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moiguy - Page 5

  • Pépère la rigueur !

    Il ira jusqu’au bout.

    Il l’a dit sans détour, et ce ne sont pas vos récriminations

    Détesté, même haï, il s’arque boute et botte en touche.

    Enarque, il vous nargue, et même vous prends de haut.

    Enfermé dans les principes de ses fondamentaux

    Il se moque du peuple et de son opinion.

    Petit roi il prétend à diriger son monde,

    Il pousse ses pions, bien que sans avenir

    Il laisse une terre en friche.

    Enrichi les patrons ; gave les actionnaires.

    Vous  pauvres, toujours plus.

    Il ruine un pays, et vous traines misère,

    Contentez vous de ses bonnes paroles

    Mais pour l’Afrique il jouera son armé.

    Pour vous traines misère, contentez vous des restes.

    Il à eu la confiance des élus,

    Même qu'il  se moque de la défiance du peuple.

    Allez traines misère, il vous reste les miettes.

    Et si  ça ne suffit pas buvez donc ses paroles.

    Si non traines misère il vous reste la rue.

    Car le petit Sarko il peut bien aller se faire voir.

    Pour lui aussi ; Ce sera sans nous, traines misère.

    On  n'est vraiment pas gâté.

     

    G.B.

  • Gens de Gad ou d'ailleurs !

    Licenciés et en plus méprisé par  un étron de ministre !

     Certes nos ouvriers n’ont pas tous faits les grandes écoles.

    Bien sûr ils n’ont pas les moyens de se payer un chauffeur.

    Ils n’ont surement pas tous le permis de conduire ; mais ils ont du bon sens et de la raison ; Ce qui semble manquer cruellement à notre nouveau tout petit ministre.

    On voit bien, et c’est là que les propos de Valérie Trierweiler prennent tous leur sens ; le mépris de nos dirigeants voir des personnes du pouvoir, pour les honnêtes gens, travailleurs, éventuel pauvres chômeurs ou simple retraités.

    Non seulement ces parvenus ne paient pas leurs factures, loyer ou impôts mais ils font preuve d’un mépris, d’une arrogance. Grave les mecs !

    Oui, il serait temps d’en finir avec cette cinquième république de faiseurs.

    Le peuple est grand et respectable, il vous le démontre à chaque élection même si c'est en s'abtenant.

    Aussi Messieurs qu’on nomme grand, vous êtes pourtant bien petit, et vraiment minable.

    G.B.

     

  • Vous avez dit confiance !

     

    Messieurs les « sans ...ouilles »,

    Vous avez beau jeu de vous agiter dans tous les sens, de jouer les « frondeurs », de vous afficher : Ah ah ! Vous allez voir ça, cela ne se passera pas comme ça. !

    Pour au final vous dégonfler, que dis-je vous déculotter.

    Vous dites vouloir faire changer nos dirigeants de politique ; Ah bon, ou ça, comment.

    Grande gueule mais rien dans la culotte.

    Des minables.

    Des sans... ceurs, des sans domages, des sans effets.

    Alors fermez là, ; De vous non plus le peuple n’attend rien, et ne vous fais plus confiance..

    Bon pour vous ça ne change rien....pour l'instant.....

     

    G.B.

  • Message au G20

    Politique.

    J’aimais railler vos errements. Me jouer de vos tourments, de votre aveuglement.

    Aujourd’hui fatigué, je ne vous suis plus, ne cherche même pas à me réjouir de vos tracas.

    « Pro-litique » vous ne savez que piller nos valeurs.

     Hier la Grèce berceau de la démocratie.

    Réduite au néant, au plus grand dénuement

    Vos peuples vous dénient.

    Vous voulez tout diriger, nous mener,

    Peut-être même nous tenir par le bout du nez.

    Aujourd’hui malmené. Votre finance abuse et non content de ruiner nos espoirs,

    Vous nous pressez de toutes parts.

    Et vous riches vos coffres ne sont ‘ils pas assez pleins.

    Dix milliards d’être humains, deux tiers de crève la faim.

    Et le reste cossu, pansu, grotesque bedonnant.

    Organisé vos G20, FMI comme des tyrannies.

    Oppresseurs, voleurs, vous vous gavez de notre laisser faire.

    Peuple, révoltons-nous, indignés de tous crins.

    C’en est assez de vous suivre, dormez sur vos magots.

    Nos paillasses nous suffisent.

    Seuls les hommes libres méritent notre monde,

    Et nos richesses bien supérieures en tout point.

     

    G.B

  • Tranche de vie

    Mes regards qui occupent ce vide,

    Mes doigts crispés accrochent une ombre.

    Ma voix inutile heurte ces murs prison.

    Demain, hier, j’existe pourtant!

    Conflit, brisons amours poison.

    Qui es tu ennemi, pour venir ainsi t’occuper de ma vie,

    Infiltrer mon présent de tes sinistres absences.

    Comme une insidieuse complainte tu brouilles mon avenir.

    Oui je te sens me prendre ;

    Pénétrer  mes moments de terribles  déments

    C’est comme ce mal étrange, un rêve qui dérange

    Raison, comme illusions, même à cœur perdu

    Hier je ne suis plus, demain je ne sais pas

    Incertain,  je erre gambade ; La terre se retire sous mes pas.

    Accroche cette déchirure.

    Cavalier désarçonné, ma monture lâchée

    Tel le taureau caracole.

    J’épuise  mon réservoir

    Je vide cet échalas et déroule le file

    Comme un vieux ténébreux, j’ai perdu

    Avec un peu de bon sens l’équilibre utile.

    Mes mots restent au bord de mes lèvres.

    Mon intérieur tremble, comme une feuille morte je virevolte.

    Etrange enfer que, comme un changement de saison.

    Je ne sais plus le centre, ni la chaleur du jour.

    Faut-il reconnaissance gérer mon innocence.

    Je m’accroche orphelin, comme un reproche de frangin.

    Demain pas plus qu’avant, inutile tourment

    Je ne sais plus le temps qui vient.

    Etranger, j’appartiens au passé.

    La terre me creuse des rides

    Sillons de l’illusion, tu mènes ou?

    Hantise d’un hier révolu, présent  aux abonnés absents.

    Qu’elle est cet héritage. Ou donc sont les témoins?

    La vie, ce qu’il en reste regarde le sablier

    Ces terribles minutes de la vie à trépas.

     

    G.B

     

  • Les mots.........

    Les mots,

    As-tu le mot qu’il faut ?

    C’est quoi le mot que tu veux ?

    Le  mot pour le dire, celui que si tu l’écris

    Il pousse des cris.

    Ah comme un mot qu’on égorge

    Oui celui qui vient du fond de la gorge

    Mais alors il fait mal ?

    Non il  fait du bien car il faut le dire.

    Des fois il racle un peu.

    Parfois il renâcle, mais studieux il apprend

    C’est comme quelque chose que l’on aurait en soit.

    Que l’on cherche à exprimer ; Un mystère peut-être.

    Idiot le  mot n’en fait pas secret il dit ce que tu entends révéler.

    Comme un mots doux.

    Peut-être en tous cas un mot qui ambitionne de  savoir s’exprimer

    Et si l’on n’a rien à dire !

    Ce n’est pas un remède, il ne vise pas guérir nos maux.

    Même si tu parles d’amour ?

    Alors là tu touches un vrai sujet.

    Alors dis-moi des mots d’amour.

    G.B.

  • Vox populi.....

     Et vous, vous dites : « Plutôt François Hollande, ou Martine Aubry ?».

    Fini ces préoccupations on n’entendra plus cette interrogation.

    Vox populi aura mis fin à ces tergiversations à toutes ces questions.

    Il reste des perspectives, des heures sombres des longs débats, énormément de persuasion. Fini nos médias occupés tant d’interrogation,  lequel sera le meilleur. L’espoir ? va-t-il réussir à virer le petit Nicolas ?

    Après ce match il nous reste la coupe du monde de Rugby pour une dernière ligne droite, et l’on va enfin pouvoir retomber dans le marasme des affaires, des nominations placard.

    Pire dire que Liliane Betancourt qui déjà ne payait pas d’impôts en France, mieux même qu’on lui rétribuait des subsides ! dame faut bien qu’elle vive et paie ses charges !

    Bon enfin elle risque de nous quitter ; Non pas mourir, mais partir.

    Comme Johny l’idole des jeunes !

    Tiens il paraît que les Suisses vont construire une maison de retraite pour vieillards séniles. En plus là-bas ils peuvent aussi être assistés dans leur mort. Ah bon !

    Alors bon vent….

    Donc la droite reviens, pas aux affaires elle y est déjà.

    Non tu veux dire devant, ou derrière nos écrans, les micros.

    Nous n’avions même pas remarqué qu’elle en avait oublié le chemin.

    Donc «  Wait and see » Le peuple est seul juge……..

    Tu parle Charles !

    (Oui j’aime cette expression).

    A plus fidèle et courageux lecteurs.

     

    G.B.