William Shakespeare n’aurait rêvé meilleure situation pour écrire ses grandes tragédies lyriques.
François Hollande en Hamlet tué sur la place publique par une maîtresse éconduite.
Voilà bien l’histoire qui occupe le peuple.
Il ne pourra faire comme sous la pluie, rester impassible.
Que les sondeurs le foulent au pied, que l’opinion le traîne dans la boue ; Il n’en reste pas moins présent, Président incontournable, parmi, les grands de ce monde, de ces plénipotentiaires qui prétendent à régler tous nos problèmes.
Que, combine, dans la même journée il annonce la suspension de la vente des vedettes à la Russie.
Ou un simple report !
Que membre de l'OTAN, il gesticule à l’unisson des durs, intégrant l’Ukraine dans les sphères de cette organisation, qui pourtant n’en fait pas partie.
Bon ceux-ci piégés par les mirifiques propositions de l’Europe, comme du FMI, se livrent pieds et poings liés, alors que Poutine voudrait conserver ce diable de pays dans son giron, sous sa coupe, classique.
Que Obama impuissant, à régler ses propres affaires essai d’entraîner, les autres pays derrière sa bannière pour redorer lui aussi un blason quelque peu défraîchi.
Triste monde, tristes sir ; Pauvre peuples.
Shakespeare au moins avait du talent, et ses personnages sonnaient juste.
Nos hommes politique d’aujourd’hui jouent plutôt « plus belle la vie » C’est pas beau hein.
G.B.