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Blog - Page 12

  • De qui se moque t'on !

     

    Une affaire mobilise, retient l’attention, focalise tous nos commentateurs, journalistes, et autres parasites des médias ; même notre président s’en mêle,  y va de sa déclaration, et si ce n’est pas pour taxer les revenus des traiders, Ce n’est pas pour nous rappeler à nos devoirs civiques, face au pseudo péril des minarets, ce n‘est pas pour donner un peu d’oxygène à nos transporteurs, qu’ils soient chauffeurs routier, ou conducteurs de  Métro et RER.

    Pire que la grippe A H1 N1, plus fort,  cet imbroglio  climato-catastrophe, d’une fin annoncée.

    Ceux là même  sont en effervescence, les professeurs de médecine se mobilisent, des exactions-agression sont commises, diable quelle nouvelle guerre se prépare.

    Oublier  l’IRAK et L’AFGANISTAN.

     

    Relégué ;  ce rassemblement de Copenhague sur les mesures à prendre pour sauver la planète.  Comme sa cohorte de chef d’état au chevet de notre vieille terre qui leur rapporte tant, et qu’ils pillent sans compter.

    fi, du Président Américain OBAMA et sa nomination au prix Nobel de la Paix décerné en catimini.

     

    Une seule chose, un seul fait mobilise, rend l’opinion publique en émoi, trouble  les consciences. De quelle énormité s’agit ‘il ?  Quelle terrible tourmente nous guète?

     

    Une affaire d’état ! , peut être  trouverons nous quelque ressemblance avec le décès de Mickael JAKSON, qui à plongé notre microcosme Politico Médiatique dans un état proche du néant.

    Ce phénomène avait  fait oublier, vidé de toute substance tout autre événement, seul ce défunt grandissime personnage comptait, pendant des jours il nous fut servi à toute les sauces, il avait plongé le monde dans un vide sidérale, seule constellation à graviter dans l’univers des chambres de rédaction.

     

    Nous prépare-t-on ? les médias adores ça, à quelques nouvelles pertes gravissimes.

     Comme le plongeur de haut fond qui comprends ce que c’est que de commencer

    à manquer d’oxygène.

     

    … Ah bon Johnny est malade, pire une opération manquée, ouf heureusement cette fantastique puissance Américaine, cette nation providence, après être intervenue en Irak ; En  Afghanistan, va aussi intervenir pour sauver l’idole des jeune.

    C’était donc de cela que vous vous faite tant de raffut.

     

     

  • Il faut Voter!!!

    Politique de tout crin tu nous à bien berné, trompé, utilisé, épuisé.

    Politiciens, une bien piètre appellation, une bien peu glorieuse recommandation, qui pourtant fait recette, la place est bonne, d’ailleurs si  ils sont tant à vouloir se l’accaparer, se l’approprier.

    Si les batailles sont si rudes pour se présenter, conquérir, maîtriser, obtenir, se faire élire !

    Petit homme j’ai navigué sur vos radeaux, c’était à qui prétendait me récupérer, me formater, me driver, même me discipliner !.

    ..Le kilo de chaire humaine est bien peu chère, la crédulité passagère offerte, la niaiserie à l’ordre du jour.

    Toute ma vie rebelle j’ai refusé, aussi accepté, on ne peut pas se faire que des ennemis.

    J’ai composé j’étais dans leur moule, dans ce réseau qu’ils avaient tissé pour emprisonner ma pensée, pour canaliser ma rébellion. J’en ai avalé des tonnes de discours, sur la méthode, ou sur la nécessité., le besoin, le savoir faire, leur comment être..

    Le bien fondé, le raisonnement, les préceptes, les concepts ,les tendances,

    Quand le doute s’installait en moi, on brosse dans le sens du poil, moi aussi j’ai mes faiblesses, comme mon chien j’apprécie d’être, du moins de paraître, ce n’est pas tant la considération que ce besoin de partager, de se sentir aimé.

    J’y ai cru, le changement, un monde meilleur, c’est pas le monde qu’il fallait changer c’est les gens leur mentalité pourri, leur besoin de réussite, de conquérir, combien de mises au pas de  rappel à l’ordre, comment ils ont essayés de sculpter mon cerveau, de le drainer avec leur mots de passe, leurs sentences, leurs conseils, leurs théories, leur dictat.

    Tiens même il faut VOTER, c’est un droit gagné de haute lutte par nos pères, tu ne peux pas…

    Tu dois..Il faut….Leurs raisons faisaient chanceler la mienne.

    Pour qui, pour quoi, l’autre est quand même moins pires, allez décides toi !

    Et dieux sait qu’ils en invente des élections pour que tu puisses te sentir y participer, pour te sentir partie prenante.

     parce que, chute ; faut pas le dire,mais il vaut mieux les berner, les tromper en les laissant croire qu’ils ont choisi, participé, apporté leur opinion. leur libre arbitre.

    Foutaise, ils te font creuser la tombe qu’ils te destine, ils te permettent de penser, mais leur pensée, celle de nos, de leur médias, ils t’autorisent, mais te font dire ce qu’ils veulent, te font élirent les hommes qu’ils ont mis en place, qu’ils t’on choisi.

    Tous les mêmes, tu crois avoir le choix, mais c’est comme ton avenir,c’est pas toi qui décide, déjà dans leurs écoles ils  t’on dirigé, éduqué, t’on proposé leur filières, t’on organisé le droit de subir, t’on proposé leur formation, ont orchestré ton futur, à leur service, pour que tu satisfasse leur besoin tout cela dans le cadre de leur pensée, leurs envies, leurs réalités

    Toi les tiens, mais tu n’existes pas tu es par eux, pour eux., laisse toi aller ils vont t’organiser une gentille petite vie, petite réussite, tu auras ton petit chez toi, tu choisiras une gentille petite femmes, tu feras tes deux ou trois enfants pour la suite, pour l’avenir, lequel le tiens ! idiot je t’ai pourtant dit qu’ils dirigent pour toi, gèrent, maîtrisent, informent !.

    Toi tu n’es rien que leur objet, leurs machines,ce bras qui exécute leurs pensées.

    Maintenant que je me suis libéré, que j’ai rompu les amarres, j’ai mon autonomie, je n’ai plus besoin d’eux seulement de certains de leurs produits.

    Maintenant je puis crier ma révolte, me lâcher dans mes pensées, refuser leur complicité,rejeter leur monde, leur pensée, leurs décisions, leurs principes.

    Maintenant je vais pouvoirs  ; Montrer, faire partager mes valeurs, mes choix, mes envies, je ne me substituerais pas à eux, non je veux les nier, les oublier.

    Moi je partage, j’échange, je donne, je reçois aussi.

    Moi je choisis, j’apprends, je contemple, je profite, mais c’est avec les yeux, avec le cœur….

    Je m’ouvre aux autres j’aime, et je veux que l’on m’aime.

    Et demain je n’irais plus VOTER, mais je serais inscrits, je veux leur faire  savoir que j’existes.

  • Pauvre de nous

     

    Pauvres de nous !

     

    Il y à peu de temps c’était les vacances, alors que notre bien aimé président se faisait bronzer à Brégançon, ou en Corse je ne sais plus, peut importe d’ailleurs.

    Alors qu’à cette période certains groupes pétroliers amélioraient leur santé sur le dos des utilisateurs, faisant atteindre des sommets au prix du barils, ce bien plus que carburant, nos bouteilles d’eau ne sont-elles pas issue de cet or noir.

    Alors que les automobilistes étaient obligés de se restreindre, de parfois choisir ou la voiture ou les vacances, et la bouffe dans tout ça ?

    Car rappelez-vous à cette période tout s’était emballé, même le prix des pates, le litre de lait, la farine, la baguette de pain avait encore prit cinq centimes.

    A l’heure ou les salariés, les retraités, les chômeurs réclamaient du pouvoir d’achat, alors que nos gouvernants prônaient la rigueur, arguaient que les caisses étaient vides.

    Misères, seuls quelques « traideurs » jouaient en bourses des sommes colossales, gagnant perdant, les parachutes dorés amortissaient les coups, combiens de gros sous ?

    Pourtant nous n’étions guère concerné, sauf éventuellement pour les  «  petits porteurs » de participation, bloquée là par des entreprises qui se servaient de cette manne pour éviter les augmentations, vous savez ce plus que dans le temps un patron, un responsable donnait pour encourager, pour gratifier, pour reconnaître.

    Fini tout ça, vous n’êtes plus qu’un vulgaire pion, un numéro, un CDD ; et puis on vous le répète à longueur de média, on vous accuse, vous coutez trop chère à l’entreprise. Les travailleurs étranger eux…

    De toutes manière pour ces salariés floués, ces sommes étaient une réserve, de l’argent qui dort, un avoir au futur éventuel, une hypothèse de s’enrichir, un petit quelque chose que l’on à de côté.

    Donc misère, pauvres gens de ceux qui accroissent les chiffres du

    Surendettement, mais qui viennent grossir aussi les agios perçus par leur banque au titre du découvert autorisé ; Le risque se paye, braves gens, il faut pas vivre au dessus de ses moyens.

     

    Bon au fait, je vous disais, plus tôt ; on vous avait dit qu’il n’y aurait plus d’argent dans les caisses enfin pour vos besoins, pour vous soigner, pour ce RMI transformé en RSA : et qu’entendons nous donc….. je rêve, mirage affabulation, alchimie répétez s’il vous plait ? UN PLAN DE 360.000 MILLIARS D’euro, rien qu’en France ; je sais plus combien dans ce putain de monde capitaliste, sorti du chapeau de nos illusionnistes, et encore nous répètes t’on que c’est de l’argent qui existe, mais que nous n’avons pas, mais qu’on pourrait avoir et même que celui-ci va rapporter des intérêts à l’état…

    Et vous vous demandez comment boucler votre budget, comment à la veille de l’hiver, acheter à votre enfant ce manteau qui lui fait tant défaut.

    Vous dites devant votre quittance de loyer, sur quel poste vais-je rogner pour régler ces factures, tous les jours, je m’en veux d’avoir promis au gamin de lui acheter cet ordinateur, parce que les copains, et puis pour l’école…

    Parce que l’on nous rabat les oreilles avec internet, tiens si tu l’as pas t’es un moins que rien, perdu pour la patrie, l’avenir et le développement.

    Et puis la voiture, plus de dix ans bien sur le mari à bien bricolé ce pot d’échappement qui menaçait de tomber à chaque secousses.

    Enfin nous plaignons nous pas, elle nous transporte et pour ce qu’on l’à payée 400 euros à une voisine, une chance tu comprends.

    Bien sûr elle coute en essence, assurance, mais pour aller travailler c’est quand-même un avantage, pensez donc sans elle, je dois prendre un bus, un deuxième bus, ou le train, et pour finir faire encore dix minutes à pied aussi quant à l’arrivé je m’installe dans ce café pour y prendre une tasse, ce n’est pas un luxe.

    Trois cent soixante milliards, combiens de petits café, de loyers, de manteau et même d’internet.

    Combiens de jours de travaille, en plus j’ai choppée la crève, j’ai froid, je tousse, je devais me faire vacciner contre la grippe, Oh ce n’est pas pour le plaisir, j’ai une sainte horreur des piqures, tu peux y aller faut pas que je regarde quand il me pique !

    Je devais le faire car quant on travaille avec le troisième âge il vaut mieux être couvert, ne serais-ce pour ne pas les contaminer.

    Attends répète pour de rire pour le rêve 360.000 milliards d’euros, et moi qui trime par tous les moyens pour passer mon permis de conduire, car avec je serais autonome, tiens je t’emmènerais faire les courses.

    Tu sais pour ce permis j’ai bien vue qu’ils faisait des stages à 400 euros, encore que je ne sais pas si dedans ce prix y à les frais d’inscription pour le code, puis pour la conduite, et puis je dis que je l’aurais du premier coup, mais on sait jamais, tu vois c’est pour me le payer que tous les jours je vais travailler, je suis crevée mais je m’accroche, encore deux mois, ou plutôt une quinzaine de CDD, toutes les semaines y me refont un nouveau contrat, tiens aujourd’hui j’y suis allé, j’attends, de toute manière la secrétaire à encore oublié mes heures sup, tu parle d’un cirque.

    Et puis mes petites mémé si gentille, tiens madame Machin elle à même plus de pile pour sa montre, tu crois que je pourrais lui en acheter une ? Tu verrais elle trimballe partout un vieux réveil pour avoir l’heure.

    Tiens elle est pas belle la vie !

  • Fête du l'Huma

     

    Fête de l’Huma.

    Et oui cette année encore j’y tais !.

    Depuis qu’on nous prédit, « se sera la dernière… »

    .

    Messieurs qui nous dirigent et prétendent diriger notre pensée, nos actions, notre vie.

    Avez-vous vu cette file ininterrompue emplissant ces navettes RATP, lesquelles à peine pleine démarrent, direction la fête, il n’y a pas à se tromper, y a qu’à suivre le mouvement, le seul risque c’est de se faire marcher sur les pieds, mais l’à encore un pardon, un sourire de connivence.

    Donc cette foule, ces hommes, ces femmes, visiteurs animateurs témoins silencieux mais présent, participant pour cette longue marche vers un autre monde, une autre vie. Ces tètes, ni bien pleines, ni bien faîtes déambulent dans ces allés, qui cherchent une connaissance, ou une collation, un coup à boire, ce verre de Mosquito qui déplace les foules.

    Ils sont tous l’à parfois fatigués mais toujours heureux, j’y étais comme tant d’inconnu anonyme

    Messieurs les journalistes trafiquants, manipulant l’information même ceux de nos chaines nationale ; ils doivent s’essayer à la suppression de la pub, pas un mot sur cet événement.

    Bien sur y à le pape, un enfant disparu, une collision ferroviaire, bien sur il vaut mieux faire des bulles sur la non présence de Besancenot invité pas désiré, C’est vrai lui c’est une valeur des sondages, auteurs de ces manipulations d’opinions.

    Ah y à aussi le sport et son lot de but, voir de coups, même de mauvais coup..…

    Tiens encore sans oublier la sempiternelle succession annoncée de Le Pen.

    Or donc Menteurs de nos médias, journaleux à la botte du pouvoir et des patrons.

    Alors cette foule, z’avez qu’a demander à la RATP, combiens de bus, combien de rotation, même les jeunes recrus de la police faisant la circulation, ils ont vu ; Ils y étaient, et vous en avez a peine parlé, bizarre trouvez pas.

    Samedi soir, 1 ère impression.

  • Appels Désespérés

    Guy Biaujaud.

    77186 NOISIEL.

    Tel :  06.69.11.73.17.

    Email : guy.biaujaud@laposte.net

     

    Madame,

    Ma vie n’est, ni vide, ni ennuyeuse ;  Je dirais même que je ne manque ni de relations, au sens environnement amical. Ni d’occupations.

    Seul un certain vide affectif, et de m’être laissé abuser par une petite annonce et une agence, me fait prendre contact avec vous.

    Après ce positionnement rapide, permettez-moi de me présenter : Pas me décrire car c’est là une question de regard, mais vous permette de m’approcher, de savoir si je vous donne envie de me connaître, qui sait de se rencontrer.

    A priori notre démarche est la même, nos désirs s’accorderont-ils.

    Agé de 59 ans, si je fais le point, j’ai eu, à la fois une vie tranquille avec ses joies, ses peines, ses soucis.

    Aujourd'hui je ne suis pas au bout du voyage mais ma route ne sera plus semé des embûches et des soucis que créent le travail, je veux dire quand on a un patron, qu’ont subi des contraintes, le stress, enfin tout ce contexte.

    Retraité je suis libre, je n’ai de compte à rendre à personne, et je puis utiliser le temps tel qu’il se présente.

    Depuis douze ans ma vie s’articule autour de mes chiens, j’en ai eu un, puis deux, je les ai perdus ; j’en ai repris un autre.

    Fidèles compagnons, ils ne demandent rien, que d’être aimés, sorti nourri, que des vraies valeurs, pas de tricheries.

    Bon, question voyages, j’ai donné et pour l’instant je ne rêve plus d’évasion.

    Questions sorties, c’est un peu la même chose, il y a eu une période où je n’étais jamais chez moi, toujours occupé, j’apprécie maintenant et mon chez moi et la tranquillité.

    Comme je le disais je n’ai plus de compte à rendre et libre de m’organiser.

    J’apprécie que les choses soient rangées, et que l’ordre règne.

    Cependant je n’en fais pas un principe je m’accommode de quelques poussières on d’une vaisselle pas faite.

    Je suis » emmerdant » sur les principes, non sur le résultat.

    Je n’aime, ni la vulgarité, ni les êtres trop sophistiqués.

    Par nature généreux, je ne veux pas être pris pour une poire.

    D’attitude négligée, je prétends que ce qui est important n’est pas dans l’apparence, mais dans le comportement, Rabelais disait « qu’il vaut mieux une tète bien pleine, qu’une tète bien faite. »

    De bonne éducation, j’apprécie la culture, le débat, mais pas les discours.

    Si je suis libre je veux que les gens le soient avec moi.

    Je ne suis propriétaire de rien et donc la aussi sans attaches,, seules les contraintes liées à mon animale me retiennent.

    Je ne suis pas drôle pourtant j’ai de l’humour, je ne suis pas beau mais j’ai du charme ; Je ne suis pas un phraseur bien qu’ayant de la répartie, j’aime l’écriture, les mots sans être un penseur.

    J’aime aussi le silence.

    Malade du coeur depuis toujours, la médecine m’a permis de vivre, j’en porte des séquelles, mais aussi une certaine force, peut-être même rage de vivre.

    Voilà ce n’est qu’une approche, histoire de jeter des bases.

    J’ai envie de tendresse et que ce soit pour, soit passer un moment, soit pour plus, je m’offre à vous, mais j’attends un retour.

  • il parrâit qu'avec internet...) voir

    Bon alors voilà je suis enfin équipé, j'ai l'ADSL, un écran un clavier, même une souris,et avec çà deux bras deux jambes, je vous le dit, comme chacun d'entre vous. alors que diable puisque l'on nous en rabat tant les oreilles, je vais faire comme tout le monde et  aller causer sur internet ; car y à pas que ceux qu'on rien à dire qui ont le droit de se répandre.

    D'abord que je me présente, je ne suis rien, je n'attends rien.

    Tiens il faisait beau aujourd'hui et j'ai fais une grande ballade mon chien, celui là au moins il est gaté, et si je me consacre en priorité à lui c'est parce qu'il vaut mieux que vous.

    Oui en réalité celui-ci dépends de moi, le nourir, sortir : il ne demande jamais, il sait que je vais devancer ses attentes, et puis je lui ai loué ma vie.

    Allez donc vous rendre compte dans mon prochain chapitre, que le vous situe l'historique.

    Enfin pour ceux qui veulent me suivre.