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Blog - Page 9

  • Lundi matin, le bon, le, con, ou le petit prince !....

    Alors cette Europe ; tiens!

     

    Bon Lundi, cette page sera tournée et chacun fera ses comptes, chacun se positionnera.

    Et tous seront satisfait, se sentiront conforté dans leur situation. Chacun annoncera avoir réussis

     

    Bravo, Mesdames, merci Messieurs,

    Vous voici presque en place.

    Prenez vos badges, chacun sa place.

    Vous avez votre lot ;  766 élus, pour 28 pays.

    Fichtre voilà encore une mission qui ne manquera pas d’avoir ses absents ; pour la cause , bien sûr !

    Les jeux seront fait, les postes déjà définis, restera à élire quelques responsables de commission, là encore ils seront légions à être candidat.

     

    Les cuisines seront à toutes les sauces, et bien sur tout sera en libre service.

    Salaire royale ; Ok ce ne sont pas des salaires, juste des rémunérations et pensez :

    La rémunération mensuelle des députés prévue par le statut unique est, avant imposition, de 8.020,53 euros en 2014. Elle est financée par le budget du Parlement et après déduction de l'impôt européen et de la cotisation d'assurance accidents, elle s'établit à 6.250,37 euros. Elle est également imposable par les États membres

    Sans oublier : 

    Les indemnités versées ; pour :

     

    Indemnité de frais généraux.

    Frais de voyages.

    Indemnités annuelle de voyages.

    Indemnités journalières…..

    Une sinécure, Imaginez les pôvres.

     

    On comprend pourquoi ils sont si nombreux à se battre pour obtenir les suffrages des électeurs.

    On comprend que les quelques 62 % qui se seront abstenu, auront été, à la pêche, voir la grand-mère, ou n’importe quel autre  prétexte.

    Bon passons, nous sommes lundi, et comme chaque nouvelle semaine il faut aller bosser et tout ca pour entre 800, voir 1500 euros, avant impôts et taxes. (Ceci pour 80 % des français.)

    Chérie ou as-tu mis Lexomil que je me choute un peu, j’ai besoin d’un remontant ?

    G.B.

  • Dis Papa, c'est ou l'Europe ?

    Dis mon Papa, Ils disent que vous allez encore voter ;

    Et il paraît que le jeu est plein d’importance.

    Pourquoi il y a tous ces  panneaux électoraux.

    Combien tu dis qu’il y à de candidats, c’est pour toute leur Rope ?

    Oui  je crois rêver 30 ou 31 candidature ! Qu’est ce qu’ils veulent tous ?

      Oui tu as raisin, Nos médias agitent leur rédaction, et l’on nous promène de capitales en Pays étranger.

    Donc nous allons devoir choisir,

     Et toi tu vas voter pour qui la France ou l’Allemagne ?

     Elire le Président de la Banque Européenne, ou un truc comme ça,

    Choisir des représentants qui iront siéger et feront la navette entre Bruxelles et Strasbourg, elle nous dit la maîtresse..

    Histoire peut-être de savoir qui fait la meilleure cuisine.

    Il paraît que c’est là-bas aussi qu’ils choisissent nos fromages ou nos séries télé ; Ils disent l’exception culturelle Française pourquoi une exception ?

    Dis tu crois que l’Ukraine elle veut vivre avec nous ?

    Et pourquoi Ils disent que Poutine, il veut la Syrie, le Caucase, et que L’Hollande il veut  l’Oubéquistant, et qu’est-ce qu’il fait au Géorgie ?.

    Dis Papa tu vas voter comment ? Tu m’as dis que c’est le pompier Polonais qui t’avait pris ton travail et que maintenant t’es plus bon à rien.

    Et pourquoi les Grecs ou les Italiens ils votent aussi pour que Merkel elles les mettent au chômage.

    C’est quoi Papa l’Europe, Il disent que là bas il y à du travail ?.

    Pourtant les Roumains ou les Bulgares ils viennent quand même chez nous chercher du travail ou à manger.

    Dis tu crois que les Américains ils veulent manger l’Europe.

     

    Allez dors maintenant demain il y à école.

    Papa, lis moi encore une histoire.

  • Ami, rempli mon verre,

    «  Amis remplis mon verre, encore un et je vais »....

    Divine supplique, ce petit plus qui vous soutiens.

    Cette part de soi, inhibé, révélée, transcendée.

    Douceur exquise, tendre félicité.

    Délicatesse d’un soir, comme fidélité, un peu complicité.

    Cette chaleur qui vous pénètre, comme ami qui accompagne notre ennui.

    Ah le doux moment de l’oubli.

    Oui je te sens me prendre, perverse et tendre

    Comme un présent qui se donne à nous.

    J’aime nos étreintes, Comme une amicale complainte

    Tu es la caresse de mon oubli, désir inassouvi.

    Tu me tiens, promesse, histoire de toute une vie.

    Éphémère contrainte, tu rançonnes mon ennui.

    J’aime ta compagnie, comme qui dirait ami.

    Tu es un peu ma gloire, mais aussi un défi.

    Ivre, je ne suis plus, simplement je suis pris.

    Ce double dans ma vie, je suis assujetti.

    Je ne puis résister, aussi laisser aller.

    Pénétré, enfermé, comme un peu isolé.

    Faut-il qu’il m’en souvienne,

    Comme un péché ; ma vie.

    Même un peu éméché, j’arraisonne ;

    Illusionne, et comble ce manque.

    Révélateur, tu es ce double fidèle

    Ce besoin d’être, comme un désir d’oubli.

    L’abstraction du néant, comme reconnaissance de vie.

    A moins que simple déni,

     Tu n’en es pas moins comme une douce complice

    Tu es même un devoir, il faut bien exister.

    Aussi tu es compagne, pour un bout de chemin.

    Je vis ton souvenir, et me noie dans l‘absence.

    Pourquoi es tu partie.

     

     

  • Moi, quand je serai président !

    Rêve ou vision angélique !

    Voilà que notre Président, Triste sir, miné par l’esprit publique,

    Pourfendu par la critique,

    Harangué par les foules.

    Moi, Président, mal aimé.

    Responsable, et si mal entouré.

    Moi, Président bafoué par les sondages,

    Lui , président, la coupe est pleine.

    Certes, les Or de l’Élysée, vu le faste de la fonction.

    Moi, Président, haï de tout un peuple,

    Lui, responsable brocardé par les siens, hué par les autres.

    Lui, Président, vous allez voir ce que vous aller voir !

    Lui encore Président, l’orage gronde et les foules se lassent.

    Lui toujours président d’une triste minorité.

    Lui socialiste, Énarque, ayant dupé son monde pour gagner ce pouvoir.

    Lui attaché aux services et lié par la finance.

    Lui, putain, encore deux ans pour que carpette France

    Serve de paillasson à l’Allemagne et au monde.

    Lui, responsable d’un déni de représentation.

    Petit serviteur, minable représentant.

    Pour lui la place est bonne, mais dort’il bien la nuit.

    Lui un passé en morceau, un avenir incertain ;

    Rejeté, haï, serviteur un peu vil.

    Lui, il se nommait François, on l‘aura vite oublié.

     

  • Le temps de la Gestapo !

     Allons donc,

    Que l’on demande aux hôteliers de signaler, la présence de certaines catégories d’individus.

    Que dans un arrondissement Parisien, la police demande de ramasser, faire la chasse à tous les traînes misères.

     Sans oublier, et ce n’est pas d’aujourd’hui ; à Nice ou bien ailleurs tous ces décrets pris contre, ou la mendicité, ou les « sans logis. » Histoire de ne pas porter tord, ni préjudice pour Nos touristes. Et puis cela dénote dans le décor tous ces tristes êtres.

    Pour les, ceux-ce qui peuvent ramener de l’argent.

     Haro sur la misère.

    Certes, comme l’on ne peut se battre contre ce triste lamentable phénomène.

    La misère contre pied de cette richesse, arrogante, que les riches et leur représentant au pouvoir veulent nous cacher ; Comme pour la soustraire.

     Pauvres, rejetés, vous le savez que vous n’êtes pas bien vu.

    Qu’ils soient Roms, Bulgares. N’en sont ’ils pas moins EUROPEEN.

    Ne sont-ils pas HUMAIN.

     Comme les simples travailleurs de nos usines, même combat.

    Au moment où l’on parle du triste souvenir de l’hôtel Lutétia, fermé pour rénovation.

     La police, comme aux pires moments de Vichy, se fait les basses œuvres exécutrices d’une politique de chasse à l’homme. Nos camps d’internements existent déjà ; ils se nomment camps de transites, ou centres de rétention !. Et nos prisons sont pleines.

    Oh France de Jaurès,  J’ai honte pour toi.

    Pays des droits de l’homme (à condition qu’ils soient riches). Déjà que ces riches tout puissant délocalisent et ruinent notre économie, notre pays pour raisons gardées, Les charges, vous savez celles qui pèsent pour les patrons, Voilà l’œuvre de misère en marche, voilà  encore des futures exclus.

    Hier l’ancienne Seita bradée à Tobacco, je ne sais quoi et qui ferme ses sites de productions.

    Demain ces Fagor Brantd Vendu à un puissant financier Algérien ; et qui bientôt ajoutera son lot de plans sociaux.

    Hier, toujours Les Salaries de VIVENDI SFR, bradés pour, « restructuration » offert à un magnat de la finance international, que restera-t’il des emplois ?

    Combien de nos richesses, de nos usines, de nos emplois jetés pour cause de délocalisation.

    Tiens en Pologne. Des emplois jetés comme des vieux Kleenex. Pour des salaires à pas cher : Camarades la misère gagne.

    Au début du XX eme siècle, c'étaient les Polonais, Les Italiens et tant d’autres qui venaient nous offrir leurs bras, leurs vies pour construire ce qui fut la France.

    Aujourd’hui vendu aux Américains, bradés aux Allemands ; Ce qu’ils n’ont pas réussi à faire en 14 et en 40, à lieux aujourd’hui. Le marché commun, l’Europe des Nations ; Un marché de dupes.

     

    Dites STOP.

    Peuple je sais que tu descends dans la rue.

     Ouvriers, employés, Hommes femmes, citoyens et républicains.

    Peuple de Gauche, Déjà tu rejettes les urnes et leur verdict, très bien.

    Il faut faire plus et entrer en guerre contre la finance.

    Je sais que certains consomment déjà minimum, il faut nous qui avons encore un peu de moyens, mettre à genoux ces riches flambeurs, les étrangler, leur rendre la monnaie de leur pièce.Et que le Cac 40 soit divisé par deux. Faisons-nous les chevaliers de la décroissance..

    Notre charge devra les faire pliés.

     

    Tiens Patrons, cadeaux….

     

  • Humeur du jour !

    Et donc notre quotidien reprend le dessus.

    Besoin d’assurer la transition entre ce jour et son lendemain. Histoire de gérer une continuité.

    De retrouver cette stabilité, cette offre imposée, cet ordre du jour au lendemain.

    Ah oui ! Les valeurs ; le sens des mots, le rythme d’une phrase.

    Ce besoin d’enfanter un jour nouveau. D’exister, de se révéler.

    Tiens comme ça hier dans cette manif, contre, pour,  qu’importe j’y étais.

    Anonyme, un parmi d’autres, un entre ces 2500 remarqués par nos CRS Compteurs, et ces 100.000 reconnus par des organisateurs, pas très organisé.

    Un début qui n’en finissait pas de démarrer, semblant attendre, quelques impulsions. Un mot d’ordre. Un chef ; une tète.

    Pourtant des gens, cette foule qui piaffait, prête à en démordre, volontaire pour en découdre.

    Arrogante envers ce pouvoir qui les malmène.

    Intransigeante, face à ce défi, cette Euro-punition imposé par un régime en mal de fric.

    La domination se cet argent roi !. Money  is money.

     

    Que vives et leur servent les dividendes, pendant que d’autres tristerons leur quotidien, cherchant, même pas à joindre les deux bouts, juste d’assurer une subsistance, service minimum. Juste à vivre encore un peu.

    .

    Et comme d’habitude l’on nous annonce des cadeaux, Milliards pour les patrons, La générosité coule à flot, pendant qu’ils cherchent,

     Milliards d’économies, de restrictions, de coupes sombres.

    Ce monde coure à sa perte, notre planète déjà gâtée par leurs saloperies réduisant notre potentiel de vie.

    La température se réchauffe.

    Les dividendes s’accroissent. La misère explose, les riches pavoisent.

    Terre de tous les défis j’ai marché pour toi, pendant que d’autres marchent sur la tète.

    Comme, et avec d’autres je me suis levé.

    Demain, ne sera pas pour moi, mais pour nos enfants, et quelle sera la mesure de la dette que nous leur léguerons.

    Celle des banques, ou celle de notre climat.

     

    Pourtant ils, certains ont voté. Ils disent démocratie.

    Beaucoup se sont abstenus.

    Certains sont descendus dans la rue manifester.

    D'autres, ont regardé la télé.

    Et vous ?

    Alors !.

     

    G.B.

     

    .

     

     

  • Les jeux sont refaits ! C’est dimanche, jour du foot !

    Ils ont bottez ;

    Certains, nombreux en touche.

    D’autres, secoués, dans leurs convictions s’activent pour  redorer leur  blason.

     Bien sûr dans les coulisses, les membres du pouvoir ont pris un coup de pied au cul.

    Enfin les gros malins ont fait «Front » déclarant,  botter ainsi le pion des républicains ;  Et donner un coup de pied dans la fourmilière !

     Triste France couché dans cette  fange, la pourriture te sied ; Tu te vautres  dans ces relents de racisme, de xénophobie, dans ces vieux fantasmes de la peur de l’autre.

     Idéologie du renoncement, Misère populaire, fruit de l’ignorance.

     

    O France dont les aigreurs, mesurent le fossé de  la démesure entre les êtres.

     

    La  petite France d’en bas,  étroite  d’esprit, sans ouverture, ni repaire, sans culture, ni richesse, pauvre et blasée.

     

    Politique au boulot ; vous ne pourrez pas dire je m’en lave les mains.

  • Chapeau bas !

    Élection municipale 2014 Ville-Noisiel.fr

     

    Chapeau bas, Mesdames, Messieurs.

    Nous partîmes presque 9000. (8661)

    Et vous retrouvons 3900, en arrivant au port.

     Vous fîtes donc 2297

    Bien joué, beau bilan, et les nuls 324 ; Comme votre opposant 1309

    Se feront une raison.

    4761 auront préféré, les balades en forêts, ou bien se seront enfermés dans le noir d'un ciné, voir choisi la compagnie d'un Michel Drucker et sa  triste télé.

    Donc vous allez continuer de gérer ( la pénurie)

    Et nous, voir vous débattre dans cette  triste incurie.

     Vous pourrez vous montrer, comme toujours arrogant.

     Bon les urnes ont parlé, nous on devra la fermer.

     Même si l'on continue de regarder passer les trains (de triste vie).

    Pourtant c'est vraie vous avez donc gagné.

     

    Bravo, et merci  Eh Lecteurs !