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  • Chère madame Valérie Trierweiler

    Vous nous faites l’image d’une personne sensée et responsable.

    Vous ne paraissez pas comme ces oies blanches facile à attraper, encore moins à plumer.

    Votre niveau, comme votre milieux, nous semblent vous placer, non dans l’élite, mais dans une couche honnête, avec une  certaine image de réussite.

    Vous grande dame, bafouée, jetée ; par un goujat, par un  individu dont le cynisme dépasse tout entendement.

    Que vous fûtes abusé par la rouerie du personnage et sa duplicité ; plus de 50 % des Français le furent aussi.

    Il se sera joué de vos faveurs, comme il à trompé le peuple.

     

    Que vous vous ayez été séduite, puis conquise par les frasques, comme par  les désirs de pouvoir de cet ignoble individu, tant d’autres le furent et le seront encore.

     Notre monde malade de réussites, d’ascenseur sociale,  et de ma tu vues, lesquel  ne reflète que les restes d’une éducation courtisane, carriériste, comme de ces modèles  de célébrités, de notoriété, réussite.

    Pauvre monde qui ne voit plus que tricheries, mesquineries, il n’y à plus ni valeurs, ni sincérité.

    L’homme individu ne trouve plus son équilibre, toujours en balance ; le bien, le mal   ;  le vrai ,le faux.

    L’individu balance entre les mièvreries de leurs téléréalités, et les mérites de ces publicités tapageuses, portées au pinacle des modèles.

    La décadence de Ces feuilletons Américano-merdique  a modifié les comportements, les réactions des gens, notre vision se trouve déformé par le prisme de ces mises en scène outrancières.

    Nos grandes écoles forment des élites, et pour se faire leurs inculquent  les rouages de la réussite ; mensonges et tromperies.

    Redonnez à l’école, non la théorie du genre, garçon, fille, mais des valeurs fondamentales, le bien ; le mal.

    La noblesse avait ses  valeurs, les bourgeois d’aujourd’hui, ne resteront que des parvenus ;  Des gens foutres.

    C’est bien ça, notre vie.

    Et ils prétendent à  nous donner des leçons ?

    G.B.

  • Sans dents mais décompléxé !

    Nous sommes tous des «  Sans dents » décomplexé.

     

    La sécu comme les mutuelles qui se font payer à prix d’or pour nous couvrir.

    N’ayant guère les moyens de nous faire correctement ou  réparer nos chicots, comme pire nous faire appareillés, donc légitimement nous pouvons  revendiquer cette appellation.

    Sans dents, et pue de la gueule,  certes, mais à croc de cette France  malade, de ses dirigeants qui se  pavanent et se gavent sur notre dos, de ces ministres ou tristes députés tricheurs,  fraudant le fisc, ou ne payant pas leurs impôts.

    L’agonie nous gagne, La Droite pourrie, plus Hollande et Valse, aux ordre du capital, de la finance. voilà le cocktail qui met en place les ingrédients d’un nouveau fascisme, lequel attend son heure.

    Et ils se prétendent responsable ?

    Pauvre France, la peste bonde te guette ; et ce sont les chaudcihalisites qui lui auront fait le lit, mais c'est nous qui devront en assumer le combat...

     

    G.B.

     

  • Quelle tragédie !

    William Shakespeare n’aurait rêvé meilleure situation pour écrire ses grandes tragédies lyriques.

    François Hollande en Hamlet tué sur la place publique par une maîtresse éconduite.

    Voilà bien l’histoire qui occupe le peuple.

    Il ne pourra faire comme sous la pluie, rester impassible.

    Que les sondeurs le foulent au pied, que l’opinion le traîne dans la boue ; Il n’en reste pas moins présent, Président incontournable, parmi, les grands de ce monde, de ces plénipotentiaires qui prétendent à régler tous nos problèmes.

    Que, combine, dans la même journée il annonce la suspension de la vente des vedettes à la Russie.

    Ou un simple report !

    Que membre de l'OTAN, il gesticule à l’unisson des durs, intégrant l’Ukraine dans les sphères de cette organisation, qui pourtant n’en fait pas partie.

    Bon ceux-ci piégés par les mirifiques propositions de l’Europe, comme du FMI, se livrent pieds et poings liés, alors que Poutine voudrait conserver ce diable de pays dans son giron, sous sa coupe, classique.

    Que Obama impuissant, à régler ses propres affaires  essai d’entraîner, les autres pays derrière sa bannière pour redorer lui aussi un blason quelque peu défraîchi.

    Triste monde, tristes sir ; Pauvre peuples.

    Shakespeare au moins avait du talent, et ses personnages sonnaient juste.

    Nos hommes politique d’aujourd’hui jouent  plutôt «  plus belle la vie » C’est pas beau hein.

     

    G.B.