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Loisirs - Page 2

  • Comme un vagabond, je erre !

    Comme un vagabond je erre,

    Traine misère, contemplatif

    Seule la beauté intérieure sourit, fi des apparences,

    L’habit ne fait pas le moine.

    Et je n’en fais pas un prêche.

    Je vais cahin-caha l’esprit presque en vacances

    Seul mon chien fidèle suit mes pensées,

    Il traque mes moindres gestes en attente de caresses.

    Oisif comme l’oiseau, tant qu’il a un nid

    Et quelques vers pour nourriture.

    Bien sûr l’esprit malin, le destin bien en main

    Pouvoir de se laisser aller, victoire de savoir profiter.

    Je vais de Caribe en Silla, toujours en déshérence

    Heureux, simple d’esprit et pourtant créatif,

    Simple mortel rôdant sur les abysses

    Des méandres de mon cerveau à l’affut de la syntaxe

    De la rime et du texte.

    Ma plume se laisse aller avec comme renfort

    Cette nature indomptable source de réconfort

    Ce vent qui me souffle un air frais.

    Le reflet des flaques d’eau mirant un ciel en délivrance.

    Un chétif croissant de lune, pointant le retour,

    Qui tel un ventre de femme, enflera pour devenir toute ronde

    Moment ou le jour se partage, il invite la nuit

    Qui tendra son long voile,

    Comme on tire à soi le drap du lit.

     

    D’autres préfèrent rouler leur bosse,

    Nantis persuadés d’être quelque part arrivés

    Ils se privent de cette liberté ; bien sûr notoriété

    Leur pouvoir, conquis de hautes luttes

    Leur savoir, en chiffre rond,

    Monnaie sonnante et trébuchante

    Leurs dix commandements :

    Gagner, profiter ; amasser ; presser, courir, abattre.

    Récolter, piller, escroquer, empocher.

    Sinistre noblesse d’une éphémère réussite.

     

    Alors l’homme libre relève la tète,

    Tu es trop riche pour te comparer à eux.

    Va et profite du bon temps, la nature t’appartient ;

    Ton regard enveloppe tout ce qu’il t’est donné

    Présent je t’offre les bienfaits d’un bonheur simple,

    À toi de savoir le mériter.

     

    G.B

     

     

     

     

  • Rhétorique sur un pied

    Les pieds,

     

    Bien sûr ils servent à marcher ;

     Parfois ils vont aussi nous faire cavaler.

    Ils nous tiennent bien debout.

    Et si l’on veut avancer, il nous suffit de mettre un pied devant l’autre.

    On peut toujours déclarer que la situation est stable.

    Mais  à courir ainsi, ne nous laissons pas marcher sur les pieds.

    Et s’il faut se les prendre dans le tapis,

    On n’en trouve pas moins l’occasion moins pire,

     Que quant on fait les  pieds au mur

    Et si l’on prétend pouvoir le prendre

    On n’en attend pas moins de s’assurer de repartir du bon pied.

    Encore qu’ils nous aident à danser devant le buffet.

    Voir si on fait le pied de grue  devant quelque lapin.

    C’est bien de pieds en cape ils nous font remarquer.

    Nous finissons toujours par un pied de nez.

    Pour le reste le poète les comptes,

    Et pour faire bonne mesure le pied à coulisse pose le problème.

    La règle du maître étalon pour  la reproduction.

    Car s’il à pris son pied nous en sommes étonné

    Comme si le diable au corps emporte la confusion.

    Et si quelques trou du cul, font minent de vous chercher ;

    Un coup de pied au derrière leur remettra les idées en place.

    Comme si vous demandez à votre boucher, s’il à des pieds de cochon ;

    Ne lui dites surtout  pas d’aller se les laver.

    Pour un cul de jatte, Un horrible moignon

     Sera le résultat d’une fâcheuse amputation.

    Si ce pied là boite,  un tant soi peu rebelle,

    Ce cor perdu emmènera le train, et ce pied-bot là,

    S’il en est entamera sa réputation.

    Il reste cependant à la plus part d’entre nous,

    La démarche assurée, et l’allure tranquille

    Mais au moindre faux pas, on glisse vers quelque ignominie

    Alors sur le pied de guerre, nous serons,

    Laissons à la piétaille, de pouvoir en finir

     Car si le bat blesse il nous laisse sur un piédestal

    Assurons nous dés le réveil ; bon pied bon œil.

    Ils nous permettent d’aller de l’avant.

    Un gentil pied à terre, comme une gentilhommière

     Mesurera la grandeur, voir permettra de bien nous assumer.

    Et pour les montes en l’air un pied de biche

     Leurs ouvrira les portes du mont de piété.

    Tout cela ne tiens pas debout, aussi restons couchés

    Les doigts de pieds en éventail car nul n’ignore

    Et c’est notre petit doigt qui nous le dit

    Qu’il vaut mieux avoir la situation bien en main.

     

    G.B.

     

     

  • Les mots.........

    Les mots,

    As-tu le mot qu’il faut ?

    C’est quoi le mot que tu veux ?

    Le  mot pour le dire, celui que si tu l’écris

    Il pousse des cris.

    Ah comme un mot qu’on égorge

    Oui celui qui vient du fond de la gorge

    Mais alors il fait mal ?

    Non il  fait du bien car il faut le dire.

    Des fois il racle un peu.

    Parfois il renâcle, mais studieux il apprend

    C’est comme quelque chose que l’on aurait en soit.

    Que l’on cherche à exprimer ; Un mystère peut-être.

    Idiot le  mot n’en fait pas secret il dit ce que tu entends révéler.

    Comme un mots doux.

    Peut-être en tous cas un mot qui ambitionne de  savoir s’exprimer

    Et si l’on n’a rien à dire !

    Ce n’est pas un remède, il ne vise pas guérir nos maux.

    Même si tu parles d’amour ?

    Alors là tu touches un vrai sujet.

    Alors dis-moi des mots d’amour.

    G.B.

  • Vox populi.....

     Et vous, vous dites : « Plutôt François Hollande, ou Martine Aubry ?».

    Fini ces préoccupations on n’entendra plus cette interrogation.

    Vox populi aura mis fin à ces tergiversations à toutes ces questions.

    Il reste des perspectives, des heures sombres des longs débats, énormément de persuasion. Fini nos médias occupés tant d’interrogation,  lequel sera le meilleur. L’espoir ? va-t-il réussir à virer le petit Nicolas ?

    Après ce match il nous reste la coupe du monde de Rugby pour une dernière ligne droite, et l’on va enfin pouvoir retomber dans le marasme des affaires, des nominations placard.

    Pire dire que Liliane Betancourt qui déjà ne payait pas d’impôts en France, mieux même qu’on lui rétribuait des subsides ! dame faut bien qu’elle vive et paie ses charges !

    Bon enfin elle risque de nous quitter ; Non pas mourir, mais partir.

    Comme Johny l’idole des jeunes !

    Tiens il paraît que les Suisses vont construire une maison de retraite pour vieillards séniles. En plus là-bas ils peuvent aussi être assistés dans leur mort. Ah bon !

    Alors bon vent….

    Donc la droite reviens, pas aux affaires elle y est déjà.

    Non tu veux dire devant, ou derrière nos écrans, les micros.

    Nous n’avions même pas remarqué qu’elle en avait oublié le chemin.

    Donc «  Wait and see » Le peuple est seul juge……..

    Tu parle Charles !

    (Oui j’aime cette expression).

    A plus fidèle et courageux lecteurs.

     

    G.B.

  • Vous avez dit primaire.

    Or, donc vous étiez peut-être en attente de ma prochaine note.

    Peut être espériez vous  avoir mes commentaires quant à la «  primaire socialiste », il est vrai que forcé, comme tout un chacun j’ai suivi le duel a fleuret moucheté que se livre les deux derniers protagonistes.

    Mais avant revenons sur le combat des « master chefs », fi de leur cuisine interne.

    Il est vrai que, ce devant de la scène occupé depuis une quinzaine de jours sur nos médias public prête à croire que nous avons retrouvé les pires moments de télé réalité qui soit.

    Et en plus avec en point de mire, un horizon d’élection présidentielle.

    Donc un jeu de massacre qui engage l’avenir de notre pays,  enfin plutôt le notre pas de pays mais d’avenir..

    D’où surement cet engouement des masses à s’intéresser à des débats, lesquels loin d’être passionnant engagent ou des promesses et là on sait ce qu’il en est, ou comme pour toute croyance tout n’est question que de résultats.

    L’après Sarkozy engagé.

    Une terrible bataille que celle qui prétend nous imposer un leader à gauche.

    Les médias faiseur d’avenir et donneurs de bon points ; souvenez vous ils avaient déjà imposé D S K avant que celui-ci ne soit candidat.

    Donc pour se rattraper il fallait mettre les bouchés doubles et cette primaire fut l’occasion de marquer à la culotte, celui-celle qui devrait s’imposer.

    Eh oui c’est vrai que pendant ce temps la France et son bon peuple avait oublié les autres candidats possible….

    Evanoui les MELANCHON, les EVA JOLY

    Fi des vrais hommes du changement, pour l’instant on prend les mêmes et on recommence, habile jeu  de la « bipolarisation » tiens mieux encore ; Comme aux états unis, vous savez les stats ….

    La France à deux modèles les états unis et l’Allemagne ; l’une pour sa réussite du fric, l’autre pour sa poussée économique, s’il en est.

     

    A droite ils se dissolvent tout seul, ils font « pchit » avant que l’on puisse parler de leur question d’avenir ; BORLO  « pchit », a quand le tour du petit Morin impétueux comme la rivière du même nom tout comme l’autre il se déballonnera c’est sûr.

    Certes il y aura l’incontournable François BAYROUT, sans oublier cette droite extrême qui veut faire revenir la France au temps de l’inquisition, voir pire des croisades.

    Bon de toute façons on s’en fout, revenons à nos primates.

     

     

    Et pendant ce temps la droite  râle, pourtant on n’entend plus parler des « affaires » dans lesquelles celle-ci patauge, argent des campagnes, ex-toujours France-Afrique.

    Le petit Nicolas mène campagne Parfois un  François COPPE ou   une Nadine MORANO vitupère, ruent dans les brancards bien entendu pour le petit chef ; Ok patron.

     Le seul habile se place pendant ce temps, mais pour les législatives, tiens notre premier Ministre se positionne il entend lui aussi faire courses en tête et il pense que la victoire de son camp n’étant pas acquise, il aurait intérêt à partir en tète pour les législatives, n’oublions pas que celles-ci suivront et la droite à beaucoup à perdre. Alors !.

    .

    Oublié aussi le mal vivre des Français, les difficultés, bien sur une prof qui s’immole par le feu devant ses élèves ;  des problèmes personnels… interprète t’on.

    L’éducation National et son mal vivre n’y sont pour rien, le manque d’avenir de cette profession de ceux qui sont là pour éduquer nos petits cerveaux, leur permettre d’acquérir un minimum de savoir qui leur permettras de leur ouvrir les portes de la vie.

    Les désorganisations mis en place, le relâchement sur l’autorité, sur les autorités.

    Alors votre éducation, Peut-être aura-t-elle voulue monter quelle part en fumé.

     

    Tout ça  pour quelle  vie, celle du trader, du futur petits fils du, futur chef d’entreprise ou futurs commis de l’état Enarque ou poly… je ne sais quoi, ceux là n’ont guère de problèmes d’éducation, leur avenir trace, Papa Maman les politiques y auront veillé….. Ou futur rien, au service du patronat de ses officines les boites d’intérims, travailleurs corvéables disponibles et pas cher.

    La France d’en bas celle qui souffre, paie son tribu en impôts taxes et autres prélèvements.

    Ces hommes ces femmes ; Ceux qui s’entassent dans ces transports en commun certes.

    Eh oui voilà pourquoi tous ces braves gens le soir devant leur écran de télé, certains auront juste changé de l’écran d’ordi à celui de la télé.

    Alors pour vivre, ils se gavent, écoutent, avalent s’infusent tout ce que nos gouvernants ou énarques leur aura préparé pour distiller  ce poison de leur certitude, de leur vision, d’autant savent’ ils encore réfléchir.

    Désespoirs d’avenir.

    Et vive la téléréalité, et la stérilisation des esprits.

    Et  laisser dormir vos cerveaux anesthésiés par la fatigue.

    Et ces primaires, rien de neuf, gérer la crise, un peu plus d’Europe pour dissoudre encore les responsables et nous faire oublier notre piteuse existence

    Je pense que l’on n’est pas prêt de s’en sortir.

    Donc toujours sans moi.

    Je vous laisse réparer les dégâts et panser les plais.

     

    G.B.

  • Histoire de centre

    Histoire de Centre.

    Zut je m’étais égaré en parlant des  « Sang Tristes » ces hommes du milieux pas de terrain bien que l’on disent souvent la balle au centre…surement histoire de relancer le jeu, enfin encore faut il qu’il y ait eu sortie de jeu, en avant, que sais-je ; J’y connais rien, mais si l’on me prends sur ce terrain, là encore je trouverais  ces hommes marionnettes, des grandes marques, voir mannequins de la finance, on parle de joueurs car comme au baccarat, ou à la roulette ils récoltent des sommes exorbitantes, adulés du publique car ils tapent dans un ballon, certes mon petit voisin à cinq ans voudrait bien les imiter, eh oui s’ils ne font que peu d’émules ils font des envieux, surtout chez les jeunes.

    Leur train de vie de rêve, en riche voiture, de femme brillante, illusion de la gloire, ils ne sont pourtant que des numéros, des couvertures éphémères de magasines.

    Portes drapeaux de la nation, on comprend que certains se demande laquelle, Acheté à coup de millions que peuvent ils représenter sinon l’indécence.

    Bon pas grave  on s’en fout, qu’ils soient vendus au Qatar, à Canal Plus, ils ne sont que le pale reflet d’un monde en déliquescence.

    Avant les journalistes, commentateurs sportifs disaient «  nos braves petits gars »

    Ils sont devenus des  machines à perdre, le foot ne leur suffisait pas même le Rugby désormais deviens la risée des foules des publics.

    On à toujours manqué de peu la chance de gagner.

    Faut ‘il que le fric gâche tout !

    Et nos  politiciens pendant ce temps ronronnent, vont dormir à l’assemblée, n’appelle t’on pas ça « la chambre ».

    Encore quand ils se déplacent ; Voyez ces images ces retransmissions des séances publiques encore que déjà les questions posées au gouvernement dans ces moments là les mobilises, pourtant combiens de bancs occupés, voyez ces rangs clairsemés, pourtant élus et grassement payés pour nous représenter.

    Il paraît que dans ces cas là ils sont dans leur circonscription, essayez donc d’avoir un rendez vous avec votre  député… on nous dit qu’il vaut mieux leur écrire….

    Bon je disais  m’interpellant tout seul, « vous croyez encore en leur politique, ca vous donne envie de participer de vous en mêler, pas moi ». Non merci.

    Mais au moins me donne-t-il le sujet de mes amusements, et l’objet de ma diatribe.

     

    Bon A plus le devoir m’attend.

     

    G B.

     

     

  • Balade au Parc

    Un dimanche comme les autres.

    Enfin il faisait beau en ce dimanche qui était un lundi d’ailleurs ; mais jour féries ; Pâques oblige.

    Les promeneurs allaient heureux, vivant ces moments de liberté retrouvé, des instants de fainéantise ; Ces moments de printemps, ou même en nous, cette sève qui montait et nous  revigorait, celle-là même qui donnait feuilles et bourgeons aux arbres, qui recouvrait la terre d’un tapis de verdure, parsemé de petites fleurs bleues, pour les violettes les boutons d’or brillaient et tant autres teintes, même les primevères étaient là ce jaune timide parsemaient les pelouses, celles-ci bien verte encore toute fraîche de cet hiver qui n’en finissait pas, nous rappelant certains matin par une bise froide qu’il valait mieux rester emmitouflé dans la douceur des couettes ou des parkas pour les plus téméraires.

    Dès l’aube pourtant les joggeurs dénouaient leurs muscles d’étirements en course folle, comme pour se libérer de cette longue nuit que leur corps a traversé. D’autres casse-cou dévalaient les allées sans retenue, pédalant comme si ce mouvement cette vitesse les porterait au-delà d’eu même, transcendé, l’œil exercé à détecter ce qui gênerait leur course folle, un caillou un chien, un piéton aussi.

    Donc  chaque un vacant à ses activités, je déambulais, tranquille, aucun vigil, à, l’entré n’ayant réfréné mon élan.

    J’avais été la veille interpellé et sermonné par deux individus type vigile, aux couleurs du SAN.* Oh pas bien méchant juste des employés voulant faire preuve de zèle, c’était leur mission ; Faire respecter le règlement ! seulement deux pauvres individus lâchés dans l’immensité de ce parc sans même un vélo ou vélomoteur pour faire le tour, aller débusquer les récalcitrants, ne parlons pas de ces quelques tètes brûlées se jouant des autorités, de toutes autorité et,  venus frimer sur des scooters ou autres petites moto. Enfin bons plus bêtes que méchant.

    Donc je fus interpellé et rabroué :  « Monsieur, s’il vous plait, les chiens doivent être tenus en laisse, c’est le règlement….. »

    Ne voulant pas envenimé, arguant que cela faisait 15 bonnes années que je me promenais ainsi dans cet espace de notre délicieux parc.

    Qu’ils feraient mieux de s’en prendre aux bandes, ou de ramasser les canettes oubliées qui jonchaient pelouse et sous bois ; souvenir d’une précédente beuverie.

    Bref ils avaient réussi à gâter ma bonne humeur.

    Certes c’est plus facile de s’en prendre à un petit vieux sans défenses qu’à des groupes de jeunes rebelles organisés.

    Enfin, ce jour-là liberté, nos vigiles avaient disparu.

    Et  notre parc, car depuis que je m’y promenais, j’en étais à ma troisième génération de chiens, et comme je disais j’en connaissais tous les brins d’herbe ; bref je me l’étais approprié, comme j’en avais fais mon territoire mon ère de jeu, le but de mes sorties, et aujourd’hui il  avait repris ses airs de festivité, des familles errant, qui jouant au ballon, d’autres,  poussette en avant sortaient la progéniture, surveillant l’avant dernière sur son tricycle ou le vélo, la guidant dans les ornières du chemin, comme elle le sera sur les routes de la vie, apprenant la vie des grands.

    Les tambours avaient fait leur retour rythmant nos pas de leur lancinant boum boums.

    Partout où nous étions, ils nous poursuivait impitoyable, sans rythme, au seul résonnement de leurs désoeuvrement, saccadant notre marche nous donnant le pas.

    Les premiers « barbecues » avaient fait leur réapparition, l’odeur des viandes grillé nous poursuivait nous obligeant de remettre nos chiens dans le droit chemin. Bien sûr leur flair,les attirait ver ces festins possible.

    Enfin autant de chose sympathique, prônant le bien-être d’une journée où chacun s’est lâché, ou tous retrouvons notre coté de primate, oubliant la hiérarchie reniant l’organisation rationnelle, le dirigisme étatique, patronal. L’individu se retrouve autour du feu et recrée le partage du festin.

    Oui il est beau notre parc, ses arbres centenaires nous indiquaient l’humilité ; le passé exposé, comme des pages d’histoire, de notre histoire, celle des générations liées par cette terre.

    Oublié la grotte aux ourses, celle-ci ne fait plus recette, abandonné par l’homme, qui mesure sa puissance, son emprise en prenant de la hauteur, seul compte maintenant cette pseudo perspective d’une visée prolongeant le regards des totems, nos twin towers, jusqu’à la Marne, plus même la base de Vaires.

    Ridicule Illusion d’optique, regard porté par nos hautes sphères bureaucratique, tentation de laisser son empreinte, de marquer un éphémère passage.

    Combien de responsables sont venus refaire, défaire ce que d’autres avaient commencé.

    Des arbres plantés, coupés ou déménagés à grands frais pour……la postérité.

     L’homme si grand si fort, et pourtant minable, mesquin, prétends régenter, dominer braver la nature, oubliant que celle-ci ne l’avait pas attendu, ; Mais les deniers publique utilisés sans compter.

    Voilà où allaient mes pensées, comme mes pas libres ou mon chien sans laisse.  

     

     

     

     

     

     

    • = Sacage des Abres à Noisiel.

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