Quand un père Francois, rencontre un Saint Père François, eh ben ils papautent.
Bof....
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Quand un père Francois, rencontre un Saint Père François, eh ben ils papautent.
Bof....
Ainsi donc, Daniel Vachez, notre seigneur et maître, élu et maire depuis « Mathusalem »
Ose-t-il prétendre à se représenter.
Dont-acte, et fort bien.
Ce n’est pas qu’il délaisse sa tâche pour d’autres plus reluisante ; plus rémunératrice enviable et autoproclamé ; Communauté de communes ! Tiens, pourquoi pas ?
Pourtant, sur notre ville sa seule réalisation d’importance, avoir redessiné les bords de Marne.
Encore en aura-t-il profité pour redéfinir les grands axes de notre parc.
Fi du petit pont de tous les soupirs, détruit pour voir plus grand !
Percement d’une zone marécageuse.
Bref en ville depuis des années nous attendons, demandons un peu de lumière, un minimum de sécurité.
Oh les études pleuvent, au grand profit de bureaux d’études à docs ! Mais pour la réalisation ; c’est à l’étude….
Noiséliens, Noiséliennes il serait temps de changer et de prendre votre destin en main.
D’autant que la rumeur, souvent bien informée prétend que, à mi mandat le maire abandonnerait son poste au profit d’un tiers de sa liste. Tiens donc !
La même entendrait encore qu’il aurait, enfin, faut voir, qu’il proposerait postes et responsabilité à d’autres, voir encore de cette ancienne « union de la gauche ; Socialo, écolo, communiste.». Baliverne !.
Ainsi dans les cuisines de notre pouvoir il se prépare de drôles de plats ?
Bon laissons leur ces manipulations, et laissons Augias à ses écuries.
Soyons clairs, efficaces ; nous choisiront le changement.
Amis, Voisins, et lecteurs que l’on croisent en chemin, demain Noisiel doit se choisir une autre voie.
Demain faisons entendre la notre de voix et Votons pour NOISIEL et sa population, non pour des « communautés d’intérêts ».
Alors ça vous dit ?
Faut-il honneur, petit bonheur ;
Un mot chasse l’autre ;
Serez-vous nominé,
Pour qui ce ruban.
Tant de célébrité
Et d’autres si peu connues.
Allons enfants de la patrie
Chercher ces décorations,
Personnes bien en vue
Comme d’autres oubliées.
Enfin récompensé
Tableau d’honneurs
Ou simple gloire éphémère
Vous voilà couronné.
Petit œillet à la boutonnière
Suprême vanité, pour d’autres vulgarités.
Vous voici affiché et puis même épinglé.
Remise de médailles, vous en êtes anobli
Tant de grâce rendue.
On dit le fait du prince,
Votre attente rassurée
Vous en avez bien mérité.
Quelle fut donc votre action ?
Quelle vie avez-vous donc sauvé ?
Célébrité récompensée
Vous faites encore envie.
Mais d’autres en resteront flétri.
N’en soyez pas aigri
Il vaut bien mieux avoir de bons amis.
Et le bonheur de servir
De bien plus nobles causes.
Vous n’êtes pas ces marionnettes
Que l’on tient par un fil
Fût-il ruban, offert par notre République.
G.B.
Robinson,
Honni soit leur argent et leur cupidité
L’homme esclave, consomme et veut tout posséder
Illusoire penchant à prétendre l’argent roi. Pauvre civilisation qui brule ses richesses
Leur faiblesse de vouloir tout posséder, tout piller, tout contrôler.
Notre monde se meurt, leurs déchets sont toxiques, les eaux polluées sinon empoisonnées, en tous les cas très trouble.
Ils ont vidés nos océans, drainés les fonds.
Ils abattent les forêts, le désert gagne.
Ils font fondre, Arctique et Antarctique ces réserves d’eau, l’avenir de notre humanité
Ils brûlent l’atmosphère, et prétendent conquérir, bien plus que leur planète.
Rien ne trouve gré que leur avidité.
Le pot de l’amitié érigé en valeurs, et vous devenus des voleurs.
Vous ne savez plus que le mal, vous battre et même gagner.
Minable conquérant, vos penchants nous poussent à la ruine et à la destruction.
C’est ainsi que naissent les guerres, comme toutes vos saloperies.
Que celles-ci soient commercial, religieuse, ou bien encore ethnique
Ils prétendent au Paradis, mais construisent l’Enfer.
Décadence ils savent pourtant que notre monde va à sa perte.
Les civilisations passées prétendaient au sommet, mais se sont écroulés.
C’est leur intelligence, paraît-il qui les poussent, les font se dépasser.
Leur bêtise tue les talents comme ils pillent nos richesses.
Qu’il est beau le bonheur de deux êtres qui échangent, partagent, donnent, aiment.
Ils sont riches de leur largesse.
Heureux les Robinsons, qui trouvent que le bonheur c’est de vivre simplement.
Leurs servitude est le temps, levé, couché, trouver de l’eau des fruits murs et même faire bonne pèche.
S’ils ont besoin de papier ce sera pour allumer le feu, ou pour quelques- autres besoins.
.
Comme des Robinsons retrouvons nous sans rien mais libre et peut être plus malin.
.G.B.
.
Et vous, vous dites : « Plutôt François Hollande, ou Martine Aubry ?».
Fini ces préoccupations on n’entendra plus cette interrogation.
Vox populi aura mis fin à ces tergiversations à toutes ces questions.
Il reste des perspectives, des heures sombres des longs débats, énormément de persuasion. Fini nos médias occupés tant d’interrogation, lequel sera le meilleur. L’espoir ? va-t-il réussir à virer le petit Nicolas ?
Après ce match il nous reste la coupe du monde de Rugby pour une dernière ligne droite, et l’on va enfin pouvoir retomber dans le marasme des affaires, des nominations placard.
Pire dire que Liliane Betancourt qui déjà ne payait pas d’impôts en France, mieux même qu’on lui rétribuait des subsides ! dame faut bien qu’elle vive et paie ses charges !
Bon enfin elle risque de nous quitter ; Non pas mourir, mais partir.
Comme Johny l’idole des jeunes !
Tiens il paraît que les Suisses vont construire une maison de retraite pour vieillards séniles. En plus là-bas ils peuvent aussi être assistés dans leur mort. Ah bon !
Alors bon vent….
Donc la droite reviens, pas aux affaires elle y est déjà.
Non tu veux dire devant, ou derrière nos écrans, les micros.
Nous n’avions même pas remarqué qu’elle en avait oublié le chemin.
Donc « Wait and see » Le peuple est seul juge……..
Tu parle Charles !
(Oui j’aime cette expression).
A plus fidèle et courageux lecteurs.
G.B.
Le bal des égos…Centriques
Ca y es nous y sommes, hier nous connaissions le centre, ces individus voulant jouer les troubles fêtes sans se marquer trop, un peu de… et pas mal d’autre chose ; exégèse qui permettait à ceux ne voulant pas se mouiller, ou se « marquer ».
Bref, nous y trouvions quand même les radicaux ( ceux de gôche », les autres démocrates, bref tout un ramassis de bonne volonté, de braves gens, plutôt issus de la petite bourgeoisie, vous savez ces Notaires Médecins, des personnes en vues, arrivés, ces notables.
Il y avait les « républicains semi démocrates, toujours attachés aux principes de la droite proche de l’église (‘intérêts, argents et situations).
Il y avait les laïcs souvent attachés aux valeurs et principe de l’éducation.
Bref c’était hier, c’était il y à longtemps.
Combiens dans les principaux gouvernements de notre cinquième république se sont réclamés centriste tout en faisant une alliance objective avec la droite.
Depuis François Mitterrand en 1981 qui à phagocyté le MRG, le centre ne survivait plus que par habitude sociologique pour besoins éventuels.
François Bayrou lui-même aura servi la droite, mais il aura aussi fait du pied aux socialos, notamment avec Ségolène Royal en 2007.
Bref un bon petit serviteur de l’état républicain.
Pourtant de chute en défaite, il persiste mais garde toujours son même crédo, à droite bien dans ses bottes..
Seulement depuis la droite ayant fait fort, même trop fort, l'illusion terminé, il fallait bien histoire de se donner une porte de sorti, voir un"remettez nous ça" éventuelle.
Les François Morin, ministre des morts en Afghanistan et ailleurs, membre du nouveau centre, un peu d'extrême droite ou presque, les Jean Louis Borloo, ex homme en vu ou les pseudos De Villepin, comme eux aussi homme de Centre-droit, au service de l’état mais surtout du grand capital.
Le centre aujourd’hui nommé nouveau bref ces nantis qui rament pour que la droite gagne.
Foutaise, tous ces affairistes arrivés, tous ces gagneurs potentiels de la droite aux socio- démocrates du PS. Tous prétendent à notre bien être, tous vous proposent monts et merveilles.
Ils attendent vos suffrages, ils battent le pavé et les médias pour récupérer votre voix.
Ils occupent nos médias, vous interpellent, ils vous abreuvent de belles promesses, vous inondent de sondage vous laissant miroiter...
Tu parles Charles disait mon grand père………….
Le résultat, les travailleurs, les salariés, les petites gens, vous moi seront toujours plus pauvre, économiquement et mentalement en plus déjà il y a l'école, dure, dure puis nos médias imposent leurs principes et en font étalage.
La grande Braderie, la foire aux affaires tous promettent-ils.
Et pour endormir le publique, l’anesthésier ils nous bassinent, tenez dimanche P. M comme disent les informaticiens, comble de l’horreur M. Drucker, ou son sosie, le pharaon Toutantenne 2, qui reçoit l’ex-idole des jeunes, (même ma voisine pourtant bon publique), à trouvé que ces deux momies ne représentaient pas de quoi faire monter l’audimat.
Et en plus ils ne paient pas d’impôts tu parle.
Voilà pauvre monde et triste sir.
Bon j’arrête mes délires pour ce soir et surtout n’oubliez pas d’aller voter, vous aurez même droit à une répétition Dimanche.
GB
Tiens de l’animation, du délire, du jeu pour rire, de l’ambiance, tout le monde s’en mêle, chacun y va de son anathème, on croirait encore une fois il n’y a plus que ça, on ne parle plus que de la retraite des bleus, pas de l’autre, celle qui devrait nous mobiliser, celle qui prétends vous garder aux travaille, alors que même les patrons y veulent plus de vous, coûtez trop cher, z’êtes trop gourmand, vous n’avez plus la " gniac " pour aller bosser, vous n’aviez accepté de vous faire exploiter, utiliser pour pas cher, pour, Parce qu’il faut bien vivre, travailler. Pourtant vous, vous n’êtes pas trop payé !
Ah ce n’est pas la coupe.
Et puis, il y à loin de la coupe aux lèvres.
Bon vous vous êtes égaré, incontrôlable ; Indécent, vous avez ridiculisé vos sponsors et autres dirigeants.
Oui vous avez touché le fond, on ne peut tout avoir, le fric celui qui pue, la gloire, et les honneurs, Mêrme l JF Copée y va de son refrain, indigne de l’esprit Français, tu parles Charles.
Enfin avec eux c’est la rébellion, ils vous feront boire la coupe jusque à la lie.
Aux armes citoyens, aux larmes les troyens les " vouvouzellas" tonnent l’heure de cette fronde.
Et nos ‘petits gars comme prétendent certains journalistes, ils baissent les bras, relèvent la tête même pas honte.
C’est quoi ¨être Français, la voilà la vrai citoyenneté, le pouvoir de traiter son « patron » son coache de « fils de pute ».
Merci moi j’aime.
Et en plus je serais dans la rue le 24.
G B
De qui se moque-t-on. Tant de mépris.
Indécent, vous n’avez pas dit, Madame Boutin.
Ancien député, Ancien Ministre, ancienne…. il vous fallait une situation à votre mesure.
18.000, 00 et quelques euros par mois de revenu, c’est , ce que combien de famille gagnent en une année.
Je rêve, dans quel monde nous vivons ou les abus, les outrances des uns, couvrent la misère et les déboires des autres.
Combien personnages de l’état, ou grand patron vivent ainsi, royalement, sans compter, sans mérite ; car leur « statut » leur cynisme les imposent, alors que ceux là même, bouclier fiscal oblige, ne seront pas rançonnés.
Essayez-vous autres, tiens ; un simple arrêt de travail, stupide accident,que le stress ou la pression aura mis sur votre chemin. Et vous voilà racketté, pillé, ponctionné. Pis encore pour un peu nous devrions avoir honte de vivre petit, simplement ; chichement miséreux.
Smicard à une connotation péjorative, pourtant dire merci aux patrons, collectivités ou autres « employeurs » qui pour 800, 00 nous, vous fera trimer, sans compter.
Ah ce système qui génère ses « Kervielles, et ses outrances, prétendant contrôler quand ça les arrange.
J’ai honte d’être nous, alors que vous, vous affichez sans vergogne et que vous, nous jetez au visage votre arrogance et votre mépris.
Pourtant c’est encore, et toujours sur nous, sur nos petits revenus que nos dirigeants, ces législateurs d’intérêts viendront ponctionner pour combler tel trou ; Fut-il de la sécu, comme pour « renflouer ces banques et autres organismes financiers ». Arbitrairement pillés par ceux là même qui ont fait leur richesse. Et bien sûr réduire nos dépenses, rigueur oblige, et la dette abyssale que vous avez laissé filler, pour servir vos intérêts.
Gloire, aux pilleurs de coffres, ces détrousseurs de diligence des temps modernes, à ceux qui prennent aux riches.
G B.