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  • Messieurs les censeurs, (suite)

    Reprenons, je sais

    Vous me trouvez à mon tour cynique et vous dites

    Mais quelle est cette réaction, comment devant un tel drame, peut il se permettre ? Tuer une gamine, et dans d’atroces conditions.

    Je sais le désarroi des êtes proche.

    Il est vrai rien ni personne ne remplacera un enfant, un être cher.

    Et n’importe qui, qui ait fait cela mérite, et doit subir une  sanction exemplaire.

    Oui mais ce qui me dérange dans et le monde politique, et ses sphères médiatiques, c’est le désir, plus l’acharnement de vouloir tout expliquer, tout justifier.

    Ecouter ces éditoria-moralistes disséquer proprement leur invité ou l’information.

    Et pourquoi avez-vous fait ci, comment ressentez vous ça, n’avez-vous pas pensé…

    Au diable leur introspection, qu’un individu se raconte et philosophe sur la vie.

    Qu’il donne son avis, ses penchants, mais de grâce laissez lui son histoire, ses passions et son intimité.

    Et puis il faut savoir simplement dire, lorsqu’un fait se passe, parfois « c’est un accident », comme il en arrive tant, le triste hasard de s’être trouvé là au mauvais moment.

    On ne peut tout expliquer, ni postuler sur des si…….

    C’est vrai qu’avec des SI on refait le monde.

    Et dans celui-ci ou la violence est reine, ou les « gagneurs » sont ceux qui possèdent et détruisent Oui, certains, par on ne sait quel mécanisme dépasseront la mesure feront des actes d’une sauvagerie diabolique.

    Oui il faudra les punir.

    Mais que diable que la justice sereinement officie.

    Trop de pousses aux crimes dans l’ombre montent au créneau offrant en pâture à la vindicte populaire ces bourreaux -victimes.

    Cela fini par des lynchages en place publique. Oui bien sur le « petit » peuple aime ça.

    Le populaire à déjà tellement tendance à s’ériger juge.

    Que chacun fasse son boulot et le monde s’en portera mieux.

    Et le journaliste est là pour informer en toute impartialité.

    Et le politique pour diriger les affaires du pays, non les histoires des gens.

    Pourtant je dis ça mais je suis quoi, moi, rien il est vrai, j’ai peut-être un peu de mesure, c’est tout.

    Et envi de crier que ce monde me débecte.

    G.B.

     

     

  • Bien sûr Agnes et tous les autres.

    Messieurs le Censeurs

     

    Je comprends que la terrible affaire du viol et du meurtre de la petite Agnès, mette le monde en émoi, cependant Messieurs les « politicards » arrêtez un peu votre cirque.

    Il est vrai, l’histoire est non seulement terrible et cynique, certes le meurtrier présumé, jeune de 17 ans surement récidiviste mérite les poursuites appropriées.

    Pourtant déjà le voici jugé et condamné, livré en pâture à l’opprobre populaire et aucun jury ne pourra ne pas tenir compte de ce fait.

     

    Alors un peu de retenu.

    D’abord que notre justice fasse son travail et en ait les moyens.

    Ce jeune placé sans jugement, peut-être dans une structure pas appropriées pour sa situation, néanmoins, que vous fîtes grands tapage après chacune de ces déplorables affaires, que  nos ministres fassent une surenchère de textes législatif ou autres déclaration d’intérêt je m’offusque car quand un automobiliste sous quelque emprise qu’il soit, parfois aucune, fauche des enfants, des familles, là nos dirigeants, notre justice se montre bien magnanime, et les journalistes bien peu prolixes.

    Or donc, la vie des uns vaut-elle mieux que d’autres.

    La manière de tuer ?

    Bien sûr vos hommes en Libye ou en Afghanistan, voir en Côte d’Ivoire, avaient pour mission, de tuer et d’éliminer.

    Raison d’état.

    Que quelque déséquilibré, dans un monde, ou la surenchère de combats, de vindicte, de violence rythme notre vie.

    Même vos jeux sont des combats.

    Alors faut-il être engagé ou avoir un volant pour avoir le droit de vie et de mort.

    Est-ce là votre force.

    Moi je m’interroge

    .

    G.B.

  • Comme des Robinsons....

    Robinson,

     

    Honni soit leur argent et leur cupidité

    L’homme esclave, consomme et veut tout posséder

    Illusoire penchant à prétendre l’argent roi.  Pauvre civilisation qui brule ses richesses

    Leur faiblesse de vouloir tout posséder, tout piller, tout contrôler.

    Notre monde se meurt, leurs déchets sont toxiques, les eaux polluées sinon empoisonnées, en tous les cas très trouble.

    Ils ont vidés nos océans, drainés les fonds.

    Ils abattent les forêts, le désert gagne.

    Ils font fondre, Arctique et Antarctique ces réserves d’eau, l’avenir de notre humanité

    Ils brûlent l’atmosphère, et prétendent conquérir, bien plus que leur planète.

    Rien ne trouve gré que leur avidité.

    Le pot de l’amitié érigé en valeurs, et vous devenus des voleurs.

    Vous ne savez plus que le mal, vous battre et même gagner.

    Minable conquérant, vos penchants nous poussent à la ruine et à la destruction.

    C’est ainsi que naissent les guerres, comme toutes vos saloperies.

    Que celles-ci soient commercial, religieuse, ou bien encore ethnique

    Ils prétendent au Paradis, mais construisent l’Enfer.

    Décadence ils savent pourtant que notre monde va à sa perte.

     Les civilisations passées prétendaient au sommet, mais se sont écroulés.

    C’est leur intelligence, paraît-il qui les poussent, les font se dépasser.

    Leur bêtise tue les talents comme ils pillent  nos richesses.

    Qu’il est beau le bonheur de deux êtres qui échangent, partagent, donnent, aiment.

    Ils sont riches de leur largesse.

    Heureux les Robinsons, qui trouvent que le bonheur c’est de vivre simplement.

    Leurs servitude est le temps, levé, couché, trouver de l’eau des fruits murs et même faire bonne pèche.

    S’ils ont besoin de papier ce sera pour allumer le feu, ou pour quelques- autres besoins.

    .

    Comme des Robinsons retrouvons nous sans rien mais libre et peut être plus malin.

     

    .G.B.

    .

  • Amis poètes, fais nous partager !

    J’aimerais partager et même te faire aimer, tous ces mots du passé.

    Tant de pages, si pleines, sous ces écrits puissants.

    Miroirs de nos âmes, ils peuvent te ressembler

    Comme des mirages, sur grand écran te feront cheminer

    Ces lectures découvertes t’invitent, sage réflexion

    Au calme d’une prairie, à la ténébreuse nuit.

    Voyages au gré des vents, comme après un orage

     Tu te retrouves sauvage ou bien plus qu’indolent.

    Tu ressens cette emprise et ces sages moments

    Tu sais le bruit des vagues, tu aimes ces tourments.

    A moins que comme cette page, tu sois  roseau pensant.

    Ces lacunes d’un esprit  sec comme la trique.

    Pénètre donc ce temple,  ne soit pas si critique,

    Vois ces penseurs sereins, pourtant esprits malins.

    Ils t’offrent leurs richesses et grandissent ton empire,

    Guide sous influences, apprécie ces largesses.

    Pour pas mourir idiot, ouvre donc toutes ces œuvres

    Enrichis-toi, de ces mots du passé, que tu crois dépassés.

    Apprends, laisse toi pénétrer, lis donc tous ces récits

    Que ces mots images impriment ton cerveau

    Comme l’aventure humaine, ce film déroule son empreinte

    Te voilà cinéaste montre nous tes penchants.

    Tant de scénarios écrits, que nous sentons vivant

    Tu n’es plus un corps vide, tu nages désormais

    Vers les richesses de nouvelles expériences,

    L’histoire te tiens et tu attends la fin

    Laisse toi guider, et peut-être emporter

    Vers les sommets des uns, la profondeur des autres.

    Il n’est pas de valeurs que l’on ne veuille surmonter,

    Il n’est pas de talents que l’on ne puisse aimer.

     

    G.B.

     

     

  • Leçon d'Avenir...

    Jeune,

    Tous les jours je te croise, moi promenant mon chien ; toi guetteur, tu veilles à ta réputation.

    Vigile tu surveilles pour le compte des plus grands, plus fort, plus influent.

    Ton avenir, s’il en est, sera de t’investir dans cette attente.

    Mais ou mène ce chemin dans nos cités-banlieue

    Est-ce donc là ton avenir ?

    Tes portes de l’enfer ! même pas de  petits boulots.

    Tu te sens rejeté, inutile dans une vie, ou tu n’as pas ta place.

    L’école déjà prétendait te former ; t’initier, te placer, te dompter.

    Remplir ton cerveau, ou plutôt le modeler

    Du moins t’offrir les clés  des portes du futur.

    Mais tu n’as pas suivi, et ils t’ont oublié.

    Tu as décroché, tombé dans le désœuvrement,  bien vite récupéré.

    Est-ce là ta raison de vivre, la rue, ces halls d’immeubles.

    Tu ne cherches pas la réussite, tu attends indolent.

    Ton territoire  est restreint, tes demains incertain.

    Tombé  sous la coupe de quelques grands,

    Petits caïds de nos quartiers ils te rémunèrent te donnent une importance

    Pour installer leur emprise, pour dominer,

     Et leurs petits trafics t’autorisent une rente complicité.

    Ta famille c’est la rue, ton présent ce milieux.

    Hier un moins que rien, tu te crois au faîte d’un réseau.

    Heureux d’appartenir, simplement de servir.

    Tu n’as plus de toi-même, sous leur coupe  ils t’enrôlent.

    Ils t’offrent une raison d’être, reconnaissance, te voilà investi

    Toi hier sans existence, tu trouves ici ta place.

    Travailleurs de l’ombre ta vie se réduit à ces quelques lignes, à ces moments d’illusions.

    Passeurs de rêves, gardiens du temple, chacun sa place ;

    Quartier sous influence, à toi la surveillance.

    Tu es le paysage, tout le temps rien à faire,

     Rassemblement étrange, qu’attends-tu de demain.

    Toi déjà sans passé, l’avenir incertain.

    Exclu de notre monde, tu interpelles pourtant.

    Ceux là qui t’ont tendu la main te tiennent, te servent de béquille

    Complice ou pauvre âme perdue

    Ton ennemi c’est l’ordre avec ses forces et ces gens étriqués.

    Au grand jour tu t’affiches que peut-on te reprocher

    Maillon d’un réseau souterrain, tu sais  jouer les gros bras.

    Chaine d’un espoir pour certain  ou désespoirs des autres.

    Tous ces faux paradis.

    Avec la religion, chacun ses illusions

    Mais les prêcheurs qui cherchent à nous récupérer, sèment la discorde sinon la soumission,

    D’autres trouvent la rébellion ;  être ou bien paraître, il faut bien exister.

    Ces chapelles-là, allez savoir pourquoi, veulent nous posséder.

    Alors discernement, raison comme toutes vos oraisons dans ce monde ou tout est possession

    Le savoir oublié, comme la connaissance, seule compte la maitrise du temps et puis ce gain d’argent.

    Ou est l’amour d’antan, l’être cher dans le simple dénuement.

    La richesse intérieure avec le partage, échange de bons procédés, comme des vœux pieux

     Jetés au hasard sans nulle prétention.

    Allez y croire encore, c’est ce à quoi je prétends.

     

    G.B.

  • Rhétorique sur un pied

    Les pieds,

     

    Bien sûr ils servent à marcher ;

     Parfois ils vont aussi nous faire cavaler.

    Ils nous tiennent bien debout.

    Et si l’on veut avancer, il nous suffit de mettre un pied devant l’autre.

    On peut toujours déclarer que la situation est stable.

    Mais  à courir ainsi, ne nous laissons pas marcher sur les pieds.

    Et s’il faut se les prendre dans le tapis,

    On n’en trouve pas moins l’occasion moins pire,

     Que quant on fait les  pieds au mur

    Et si l’on prétend pouvoir le prendre

    On n’en attend pas moins de s’assurer de repartir du bon pied.

    Encore qu’ils nous aident à danser devant le buffet.

    Voir si on fait le pied de grue  devant quelque lapin.

    C’est bien de pieds en cape ils nous font remarquer.

    Nous finissons toujours par un pied de nez.

    Pour le reste le poète les comptes,

    Et pour faire bonne mesure le pied à coulisse pose le problème.

    La règle du maître étalon pour  la reproduction.

    Car s’il à pris son pied nous en sommes étonné

    Comme si le diable au corps emporte la confusion.

    Et si quelques trou du cul, font minent de vous chercher ;

    Un coup de pied au derrière leur remettra les idées en place.

    Comme si vous demandez à votre boucher, s’il à des pieds de cochon ;

    Ne lui dites surtout  pas d’aller se les laver.

    Pour un cul de jatte, Un horrible moignon

     Sera le résultat d’une fâcheuse amputation.

    Si ce pied là boite,  un tant soi peu rebelle,

    Ce cor perdu emmènera le train, et ce pied-bot là,

    S’il en est entamera sa réputation.

    Il reste cependant à la plus part d’entre nous,

    La démarche assurée, et l’allure tranquille

    Mais au moindre faux pas, on glisse vers quelque ignominie

    Alors sur le pied de guerre, nous serons,

    Laissons à la piétaille, de pouvoir en finir

     Car si le bat blesse il nous laisse sur un piédestal

    Assurons nous dés le réveil ; bon pied bon œil.

    Ils nous permettent d’aller de l’avant.

    Un gentil pied à terre, comme une gentilhommière

     Mesurera la grandeur, voir permettra de bien nous assumer.

    Et pour les montes en l’air un pied de biche

     Leurs ouvrira les portes du mont de piété.

    Tout cela ne tiens pas debout, aussi restons couchés

    Les doigts de pieds en éventail car nul n’ignore

    Et c’est notre petit doigt qui nous le dit

    Qu’il vaut mieux avoir la situation bien en main.

     

    G.B.

     

     

  • Message au G20

    Politique.

    J’aimais railler vos errements. Me jouer de vos tourments, de votre aveuglement.

    Aujourd’hui fatigué, je ne vous suis plus, ne cherche même pas à me réjouir de vos tracas.

    « Pro-litique » vous ne savez que piller nos valeurs.

     Hier la Grèce berceau de la démocratie.

    Réduite au néant, au plus grand dénuement

    Vos peuples vous dénient.

    Vous voulez tout diriger, nous mener,

    Peut-être même nous tenir par le bout du nez.

    Aujourd’hui malmené. Votre finance abuse et non content de ruiner nos espoirs,

    Vous nous pressez de toutes parts.

    Et vous riches vos coffres ne sont ‘ils pas assez pleins.

    Dix milliards d’être humains, deux tiers de crève la faim.

    Et le reste cossu, pansu, grotesque bedonnant.

    Organisé vos G20, FMI comme des tyrannies.

    Oppresseurs, voleurs, vous vous gavez de notre laisser faire.

    Peuple, révoltons-nous, indignés de tous crins.

    C’en est assez de vous suivre, dormez sur vos magots.

    Nos paillasses nous suffisent.

    Seuls les hommes libres méritent notre monde,

    Et nos richesses bien supérieures en tout point.

     

    G.B

  • Tranche de vie

    Mes regards qui occupent ce vide,

    Mes doigts crispés accrochent une ombre.

    Ma voix inutile heurte ces murs prison.

    Demain, hier, j’existe pourtant!

    Conflit, brisons amours poison.

    Qui es tu ennemi, pour venir ainsi t’occuper de ma vie,

    Infiltrer mon présent de tes sinistres absences.

    Comme une insidieuse complainte tu brouilles mon avenir.

    Oui je te sens me prendre ;

    Pénétrer  mes moments de terribles  déments

    C’est comme ce mal étrange, un rêve qui dérange

    Raison, comme illusions, même à cœur perdu

    Hier je ne suis plus, demain je ne sais pas

    Incertain,  je erre gambade ; La terre se retire sous mes pas.

    Accroche cette déchirure.

    Cavalier désarçonné, ma monture lâchée

    Tel le taureau caracole.

    J’épuise  mon réservoir

    Je vide cet échalas et déroule le file

    Comme un vieux ténébreux, j’ai perdu

    Avec un peu de bon sens l’équilibre utile.

    Mes mots restent au bord de mes lèvres.

    Mon intérieur tremble, comme une feuille morte je virevolte.

    Etrange enfer que, comme un changement de saison.

    Je ne sais plus le centre, ni la chaleur du jour.

    Faut-il reconnaissance gérer mon innocence.

    Je m’accroche orphelin, comme un reproche de frangin.

    Demain pas plus qu’avant, inutile tourment

    Je ne sais plus le temps qui vient.

    Etranger, j’appartiens au passé.

    La terre me creuse des rides

    Sillons de l’illusion, tu mènes ou?

    Hantise d’un hier révolu, présent  aux abonnés absents.

    Qu’elle est cet héritage. Ou donc sont les témoins?

    La vie, ce qu’il en reste regarde le sablier

    Ces terribles minutes de la vie à trépas.

     

    G.B