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  • Courage, (suite)

    Reprenons notre démonstration sur le courage, et le fait que nos dirigeants  n’ont plus,  une fois élu, cette flamme qui  caractérisait leur campagne.

    De même les électeurs déçues, par leur abstention ne  feront pas mine de déserter, mais bien de résister.

    Le rejet qu’ils démontreront de ce  système, de ces pseudos représentants.

    Frustrés, blasés, ils n’entendent plus, non participer à un choix ; mais ils entendent prétendre que ce qui   leur est proposé, qui révèle plus des combines et des manipulations que d’un vrai choix  politique.

    Donc ils ne veulent plus de ces singes que la machine politicienne prétend imposer pour les représenter.

    Notre cinquième république se mord la queue, seuls les parties, ou organisations politiques  peuvent prétendre à  les représenter.

    Sans cette énorme machine pour mettre en avant, puis dans une débauche de moyens, à grands coup de média-publique, de mise sur le devant de la scène.

    A grand renfort de publicité, donc de cette loi du plus fort, de cette loi du marché.

    Et le peuple floué n’aura d’autre possibilité que d’avaliser, que dis-je d’avaler, ce postulant imposé.

    Aussi il se détourne, il ne déserte pas, il résiste, car il sait que l’avenir qui lui est proposé, ne changera pas  sa vie, ne permettra pas un avenir de promesses.

    Allez construisons cette sixième république, qui servira le peuple, plutôt que de se servir de lui.

    G.B.

  • Ca peut pas faire de mal ( bis )

     

    Dommage, je ne suis pas Philosophe, même que j’ai du arrêter mes études en Troisième, c’était, il y à déjà ou presque cinquante ans.

    Pourtant il me plait à écouter, parfois à réécouter, ces superbes émission de vulgarisation de la pensé, du langage, et des mots.

    Merci, Monsieur, Guillaume Gallienne ;

    Le samedi à 18 h 20. Sur France Inter.

    ; « ça peut pas faire de mal »

    Le thème ce samedi résonne encore à mes oreilles,

    La fin du courage de Cynthia Fleury.

    Oh bonheur, que ces textes.

    Ah grandeur d’âme. Que c’est  bon  de vous suivre et d’apprendre.

    Cette vision de l’avenir au travers des termes du passé.

    Ecoutons Victor Hugo ; suivons et reprenons ses discours, ses préceptes.

    O bonheur quand il dit : «  Désespérer c’est déserter, regardons l’avenir. »

    Sublime pertinence !

    Oui nos politiques manquent de courage et désertent devant le peuple, ils dirigent sans eux, glorieux qu’ils sont d’avoir été élu.

    Ensuite, ils tournent le dos, ils se contentent de se remplir les poches, et de satisfaire leur égo, et de placer leurs copains.

    La pensée politique transgresse le besoin des peuples, leurs désirs.

    Ces gens ne sont que des singes qui s’agitent

    Bien sur le peuple, souvent baisse les bras et, la machine moderne lamine toutes rébellions.

    Que des hommes entrent en conflits, tout de suite ils mettent l’avenir, de l’entreprise ; du pays en péril, nous dit-on !

    L’information permanente, les redites les reprisent ; minent, sabotent les réactions, les courages se diluent avec l’événement, qui n’existe plus puisqu’il est tellement repris, et déjà dépassé.

    Nos Médias, avec  tous ces regards sur le monde, dissolvent  tout cela dans une soupe, un brouillard qui s’entremêle dans nos neurones, les anesthésies.

    La mondialisation détourne  l’événement, et l’on ne se sent plus impliqué.

    Délite, les barbaries, glorifie les pires démons.

    Et le peuple est pris dans les rouages de l’interprétation, comme la terre après le labour.

    Alors comment réagir, comment s’impliquer.

    Allez ne désespérons pas l’histoire est en marche, ne nous contentons pas de la suivre faisons là.

    Courage.

     

    G .B.

     

  • Petite Madame, sagesse.

    Je te rencontre, et te trouves si gentille.

    Madame, pourquoi laisses tu toujours ta place aux hommes.

    Le pouvoir gâte -ceux-ci !

    Pourquoi  dés qu’ils nous dirigent oublient ’ils ;

    Compassion, sagesse humilité, et parfois raisons.

    Comment  une moindre parcelle de pouvoir, les rends vil, mesquins, profiteurs arrogants !

    Madame, on dit pourtant que c’et toi qui tiens en main notre destin

    Ne prétend t’on pas que c’est toi qui mène le monde.

    Tu es femme, douceur, parfois maîtresse.

    Si  l’on te symbolise : Courtisane,

    Là encore c’est  pour montrer que tu cherches à prendre la place du maître.

    Et toi éternelle  tu montres ton ventre qui féconde, offre des jours nouveaux.

    Femme et mère tu présentes l’avenir, tu nourris en ton sein les futurs demain.

    Toi maternelle, tu es pouvoir, volupté, et même un peu savoir.

    Tu es caresses, blessures, surtout un grand besoin.

    On te  veut, bien plus on te désir,

    Alors que l’homme n’a d’autre prétention,

     Que grandeur, réussite, comme servile démon, à moins que  sinistre étalon.

    Gloire, parade, il piétine le monde.

    Pourquoi prétend ‘il toujours à la prédominance ;

    Laissant éternellement la femme au second rang,

     Et s’il lui faut mettre celle-ci en avant, ce sera toujours en rappelant,

    «  C’est la mère de ses enfants ».

    Histoire d’imposer sa masculinité, voir de prouver sa supériorité.

    L’homme qui ne provoque que guerres et conflits.

    Quand la femme se bat pour préserver la destinée  des siens,

    Et leur offrir des lendemains meilleurs.

     

    G.B.

  • Pour vous servir,

    Vos maux me pèsent,

    Et si mes mots opèrent.

    Pour vous suivre, j’obtempère.

    Des fois, un peu  pervers,

    Je soliloque ou bien je vitupère.

    Certes, je vous prends en exergue.

    Bien que j’attende de vous comme un nouveau concept.

    Le juste sens, où ce stupide prétexte

    Je vous tiens comme en laisse,

    Et je ne me joue de vos tristes complexes.

    Et j’attends calmement qu’ils s’écoulent,

    Mais pour ne pas être en reste

    Je donne l’illusion du devoir accompli,

    Parfois, simple savoir faire.

    L’homme comme l’escargot prétend laisser sa trace.

    Laquelle révèle, comme un lourd passé.

    L’expérience conduit, comme au bout de ses pages

    À mener lecteur au profond de l’écrit.

    Tyrannie du dico, à moins que l’imposteur correcteur

    Nous offre une pénible agonie, cherchant à semer le trouble.

    Et le conditionnel, illustre tellement mieux,

    Ce que l’avenir attend, même si le réel  affiche l’incertitude.

    Obsédante histoire qui nous oblige sans cesse

    À toujours nous reprendre, voir ressasser son texte ;

    De revisiter les anciens pour retrouver un sens.

    Pourtant les suivre comme douce astreinte.

    Car c’est bien la contrainte qui nourri  le sujet.

    Et de savoir en finir, cruel point final.

     

    G.B.

  • Pépère la rigueur !

    Il ira jusqu’au bout.

    Il l’a dit sans détour, et ce ne sont pas vos récriminations

    Détesté, même haï, il s’arque boute et botte en touche.

    Enarque, il vous nargue, et même vous prends de haut.

    Enfermé dans les principes de ses fondamentaux

    Il se moque du peuple et de son opinion.

    Petit roi il prétend à diriger son monde,

    Il pousse ses pions, bien que sans avenir

    Il laisse une terre en friche.

    Enrichi les patrons ; gave les actionnaires.

    Vous  pauvres, toujours plus.

    Il ruine un pays, et vous traines misère,

    Contentez vous de ses bonnes paroles

    Mais pour l’Afrique il jouera son armé.

    Pour vous traines misère, contentez vous des restes.

    Il à eu la confiance des élus,

    Même qu'il  se moque de la défiance du peuple.

    Allez traines misère, il vous reste les miettes.

    Et si  ça ne suffit pas buvez donc ses paroles.

    Si non traines misère il vous reste la rue.

    Car le petit Sarko il peut bien aller se faire voir.

    Pour lui aussi ; Ce sera sans nous, traines misère.

    On  n'est vraiment pas gâté.

     

    G.B.

  • Gens de Gad ou d'ailleurs !

    Licenciés et en plus méprisé par  un étron de ministre !

     Certes nos ouvriers n’ont pas tous faits les grandes écoles.

    Bien sûr ils n’ont pas les moyens de se payer un chauffeur.

    Ils n’ont surement pas tous le permis de conduire ; mais ils ont du bon sens et de la raison ; Ce qui semble manquer cruellement à notre nouveau tout petit ministre.

    On voit bien, et c’est là que les propos de Valérie Trierweiler prennent tous leur sens ; le mépris de nos dirigeants voir des personnes du pouvoir, pour les honnêtes gens, travailleurs, éventuel pauvres chômeurs ou simple retraités.

    Non seulement ces parvenus ne paient pas leurs factures, loyer ou impôts mais ils font preuve d’un mépris, d’une arrogance. Grave les mecs !

    Oui, il serait temps d’en finir avec cette cinquième république de faiseurs.

    Le peuple est grand et respectable, il vous le démontre à chaque élection même si c'est en s'abtenant.

    Aussi Messieurs qu’on nomme grand, vous êtes pourtant bien petit, et vraiment minable.

    G.B.

     

  • Vous avez dit confiance !

     

    Messieurs les « sans ...ouilles »,

    Vous avez beau jeu de vous agiter dans tous les sens, de jouer les « frondeurs », de vous afficher : Ah ah ! Vous allez voir ça, cela ne se passera pas comme ça. !

    Pour au final vous dégonfler, que dis-je vous déculotter.

    Vous dites vouloir faire changer nos dirigeants de politique ; Ah bon, ou ça, comment.

    Grande gueule mais rien dans la culotte.

    Des minables.

    Des sans... ceurs, des sans domages, des sans effets.

    Alors fermez là, ; De vous non plus le peuple n’attend rien, et ne vous fais plus confiance..

    Bon pour vous ça ne change rien....pour l'instant.....

     

    G.B.

  • Le sens des mots !

    Une voisine, certes un peu âgée, comme moi, me disait ne plus être  dans l’époque ne comprenant plus la moitié des mots ou locutions que nos journalistes, commentateurs ou autres présentateurs nous abreuvent,  à  longueur de temps, lors de  leurs diatribes sur les antennes.

    Tous ces gens des médias qui, sous couvert d’être dans l’époque, ou par snobisme ou autres conneries emplois à tour de bras, des termes étrangers.

    Certains se font un plaisir à parler de « Hollande basching ; Est-vous aleave » ? Écoutons le dernier « blogbosters », etc.

     Bref je n’entends plus ces discours, je ne  comprends plus, ces nouvelles générations qui prétendent faire jeunes branchés et distillent, ce fatras d’Anglicisme, et de terme racoleur.

    Quel gâchis et voilà qui réponds bien aux désirs de nos responsables, nous Américaniser, préparer nos cerveaux à cette mode que veulent nous imposer les tenants de ce « traité transatlantique ; espèce de serpents de mer qui nous guettes mais dont nous ne connaîtrons pas pour autant le contenu.

    Qu’importe il faut « globaliser » les cerveaux, nous habituer à un entendement international, vives les Multinationales, un langage minimum pour tous, une seule consigne, le rabotage intellectuel, surtout nous empêcher de penser, vives la pensée unique, et qui mieux que les Etats Unis pour réduire, puis  imposer,  ce nouveau poison, ce fiel qu’ils inoculent dans nos oreilles et limitera notre entendement.

     

    Il ne faut  pas non plus  négliger le style  «  Twitter » et autres nouveau langage N’est ce pas là cette nouvelle communication, c’est  donc ça leur conflit de génération, car de mon temps comme disent les anciens, le  verlan était pour moi un mystère, mais on me l’expliquait, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

    Et puis il faut nous habituer au zéro papier, vous savez, les écrits restent, les paroles s’envolent.

    Alors…

    Mourons idiot.

    G.B.