Reprenons, je sais
Vous me trouvez à mon tour cynique et vous dites
Mais quelle est cette réaction, comment devant un tel drame, peut il se permettre ? Tuer une gamine, et dans d’atroces conditions.
Je sais le désarroi des êtes proche.
Il est vrai rien ni personne ne remplacera un enfant, un être cher.
Et n’importe qui, qui ait fait cela mérite, et doit subir une sanction exemplaire.
Oui mais ce qui me dérange dans et le monde politique, et ses sphères médiatiques, c’est le désir, plus l’acharnement de vouloir tout expliquer, tout justifier.
Ecouter ces éditoria-moralistes disséquer proprement leur invité ou l’information.
Et pourquoi avez-vous fait ci, comment ressentez vous ça, n’avez-vous pas pensé…
Au diable leur introspection, qu’un individu se raconte et philosophe sur la vie.
Qu’il donne son avis, ses penchants, mais de grâce laissez lui son histoire, ses passions et son intimité.
Et puis il faut savoir simplement dire, lorsqu’un fait se passe, parfois « c’est un accident », comme il en arrive tant, le triste hasard de s’être trouvé là au mauvais moment.
On ne peut tout expliquer, ni postuler sur des si…….
C’est vrai qu’avec des SI on refait le monde.
Et dans celui-ci ou la violence est reine, ou les « gagneurs » sont ceux qui possèdent et détruisent Oui, certains, par on ne sait quel mécanisme dépasseront la mesure feront des actes d’une sauvagerie diabolique.
Oui il faudra les punir.
Mais que diable que la justice sereinement officie.
Trop de pousses aux crimes dans l’ombre montent au créneau offrant en pâture à la vindicte populaire ces bourreaux -victimes.
Cela fini par des lynchages en place publique. Oui bien sur le « petit » peuple aime ça.
Le populaire à déjà tellement tendance à s’ériger juge.
Que chacun fasse son boulot et le monde s’en portera mieux.
Et le journaliste est là pour informer en toute impartialité.
Et le politique pour diriger les affaires du pays, non les histoires des gens.
Pourtant je dis ça mais je suis quoi, moi, rien il est vrai, j’ai peut-être un peu de mesure, c’est tout.
Et envi de crier que ce monde me débecte.
G.B.