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Le petit coin du râleur

  • Le grand vide

    Et puis plus rien,
    Je me sens vide et n’ai guère envie
    De ré-ouvrir ; le tiroir de la vie.
    L’ennui me sied, nulle volonté,
    Juste me cacher, fuir cette turpitude
    Humains je me soustrais à votre déclin.
    La terre à ses humeurs, le ciel se délivre.
    Hélas, nos regards ne portent plus.
    La mer fracasse ses vagues, et gagne du terrain.
    Et l’idiot fragile qui prétend au savoir
    Se targue de maîtriser jusqu’aux
    Plus lointaines contrées.
    Leur dieu aussi gagne en chemin.
    Et pour en finir plus vite
    Ils broient et tuent pour gagner un désert.
    Et ils causent, causent, jugent et décident.
    Ils se prétendent responsable,
    Ils le seront ; d’un désastre annoncé
    Et civilisations maintes fois recommencées.
    Nous on appartient déjà au passé.

    G.B.

  • Déjà ! pas vu passer le temps.

    Ben dites donc, pas vu passer le temps. Déjà 2020 pointe son nez, alors les années passent.
    Des jours heureux, d'autres moins.
    Des jours de pluie, et du soleil.
    L'homme cet être vil, continu à détruire sa planète.
    Nos gouvernants de plus en plus mis en cause pérorent en se gratifient de plus belle.
    Les médias ronronnent ou dégueule leur insipidités.
    Des politologues distillent leur insuffisance.

    Des Psychos-sociaux path tentent la bonne parole.
    Faiseur de magie le peuple doute,
    Alors quoi de changé en deux ans en dix ans.
    Si notre vieux monde pourri.
    Aussi des vœux tu parles.
    On y croit plus....
    Merci, bisous, merci.

  • Tiens 2018 !

    Bof voilà qui ne changera rien,
    Les années passent les jours s’écoulent,
    Les migrants fuient, les immigrés s’entassent.
    Les jours pleuvent leur lot de chagrins. Privé de certitudes.
    La terre absorbe, fume et parfois vomit son trop plein,
    Comme elle cache ses morts. En fuite, enfouie ; Inconnus.
    Ce que les riches entassent ; sur le dos des pauvres.
    Justice quand un enfant à froid et meure de faim ?
    Et nos dirigeants glosent, et comme les prêcheurs font des simagrées.
    L’homme fort rie et frappe, la femme crie et tempère
    Alors ces lendemains promis, ces jours meilleurs.
    Le philosophe raille le faible, se vautre dans le modèle établi.
    L’économiste tire les marrons du feu, et cherche les bénéfices.
    Il impose et sème sa litanie d’ordre. La bourse en profite.
    La terre pleure ses misères et inonde tristesse.
    À moins qu’un cœur trop sec n’enfume sa lourde carcasse.
    On prétend la nourriture trop riche,
    les pauvres fouillent les poubelles.
    Vous nous dites bonne année ; la santé surtout,
    Le malade coûte trop cher à notre honorable sécu.
    On change rien…

  • C'est un scandale...!

    Certe je suis un vieux con, et je le revendique.
    Désolé, jeunes gens, mais il y à quinze ans, vingt ans, Ces mots résonnaient.
    , Un certain Georges Marchais Secrétaire du PCF de l’époque aimait comme les journalistes vitupérer et caractériser les faits de son époque.
    Maintenant jeunes, maintenant les anciens, les affaires pleuvent, les faits de sociétés inondent notre sphère médiatique, bien pauvre d’ailleurs et seulement, toujours si un, des lanceurs d’alertes à corps défendant « balance » quelques affaires d’argent.
    Hier : Panama papers, aujourd’hui Paradise papers, bref l’argent salle, ce papier mal ou trop bien placé qui échappe aux fisc et mettent nos peuples en périls.
    Trois petits tours de médias et l’actualité passe.... .Un jour nouveau, Demain ce sera quelle appellation, le principe reste le même, les profits aussi rassurez vous !
    Et nos hommes politiques jurant mais un peu tard qu’on ne les y reprendrais plus.
    Ben Oui, bien sur, craché juré, si j ment je vais en enfer….
    Dormez sur vos deux oreilles, et en paix chers capitalistes, Un journaliste passe, trois petits tours et puis s’en va….
    Alors vous aviez dit c’est un scandale…..Il paraît que c’est ça l’Europe…Alors..


    G.B.

  • Tu ne seras pas un homme mon fils !

    La laïcité devrait être le terreau de la démocratie.
    Ou quand celui-ci ne laisse plus pousser que ruines et misères.
    Quand nos perspectives ; l’état raquette, ou l’état prison.
    Ou l’état de déliquescence, combines et exclusion.
    Quand l’avenir, se restreint à leur télé réalité,
    Vous réduisant à ces pires jeux de rôles.
    Quand votre rêve Internet, défie les consciences,
    Et, impose le virtuel au-delà des valeurs.
    Le temps de devenir sans avenir, celui des lendemains incertains.
    Quand vos certitudes oppriment les rêves.
    Que votre CAC 40 nous transforme en misère.
    Et tout votre argent roi, aux dépens des valeurs.
    Quand la terre appauvrie ne nourrit plus son homme.
    Et vos usines à bestiaux, dénient au temps son savoir-faire.
    Quand l’eau des mers et des rivières coule,
    Bayer ; Nitrate, pesticides et déchets.
    Quand la jeunesse crie son désarroi.
    Et que le rêve se shoot, cannabis d’avenir.
    Ou que caricature, la rébellion se termine en privation.
    Quand vous prétendez la hauteur, en rabaissant les peuples.
    Alors que vos banques se servent,et viennent vider nos poches
    Alors que nous, on trime, sue ; Crève misère.
    Ou défilent rejet, potion magique Pôle emploi.
    Que pourtant même les élus filent mauvais coton.
    Quand plus fort, les écoles distillent l’exclusion.
    Et ne sèment qu’incompréhensions,
    Quand vos médias, neutralisent l’opinion.
    Et en plus soumission. Paroles de sondeurs.
    Quand nos cerveaux sont vidés, nos idées rétrécies.
    Que vos dieux imposeront leurs lois.
    Quand on bétonne, on bitume les terres.
    Tout en faisant pousser l’herbe sur les toits.

    Alors des prêcheurs disposeront de toi.
    Tant que tu ne seras pas éduqué, conquérant et honnête.
    Tu ne seras pas un homme mon fils.

    G.B.


    N B . Ceci est un pastiche du célèbre poème de Rudyard kipling

  • J'en ai marre !

    Ça y est les putes de la presse à sensation ont encore frappé.
    Pardon mesdames j’ai plus de respect pour vous et vos pratiques que j’en ai pour ces publicitaires charognards.
    Hé oui comme dans la cour de récré de mon enfance, ; aujourd’hui je ne pratique plus ces cours.
    Bref ils sont tous là à se la regarder pour savoir qui à la plus grosse.
    Marre de ces footballeux de merde toujours prêt à se vendre.
    Sport biseness est ce là l’exemple à donner à vos enfants.
    Et royalement on jette en pâture de maillots vendus comme des petits pains 140 €.
    Moi ils ne me font pas rêver, ils m’insupporte. Et oui je sais que malgré tout des braves et petites gens se mettent misère pour avoir cette effigie sur le dos.
    Le mal est en nous, la peste gagne.
    De loin je préfère mes petits gamins de nos citées ; Guetteurs, et autres pourfendeurs de rêve.
    Dans quel monde on vit ! a ce titre voilà pourtant une bien bonne émission et cette petite Guilia Foïs. Sympathique, cultivé, drôle, parfois légere toujours percutante. Merci à elle.
    Tiens j’ai dévié, mais ces écoutes d’un autre niveau que ce pédant de Augustin Traquemard ; ou : autre tenancier de nos bistrots radio.
    Le Quatar Saint Germain, nous on s’en tape, alors messieurs les sensationnalistes, retrouvez cette étique et, dites nous la vraie vie.

  • Ce à quoi je m'engage.

    Voilà, Mesdames, Messieurs vous l’aurez compris en cette période de vœux, chacun y va de ses bons mots de ses prédictions de ses élucubrations, de sa volonté farouche à vous apporter tout ce que vous ne cherchez plus, bonheur, amour, bref déjà le ciel et les bénéfices de leur religion.
    Fadaise, de monts et merveilles, bref ils se font plaisir pour vous faire croire que tout ira bien.
    Bref, si tout n’est pas rose, d’aucuns prétendront changer notre vie.
    Personnellement je choisirais qu’elle ne changeât pas trop.
    Certes, mon petit confort, doublé de ma tranquillité d’existence font que je ne prétends à rien autre ; Au mieux une légère augmentation de mon pouvoir d’achat quelque peu érodé depuis trois ans ; période de disette et de restrictions budgétaires. Enfin pour le peuple, les nantis pour eux ça baigne.
    Pendant ce triénat mon boulanger s’est augmenté de 20 %, à moins que ce ne soit son grand moulin bref ! idem pour le gaz et l’électricité. Ils nous ont obligé de changer la télé, les ampoules de nos lampes, oh, nous aurions pu choisir de revenir à la bougie.
    Je sais l’Afrique peine à s’équiper. Pour nos marchands la rentabilité immédiate n’étant pas assuré, ils ne se précipitent pas sur ce marché.

    Coté de nos dirigeants, ceux des grandes entreprises ont vu leur rémunération multipliée par 600. C’est petit mesquin, il paraît qu’ils n’arrivent pas à la cheville des ceux-ce des Stats : Alors, hein bien sûr.
    Le chômage augmenté de 150 %.
    Le prix des transports à bien dû croître de 12%.
    Dans quel monde vivons-nous, on se le demande ?
    Bon cela dit les promesses pleuvent, en cette année électorale ce sera ceinture et bretelles pour les uns ; Et lâché du leste pour d’autres.
    Je ne crois plus en eux ils ont prouvé leur piètre utilité que seul les patrons reconnaissent.
    De baisses de charges en crédit d’impôts en cadeaux en tout genre. Merci patron.
    Or donc nous pauvres péquins, tous ces sans dents, ou pus la sueur, minables. Nous qui osons prétendre à nos RTT ; Nous qui sommes dirigés à coup de 49,3 ( c’est la température dans l’hémicycle, et la note de nos dirigeants)
    Nous rebelles avec pour seul pouvoir le pavé de la rue. Certes, le boycott existe, et est une arme redoutable, mais nos petites gens préfèrent le crédit, éducation et publicité, et système bancaires oblige ; Les salauds ils vous ont bien travaillés.
    Nous gens ordinaires sans avenir, même si l’on nous bassine avec l’évolution de notre longévité, voilà de la belle ouvrage, quelle chance, nous vivrons tristes, seul, chômeur, mais plus longtemps.
    Bravo la vie.
    Pourtant, que surtout qu’ils ne touchent plus à Notre SECU, à nos retraites.
    Bon pour ça je ne vous donne pas la solution, simplement, ouvrons les yeux, nettoyons nos oreilles.
    Ne vous en laissez plus compter par la télé, et ces médias ; Enfin les grands pontifes ; qui irradient nos cerveaux de leur venin.
    Partageons l’avenir en commun, offrons-nous ce luxe.
    Et bien sûr, j’ose croire encore qu’une autre voie est possible, que la gauche elle existe, que le peuple peut changer la vie, notre vie ; Offrons-nous nos envies. France insoumise et peuple souverain ; Allez debout.

    G.B.

    N.B : Les chiffres donnés ne le sont qu’approximatif, je ne suis pas économiste. Et l’insee calcule autrement.

  • La déculottée.

    Ainsi il faudrait, que au nom de je ne sais quel « front républicain » j’aille voter, pour défendre, voir soutenir cet esprit de gouvernement.
    Ceux là même qui depuis des années, prônent et distillent ; Austérité, mal vivre.
    Ils ont mis en place cette montée, cette poussée inexorable du Front National.
    Maintenant ils crient au Feu, et attendent que le peuple vienne par sa sagesse redorer l’état de la République.
    Ils nous font marcher, au nom de leur drapeau, au son de leur Hymne.
    Aujourd’hui, deux fronts mettent la nation en péril.
    La poussée extrémiste, avec la radicalisation de certains jeunes, délaissés, oubliés par cette République, récupérés par des croyances d’un autre age.
    Les autres, ces « petites gens » lassés par leur ouverture des frontières.
    Ces moins que rien, ballottés de petits job, en vie de galère.
    Ils ont joué avec le feu et tel le pompier pyromane, ils crient alors que l’incendie fait rage.
    La France, comme les autres états de la « globalisation », de la misère sociale.
    Ces pays, dirigés de l’extérieur, par des forces du profit et au nom de leur rapprochement, ils écrasent nos consciences, et musèlent nos critiques…
    Ils nous privent de nos valeurs.
    Etat d’urgence, oui il serait temps mais , urgence sociale.
    Voilà pourquoi je ne répondrais pas à leur attente.
    Je ne suis pas un pion sur leur échiquier.
    Aussi, s’ils peuvent envoyer leurs porte-avions, leur armé contre cet ennemi qui les mine.
    Ils ne pourront pas influer sur un état d’esprit. Un état critique.
    Fut-il néfaste et dangereux comme celui que représente le populisme.
    Le monde court à sa perte, ils ont déréglé le climat, ils ont réduit l’humain à l’état de bêtes
    Comment redonneront-ils une conscience aux individus.
    Allez réunissez-vous, le ballet de vos grands guignol est trop beau., et vous pensez ainsi être sur le devant de la scène. Triste sir.
    À VOTE !

    G.B.