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  • Au feu !

    Tranquillement installé écoutant les nouvelles sur ma radio préférée, Le journaliste explique la situation au Burkina Faso ; Les manifestants remontés contre leur président :

     Les manifestations ont repris ce matin au Burkina Faso. Plusieurs dizaines de milliers d'opposants au président Blaise Compaoré se sont rassemblés dans le centre de la capitale Ouagadougou pour demander sa démission., ceux-ci ont d’ailleurs mis le feu au Parlement etc..

    Et l’on entend alors le présentateur s’exclamer, : La maison de la Radio brûle !.

    Dans quel pays sommes nous !

    Dites-nous chers journalistes si chez nous aussi la révolution gronde, et si nos agitateurs de  SIVENS ont fait des émules ; Pourtant, Le président socialiste du conseil général du Tarn, Thierry Carcenac, a "pris acte de l'impossibilité de poursuivre " le chantier du barrage de Sivens après la mort d'un manifestant, lors d'un discours prononcé vendredi au siège du département à Albi.

    Sommes nous en crise, certes nous savions nos dirigeants englués dans toutes sortes d’affaires ; Bien sûr nous savions que la popularité de nos  Locataires de l’Elysée, comme de Matignon en faiblesse avec le peuple.

    Alors un signe du destin quand le torchon brûle ?

    G.B.

     

  • Quatre saisons,

    Oh doux temps de la jeunesse,

    Moment béni où le regard porte encore loin.

    Vois tous ces paradis toujours inexplorés.

    Observe, perspectives, ce temps à l’infini.

    Tu ne veux qu ’apprendre, et prétends t’emballer,

    Découvertes, et promesses donnent sens à la vie,

    Tu portes loin l’envie. Et bonheur de grandir

    Avec tous ces savoirs qui te montrent ; richesses.

    Rempli, ta tête, comme ton cœur,

    Combles ces vides, ces manques, traques l’ignorance,

    Sois libre, profites ; La fougue de ta jeunesse

    T’offre mille fortunes, comprends que ton printemps

    Après la floraison, donne tant de merveilleux fruits

    Nourri tes expériences, cueilles, et récoltes.

    L’été, transcende et reste un avenir

    Te voilà au fait d’un riche potentiel,

    Tu grandis la famille ; Avenir prometteur,

    Des lendemains sereins justifient ton état.

    Et la nature, comme après une forte chaleur.

    Se repose sur tes lourdes épaules.

    L’automne, vint, d’abord à petit pas.

    Indolent, quelques cheveux déjà blancs,

    Et les feuilles décrochent, imperceptiblement.

    Comme les jours, écornent notre rapport au temps

     Les nôtre illusoire, fatiguent un peu plus vite.

    Sur le théâtre nos représentations.

    Le lourd rideau tombe, et le soir agonise.

    Ne te retourne pas, la salle se vide.

    Nous n’avons plus cet espace ;

    Nous avons, œuvré, partagé et donné.

    Aujourd’hui, l’hiver installe ses froidures,

    Que l’on ressent partout, jusque dans nos jointures

    Le froid, le gel, emprisonne notre être.

    Personne plus ne nous prête plus la moindre attention.

    Le soleil, moribonde notre éternité.

    La privation regarde notre horizon rétréci.

    L’espoir abandonne nos désirs.

    Le travail effectué, la terre s’ouvre sous nous.

    Le temps a fait son œuvre et nous laisse l’oubli.

    La mort nous trouve, au détour d’un chemin.

    Soyons heureux, nous avons bien vécu.

     

    G.B.

     

    P.S: "L'avenir est dans la poésie,"

    Tahar ben jelloun.

  • Vide !

    Mare de ces bouteilles à la mer,

    Comme un grand vide, j’appréhende.

    Pourtant, nausée profonde,

    Cette privation ; Eternelle absence.

    Ironique destin, perdu au bord du chemin

    L’autre c’était hier, souvenirs passés,

    Mémoires dépassés, trop plein.

    Printemps, comme la fleur te voilà

    Reprise par le temps, délaissée

    Un peu oubliée, et déjà fanée.

    Ou sont tes désirs de vie,

    Ta présence se remplit de mon vide,

    Regard perdu, je cherche à conserver

    Le fil ténu, qui me reliait à toi.

    Les jours se suivent, atrocement présent.

    Même si j’en oublie leur empruntes.

    Et ne me laissent pas, souvenirs, ni trouver le repos.

    Et mon âme se plonge au fond de cette bouteille,

    Cruelle indifférence, d’un monde

    Ou les certitudes se vivent, fragile complainte.

    Où est le beau temps, de ta perpétuelle indolence.

    Comme nos jours de vies, nos souvenirs d’envies

    Le bonheur semblait léger, la douleur, ton oublie,

    Éternel fardeau si lourd à supporter.

    Tu me hantes pourtant, oh toi sublime démente

    Mes jours du quotidien que je trouve sans fin.

    Dérisoire sentiment qui compte sur le temps.

    Futur ou les hier succombent au lendemain.

    Permanence d’un état de représentation.

    Ou la perception passe par le regard,

    Qui me manque de toi, amour, à jamais ;  disparu.

     

    G.B.

  • Laurence d'Arabie, (suite)

    Vous parlez d’une coalition de bras cassés, de bons à rien.

    Vous prétendez déclarer la guerre, à ce ramassis de djihadistes, une poignée de rebelle, armée par les Etats Unis bien sûr, les états du Golf entre autre, etc….

    Ces terroristes qui sèment la terreur dans toute la région.

    Et toutes les armées du monde, suréquipées, n’arrivent pas à enrayer ces quelques mercenaires à la solde de quelques illuminés se réclamant de l’Islam ; Et prétendant imposer leur charia.

    Tu parles d’une affaire.

    Et la Turquie qui à maille à partir avec les Kurdes qui ne veut pas s’en mêler.

    Et les Kurdes du Kurdistan, Syrien essayant de résister, bref la pétaudière.

    Une mèche allumée aux portes de l’Europe et celle-ci, divisée, incohérente, partagée, ne sachant quelle attitude adopter.

    Chacun veut refaire le monde ; prétendre à des traités économiques, à des prétentions d’hégémonisme ; Et alors on fait quoi, on les regarde égorger nos otages, on les laisse s’installer, dans le désert d’abord, puis conquérir les villes et villages.

    Rançonner, piller, tuer, et lapider des populations entières et eux qui s’agitent, cogitent, et puis….

    Mais attention, nous faisons des lois pour que nos enfants ne puissent passer nos frontières.

    Nous prenons des mesures, Vigipirate et autres de protections absolues.

    Pauvre monde t’es bien foutu, notre fin arrive.

     

    G.B.

     

  • Laurence d'aujourd'hui !

    Pour en revenir à Laurence d’Arabie, et sa version moderne ; L’implantation d’un état Islamique au levant.

    La situation révèle des pires atrocités.

    Quelque vingt mille hommes qui n'ont de cesse que de conquérir tout un territoire, et que rien n’arrêtent….

    Et là aussi des avions, des missiles qui prétendent à, mais est-ce ainsi que la guerre se passe…

    Messieurs qu’on nomme grands, n’avez-vous pas déjà par le passé subi les pires déconvenues, malgré tous les moyens mis en œuvre.

    Votre puissance fut-elle destructrice, massive et monstrueuse.

    En face quelques valeureux guerriers, une force que seule la foi, ou la volonté pousse, et fait résister

    Vous prétendez éradiquer le mal, vous faites montre d’un zèle, vous jouez les gros bras, roulez des mécaniques.

    Vous êtes surtout fort en gueule.

    Vos parodies de mise en scène ne touchent que vous-même.

    Vos gesticulations n’impressionnent personne.

    Vos piteux exploits se révèlent plus dans la presse que sur le terrain.

    Oh ce monde qui se prétend moderne, mais un grain de sable et la machine s’enraye.

    Et puis combattre sans combattants

    « à vaincre sans périls on triomphe sans gloire »

    Et en plus vous n’arrivez même pas à triompher.

    En vrai votre guerre vous la menez plus à coût de communiqués.

    Et toujours deux mondes deux antagonistes.

    Et toujours des morts, femmes enfants, comme ces otages qui n’y sont pour rien.

    Et nos grands hommes complotent, se consultent, établissent des process.

    Et l’avenir dans tout ça.

    Vous ne savez pas qu’il vaut mieux éduquer les masses que de les régenter , encore moins se battre contre elles !

     

    G.B.

  • Décapité !

     

    Du latin caput, ôter la tête

    D’après le Larousse.

     

    Bon encore une fois je ne voudrais pas jouer sur les mots, Messieurs les commentateurs, chroniqueurs, et pourtant journaliste !.

    M’enfin, vous nous étourdissez les oreilles, à longueur de vos prises d’antennes sur le sort des otages par ces extrémistes Musulman en croisade pour imposer leur croyance.

    Et les atrocités qu’ils commettent sur leurs otages.

    Certes je n’ai pas vu les vidéos vantant leurs méfaits ; Mais quand dans une même phrase, vous nous annoncez  : que des Djihadistes, ont encore décapité un otage….

    Que la vidéo montre le bourreau armé de son couteau…

    Excusez du peu, mais essayez de trancher la tête de quelqu’un à l’aide d’un couteau.

    Pour parler clair pour moi ils sont purement et simplement égorgés.

    Ce qui n’enlève rien à la nature du drame, encore moins à son coté tragique.

    L’acte n’en est pas moins aussi odieux, répréhensible, et condamnable.

    Mais les mots ont un sens, une portée, alors nous ne sommes pas dans ces séries télévisées Made in U S ; mais dans le réel, dans le drame.

    Et dans l’imaginaire de nos bambins cela peut révéler bien des images, bien des conséquences.

    Et pour la petite histoire j’ai l’impression de revivre un film que je vis tout môme, mais qui marqua mon imaginaire ; je veux parler de : Laurence d’Arabie.

    Atrocité et horreur ; mais à l’époque c’étaient les colons occidentaux qui menaient croisade, pour conquérir.....

     

    Alors ce langage, ces périphrases, ce parler vrai.

    Don’t act.

     

    G.B.