Du latin caput, ôter la tête
D’après le Larousse.
Bon encore une fois je ne voudrais pas jouer sur les mots, Messieurs les commentateurs, chroniqueurs, et pourtant journaliste !.
M’enfin, vous nous étourdissez les oreilles, à longueur de vos prises d’antennes sur le sort des otages par ces extrémistes Musulman en croisade pour imposer leur croyance.
Et les atrocités qu’ils commettent sur leurs otages.
Certes je n’ai pas vu les vidéos vantant leurs méfaits ; Mais quand dans une même phrase, vous nous annoncez : que des Djihadistes, ont encore décapité un otage….
Que la vidéo montre le bourreau armé de son couteau…
Excusez du peu, mais essayez de trancher la tête de quelqu’un à l’aide d’un couteau.
Pour parler clair pour moi ils sont purement et simplement égorgés.
Ce qui n’enlève rien à la nature du drame, encore moins à son coté tragique.
L’acte n’en est pas moins aussi odieux, répréhensible, et condamnable.
Mais les mots ont un sens, une portée, alors nous ne sommes pas dans ces séries télévisées Made in U S ; mais dans le réel, dans le drame.
Et dans l’imaginaire de nos bambins cela peut révéler bien des images, bien des conséquences.
Et pour la petite histoire j’ai l’impression de revivre un film que je vis tout môme, mais qui marqua mon imaginaire ; je veux parler de : Laurence d’Arabie.
Atrocité et horreur ; mais à l’époque c’étaient les colons occidentaux qui menaient croisade, pour conquérir.....
Alors ce langage, ces périphrases, ce parler vrai.
Don’t act.
G.B.