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Ca peut pas faire de mal ( bis )

 

Dommage, je ne suis pas Philosophe, même que j’ai du arrêter mes études en Troisième, c’était, il y à déjà ou presque cinquante ans.

Pourtant il me plait à écouter, parfois à réécouter, ces superbes émission de vulgarisation de la pensé, du langage, et des mots.

Merci, Monsieur, Guillaume Gallienne ;

Le samedi à 18 h 20. Sur France Inter.

; « ça peut pas faire de mal »

Le thème ce samedi résonne encore à mes oreilles,

La fin du courage de Cynthia Fleury.

Oh bonheur, que ces textes.

Ah grandeur d’âme. Que c’est  bon  de vous suivre et d’apprendre.

Cette vision de l’avenir au travers des termes du passé.

Ecoutons Victor Hugo ; suivons et reprenons ses discours, ses préceptes.

O bonheur quand il dit : «  Désespérer c’est déserter, regardons l’avenir. »

Sublime pertinence !

Oui nos politiques manquent de courage et désertent devant le peuple, ils dirigent sans eux, glorieux qu’ils sont d’avoir été élu.

Ensuite, ils tournent le dos, ils se contentent de se remplir les poches, et de satisfaire leur égo, et de placer leurs copains.

La pensée politique transgresse le besoin des peuples, leurs désirs.

Ces gens ne sont que des singes qui s’agitent

Bien sur le peuple, souvent baisse les bras et, la machine moderne lamine toutes rébellions.

Que des hommes entrent en conflits, tout de suite ils mettent l’avenir, de l’entreprise ; du pays en péril, nous dit-on !

L’information permanente, les redites les reprisent ; minent, sabotent les réactions, les courages se diluent avec l’événement, qui n’existe plus puisqu’il est tellement repris, et déjà dépassé.

Nos Médias, avec  tous ces regards sur le monde, dissolvent  tout cela dans une soupe, un brouillard qui s’entremêle dans nos neurones, les anesthésies.

La mondialisation détourne  l’événement, et l’on ne se sent plus impliqué.

Délite, les barbaries, glorifie les pires démons.

Et le peuple est pris dans les rouages de l’interprétation, comme la terre après le labour.

Alors comment réagir, comment s’impliquer.

Allez ne désespérons pas l’histoire est en marche, ne nous contentons pas de la suivre faisons là.

Courage.

 

G .B.

 

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