

     

    .G.B.

    .

  • Avis

    Avis,

    Amis citoyens, fidèles lecteurs de mes diatribes, si mes pensées stériles, si mes divagations vous amusent.

    Toujours sur « haut et fort »

    Néanmoins vous pouvez aussi désormais me retrouver en tapant directement sur la barre d’accès de votre moteur de recherche préféré. http://www.lepetitcoinduraleur.net/

    Merci et Bon courage, et à suivre.....

    G.B.

  • P S 2012 ; Chronique d'une défaite annoncée.

    Hors donc, jamais 2 sans 3.

    Ainsi après 2002, 2007, 2012 suivra.

    Serais-je un oiseau de mauvais augure, ni devin ni grand prêtre il suffit juste de constater ; fi des sondages, lesquelles voient une victoire : Aubry, Hollande ; ils avaient déjà misés Stroskan alors.

    Illusion d’optique, désir d’envie face à cette droite « Sarko-phage ».

    Bien sur tous les ingrédients sont là ; Alors pourquoi la sauce ne prend pas ?

    Pour sûr une partie les Français sont  lassés des promesses, et puis cette gauche, la vrai, celle que Mitterrand à utilisé, piégé, coulé, noyé.

     Serait-elle prête à encore croire au chant des sirènes , celle là même ex force d’appoint, qui  a creusé sa tombe, désabusée, bafoué aura-t-elle envie d’aider à porter  vers la victoire, ce P S timoré, ces porteurs de la sociale démocratie, ces « pro-Européens » des nantis, ceux là qui ont mis en place Maastricht, L’euro, ont voulu cette constitution Européenne cher à la droite , ceux là toujours qui au nom de leur Europe avaient commencé les privatisations d’EDF de France Télécoms.  etc. ; Ainsi, droite gauche même combat.

    Le peuple, celui qui bosse se lève tôt, celui qui remplit les caisses de l’état, vous, moi ;  celui qui au final paie les taxes et les impôts, lui ne croit plus en leur politique, en leur salade, en leurs sornettes.

    Comme moi ils ne croient plus en cet avenir, ils ont cessé d’aller voter ou alors, pire  ils ont par dépit, par désillusions donné leur voies aux extrêmes ; parce que il y en a marre.

     

    Alors, en plus chez nos co-ex renégat ces pilleurs des tombes de nos illusions, pourtant au faite des attentes ;  mais quid de leurs propositions, de leur organisation.

    Une première secrétaire qui en veut, un ex premier, présent lui aussi, une déjà ex candidate, toujours en piste, des jeunes loups aux aguets, des vieux stroumphes qui agitent, qui s’agitent et ça pue.

     

    Le bordel : tout le monde est candidat potentiel,

    Oui c’est la merde.

    Et pas une tête qui dépasse, juste un gigantesque jeu de massacre.

    Pauvre France, allons nous devoir, par manque d’une véritable « autorité » qui sortirait du lot avec des idées, en imposerait, rassemblerait, allons nous laisser encore la droite, et sa « Sarkotisation » re-passer.

    Cette France des inégalités, des gâchis.

     

    Alors si  encore la droite revient ; Celle-ci libre imposerait, cette terrible politique de la mondialisation, de ; Toujours plus pour les riches et les pauvres, les "blacks, blancs, beurs, les roms et autres moins que rien," toujours moins.

    Vont-ils pouvoir continuer d’appliquer leur envie de droite extrême, de justice aux ordres, d’écoles que l’on vide de ses profs, de sa matière de son avenir.

    Notre monde malade de l’Europe, des banquiers, des dividendes.

    Cette droite qui nous dénie, ces  Atlantistes, va t’en guerre aligné sur les Etats-Unis.

    Cette grande puissance de l’argent roi, là bas même les procès s’achètent, combien de millions de milliard qui passent au dessus de la tête de ses juges ; Payer pour voir, pour attendre, être libéré.

    Payer toujours ; là bas aussi misère aux pauvres ; ils sont pourtant légions.

    Alors la seule hypothèse crédible pour voir ; pour rire Sarko Président, et une majorité à la chambre Rouge rose.

    Allez !  on y va et va y avoir du sport.

     

    G.B.