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moiguy - Page 4

  • Vide !

    Mare de ces bouteilles à la mer,

    Comme un grand vide, j’appréhende.

    Pourtant, nausée profonde,

    Cette privation ; Eternelle absence.

    Ironique destin, perdu au bord du chemin

    L’autre c’était hier, souvenirs passés,

    Mémoires dépassés, trop plein.

    Printemps, comme la fleur te voilà

    Reprise par le temps, délaissée

    Un peu oubliée, et déjà fanée.

    Ou sont tes désirs de vie,

    Ta présence se remplit de mon vide,

    Regard perdu, je cherche à conserver

    Le fil ténu, qui me reliait à toi.

    Les jours se suivent, atrocement présent.

    Même si j’en oublie leur empruntes.

    Et ne me laissent pas, souvenirs, ni trouver le repos.

    Et mon âme se plonge au fond de cette bouteille,

    Cruelle indifférence, d’un monde

    Ou les certitudes se vivent, fragile complainte.

    Où est le beau temps, de ta perpétuelle indolence.

    Comme nos jours de vies, nos souvenirs d’envies

    Le bonheur semblait léger, la douleur, ton oublie,

    Éternel fardeau si lourd à supporter.

    Tu me hantes pourtant, oh toi sublime démente

    Mes jours du quotidien que je trouve sans fin.

    Dérisoire sentiment qui compte sur le temps.

    Futur ou les hier succombent au lendemain.

    Permanence d’un état de représentation.

    Ou la perception passe par le regard,

    Qui me manque de toi, amour, à jamais ;  disparu.

     

    G.B.

  • Laurence d'Arabie, (suite)

    Vous parlez d’une coalition de bras cassés, de bons à rien.

    Vous prétendez déclarer la guerre, à ce ramassis de djihadistes, une poignée de rebelle, armée par les Etats Unis bien sûr, les états du Golf entre autre, etc….

    Ces terroristes qui sèment la terreur dans toute la région.

    Et toutes les armées du monde, suréquipées, n’arrivent pas à enrayer ces quelques mercenaires à la solde de quelques illuminés se réclamant de l’Islam ; Et prétendant imposer leur charia.

    Tu parles d’une affaire.

    Et la Turquie qui à maille à partir avec les Kurdes qui ne veut pas s’en mêler.

    Et les Kurdes du Kurdistan, Syrien essayant de résister, bref la pétaudière.

    Une mèche allumée aux portes de l’Europe et celle-ci, divisée, incohérente, partagée, ne sachant quelle attitude adopter.

    Chacun veut refaire le monde ; prétendre à des traités économiques, à des prétentions d’hégémonisme ; Et alors on fait quoi, on les regarde égorger nos otages, on les laisse s’installer, dans le désert d’abord, puis conquérir les villes et villages.

    Rançonner, piller, tuer, et lapider des populations entières et eux qui s’agitent, cogitent, et puis….

    Mais attention, nous faisons des lois pour que nos enfants ne puissent passer nos frontières.

    Nous prenons des mesures, Vigipirate et autres de protections absolues.

    Pauvre monde t’es bien foutu, notre fin arrive.

     

    G.B.

     

  • Laurence d'aujourd'hui !

    Pour en revenir à Laurence d’Arabie, et sa version moderne ; L’implantation d’un état Islamique au levant.

    La situation révèle des pires atrocités.

    Quelque vingt mille hommes qui n'ont de cesse que de conquérir tout un territoire, et que rien n’arrêtent….

    Et là aussi des avions, des missiles qui prétendent à, mais est-ce ainsi que la guerre se passe…

    Messieurs qu’on nomme grands, n’avez-vous pas déjà par le passé subi les pires déconvenues, malgré tous les moyens mis en œuvre.

    Votre puissance fut-elle destructrice, massive et monstrueuse.

    En face quelques valeureux guerriers, une force que seule la foi, ou la volonté pousse, et fait résister

    Vous prétendez éradiquer le mal, vous faites montre d’un zèle, vous jouez les gros bras, roulez des mécaniques.

    Vous êtes surtout fort en gueule.

    Vos parodies de mise en scène ne touchent que vous-même.

    Vos gesticulations n’impressionnent personne.

    Vos piteux exploits se révèlent plus dans la presse que sur le terrain.

    Oh ce monde qui se prétend moderne, mais un grain de sable et la machine s’enraye.

    Et puis combattre sans combattants

    « à vaincre sans périls on triomphe sans gloire »

    Et en plus vous n’arrivez même pas à triompher.

    En vrai votre guerre vous la menez plus à coût de communiqués.

    Et toujours deux mondes deux antagonistes.

    Et toujours des morts, femmes enfants, comme ces otages qui n’y sont pour rien.

    Et nos grands hommes complotent, se consultent, établissent des process.

    Et l’avenir dans tout ça.

    Vous ne savez pas qu’il vaut mieux éduquer les masses que de les régenter , encore moins se battre contre elles !

     

    G.B.

  • Décapité !

     

    Du latin caput, ôter la tête

    D’après le Larousse.

     

    Bon encore une fois je ne voudrais pas jouer sur les mots, Messieurs les commentateurs, chroniqueurs, et pourtant journaliste !.

    M’enfin, vous nous étourdissez les oreilles, à longueur de vos prises d’antennes sur le sort des otages par ces extrémistes Musulman en croisade pour imposer leur croyance.

    Et les atrocités qu’ils commettent sur leurs otages.

    Certes je n’ai pas vu les vidéos vantant leurs méfaits ; Mais quand dans une même phrase, vous nous annoncez  : que des Djihadistes, ont encore décapité un otage….

    Que la vidéo montre le bourreau armé de son couteau…

    Excusez du peu, mais essayez de trancher la tête de quelqu’un à l’aide d’un couteau.

    Pour parler clair pour moi ils sont purement et simplement égorgés.

    Ce qui n’enlève rien à la nature du drame, encore moins à son coté tragique.

    L’acte n’en est pas moins aussi odieux, répréhensible, et condamnable.

    Mais les mots ont un sens, une portée, alors nous ne sommes pas dans ces séries télévisées Made in U S ; mais dans le réel, dans le drame.

    Et dans l’imaginaire de nos bambins cela peut révéler bien des images, bien des conséquences.

    Et pour la petite histoire j’ai l’impression de revivre un film que je vis tout môme, mais qui marqua mon imaginaire ; je veux parler de : Laurence d’Arabie.

    Atrocité et horreur ; mais à l’époque c’étaient les colons occidentaux qui menaient croisade, pour conquérir.....

     

    Alors ce langage, ces périphrases, ce parler vrai.

    Don’t act.

     

    G.B.

  • Courage, (suite)

    Reprenons notre démonstration sur le courage, et le fait que nos dirigeants  n’ont plus,  une fois élu, cette flamme qui  caractérisait leur campagne.

    De même les électeurs déçues, par leur abstention ne  feront pas mine de déserter, mais bien de résister.

    Le rejet qu’ils démontreront de ce  système, de ces pseudos représentants.

    Frustrés, blasés, ils n’entendent plus, non participer à un choix ; mais ils entendent prétendre que ce qui   leur est proposé, qui révèle plus des combines et des manipulations que d’un vrai choix  politique.

    Donc ils ne veulent plus de ces singes que la machine politicienne prétend imposer pour les représenter.

    Notre cinquième république se mord la queue, seuls les parties, ou organisations politiques  peuvent prétendre à  les représenter.

    Sans cette énorme machine pour mettre en avant, puis dans une débauche de moyens, à grands coup de média-publique, de mise sur le devant de la scène.

    A grand renfort de publicité, donc de cette loi du plus fort, de cette loi du marché.

    Et le peuple floué n’aura d’autre possibilité que d’avaliser, que dis-je d’avaler, ce postulant imposé.

    Aussi il se détourne, il ne déserte pas, il résiste, car il sait que l’avenir qui lui est proposé, ne changera pas  sa vie, ne permettra pas un avenir de promesses.

    Allez construisons cette sixième république, qui servira le peuple, plutôt que de se servir de lui.

    G.B.

  • Ca peut pas faire de mal ( bis )

     

    Dommage, je ne suis pas Philosophe, même que j’ai du arrêter mes études en Troisième, c’était, il y à déjà ou presque cinquante ans.

    Pourtant il me plait à écouter, parfois à réécouter, ces superbes émission de vulgarisation de la pensé, du langage, et des mots.

    Merci, Monsieur, Guillaume Gallienne ;

    Le samedi à 18 h 20. Sur France Inter.

    ; « ça peut pas faire de mal »

    Le thème ce samedi résonne encore à mes oreilles,

    La fin du courage de Cynthia Fleury.

    Oh bonheur, que ces textes.

    Ah grandeur d’âme. Que c’est  bon  de vous suivre et d’apprendre.

    Cette vision de l’avenir au travers des termes du passé.

    Ecoutons Victor Hugo ; suivons et reprenons ses discours, ses préceptes.

    O bonheur quand il dit : «  Désespérer c’est déserter, regardons l’avenir. »

    Sublime pertinence !

    Oui nos politiques manquent de courage et désertent devant le peuple, ils dirigent sans eux, glorieux qu’ils sont d’avoir été élu.

    Ensuite, ils tournent le dos, ils se contentent de se remplir les poches, et de satisfaire leur égo, et de placer leurs copains.

    La pensée politique transgresse le besoin des peuples, leurs désirs.

    Ces gens ne sont que des singes qui s’agitent

    Bien sur le peuple, souvent baisse les bras et, la machine moderne lamine toutes rébellions.

    Que des hommes entrent en conflits, tout de suite ils mettent l’avenir, de l’entreprise ; du pays en péril, nous dit-on !

    L’information permanente, les redites les reprisent ; minent, sabotent les réactions, les courages se diluent avec l’événement, qui n’existe plus puisqu’il est tellement repris, et déjà dépassé.

    Nos Médias, avec  tous ces regards sur le monde, dissolvent  tout cela dans une soupe, un brouillard qui s’entremêle dans nos neurones, les anesthésies.

    La mondialisation détourne  l’événement, et l’on ne se sent plus impliqué.

    Délite, les barbaries, glorifie les pires démons.

    Et le peuple est pris dans les rouages de l’interprétation, comme la terre après le labour.

    Alors comment réagir, comment s’impliquer.

    Allez ne désespérons pas l’histoire est en marche, ne nous contentons pas de la suivre faisons là.

    Courage.

     

    G .B.

     

  • Petite Madame, sagesse.

    Je te rencontre, et te trouves si gentille.

    Madame, pourquoi laisses tu toujours ta place aux hommes.

    Le pouvoir gâte -ceux-ci !

    Pourquoi  dés qu’ils nous dirigent oublient ’ils ;

    Compassion, sagesse humilité, et parfois raisons.

    Comment  une moindre parcelle de pouvoir, les rends vil, mesquins, profiteurs arrogants !

    Madame, on dit pourtant que c’et toi qui tiens en main notre destin

    Ne prétend t’on pas que c’est toi qui mène le monde.

    Tu es femme, douceur, parfois maîtresse.

    Si  l’on te symbolise : Courtisane,

    Là encore c’est  pour montrer que tu cherches à prendre la place du maître.

    Et toi éternelle  tu montres ton ventre qui féconde, offre des jours nouveaux.

    Femme et mère tu présentes l’avenir, tu nourris en ton sein les futurs demain.

    Toi maternelle, tu es pouvoir, volupté, et même un peu savoir.

    Tu es caresses, blessures, surtout un grand besoin.

    On te  veut, bien plus on te désir,

    Alors que l’homme n’a d’autre prétention,

     Que grandeur, réussite, comme servile démon, à moins que  sinistre étalon.

    Gloire, parade, il piétine le monde.

    Pourquoi prétend ‘il toujours à la prédominance ;

    Laissant éternellement la femme au second rang,

     Et s’il lui faut mettre celle-ci en avant, ce sera toujours en rappelant,

    «  C’est la mère de ses enfants ».

    Histoire d’imposer sa masculinité, voir de prouver sa supériorité.

    L’homme qui ne provoque que guerres et conflits.

    Quand la femme se bat pour préserver la destinée  des siens,

    Et leur offrir des lendemains meilleurs.

     

    G.B.

  • Pour vous servir,

    Vos maux me pèsent,

    Et si mes mots opèrent.

    Pour vous suivre, j’obtempère.

    Des fois, un peu  pervers,

    Je soliloque ou bien je vitupère.

    Certes, je vous prends en exergue.

    Bien que j’attende de vous comme un nouveau concept.

    Le juste sens, où ce stupide prétexte

    Je vous tiens comme en laisse,

    Et je ne me joue de vos tristes complexes.

    Et j’attends calmement qu’ils s’écoulent,

    Mais pour ne pas être en reste

    Je donne l’illusion du devoir accompli,

    Parfois, simple savoir faire.

    L’homme comme l’escargot prétend laisser sa trace.

    Laquelle révèle, comme un lourd passé.

    L’expérience conduit, comme au bout de ses pages

    À mener lecteur au profond de l’écrit.

    Tyrannie du dico, à moins que l’imposteur correcteur

    Nous offre une pénible agonie, cherchant à semer le trouble.

    Et le conditionnel, illustre tellement mieux,

    Ce que l’avenir attend, même si le réel  affiche l’incertitude.

    Obsédante histoire qui nous oblige sans cesse

    À toujours nous reprendre, voir ressasser son texte ;

    De revisiter les anciens pour retrouver un sens.

    Pourtant les suivre comme douce astreinte.

    Car c’est bien la contrainte qui nourri  le sujet.

    Et de savoir en finir, cruel point final.

     

    G.B.