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Corespondance - Page 2

  • Repose en paix.

    Ça y est on y va !

    Alors Vincent, voilà combien de temps que tu attends..

    Tu étais un « casse coup », toujours prêt à dépasser les limites.

    Tu étais  baroudeur ; mais aussi, père tranquille, tu aimais la vie mais aussi  les défis.

    Sans limites tu bravais, un peu les interdits.

    Conquérants tu ne vis pas ce dépassement de trop.

    Tu ne compris pas le choc.

    Tas de ferraille, toujours présent, tu ne pouvais cependant plus percevoir, la caresse du vent, l’horreur  du moment.

    Tu reposes, corps inerte, pantin, sans ses liens, juste ces sondes, et toutes ces alims, ils te voulaient branché.

    Ta femme, ta famille t’ont apportée des paroles de réconforts.

    Tes amis ont veillé, ce corps inerte, ce cœur qui continuait de battre dans le vide.

    Tu étais encore, pourtant plus jamais là.

    Etre de chair et de sang, sans émotions, sans compassion.

    Tu ne vivais plus, juste objet de recueillement, mystère d’une présence sans répondant.

    Protégé, sécurisé, ils attendaient un geste toi.

    Corps mort, sans esprit, tu gisais cette longue agonie.

    La médecine et la science, te tenaient par un file, habile marionnette, tu respirais sans vie.

    Qu’attendaient-ils pour te laisser reposer, pourquoi  voulaient ils  croire une résurrection possible?

    Ils espéraient un signe de toi, ne voulaient pas  te laisser partir.

    Pour certains entre ciel et enfer, comme cette pendule, incapable de donner l’heure, mais dont le tic-tac rythmait les jours, présent dans cette absence, tu n’étais plus, mais représentais une cause à tout jamais perdue.

    Des années d’une attente, des moments de souffrance, pas toi tu étais parti, mais ils te voulaient, telles les cendres que l’on garde, ironique présence d'une personne qui n’est plus. Demain enfin, ils te laisseront reposer.

    Demain, mais il n’y avait déjà plus de demain.

    Repose en paix.

     

    Salut Vincent.

     

    G.B.

  • Morts à balles réelles !

    Et l’opinion mondiale continue de se taire, de laisser faire.
     
    Certes, l’Irak, la Libye, quelques dégâts collatéraux en Afghanistan...
    Évidement L’Iran hier honni, aujourd'hui presque courtisé.
    Bien sûr ils ont raison les défenseurs des droits de s’élever contre quelques débordements en Ukraine.
    D'Accord les droits de l’homme bafoués en Chine.
    Tous en appel à l’ONU, aux organisations internationales.
    Les journalistes aux ordres relèvent à peine un mort, ou deux, tués « à balles réelles »...
    Hier comme aujourd'hui Israël, muselle, tout un peuple.
    Israël, envoi ses avions contre quelques jeunes manifestants.
    Maintien un peuple sous sa coupe, dans un immense camp de concentration.
    Les exactions subies hier reproduites par eux, et depuis combien de temps.
    Honte à ces Sionistes vengeurs, hier victimes, aujourd'hui bourreaux.
    Honte à leur suppôt, qu’ils soient des Etats Unis comme des banquiers internationaux.
    Honte à nos dirigeants soi disant civilisés, républicains ou démocrates.
    Je ne suis pas anti-sémite, mais je crie mon exaspération, de ces mondes, ou l’ordre règne quand ça les arrange.
    C’est donc ça votre modèle !
     
    G.B.
     

  • Ils prennent les peuples pour des CON !

    Cher ami lecteur, et lecteurs.

     Je ne voudrais pas insister, mais, si par hasard, vous n’auriez pas compris, si dans votre monde, vous ne seriez pas au courant.. Si dans les stratosphères de nos médias ; petit monde ouvert proche du vide.

     Que vous soyez, Sourd, malentendants, aveugles, voir un peu hors du temps

    Excepté, nos braves ;  Vincent Lambert ou son compère  Michael Schumacher, quelque peu en marge, dans leur monde s’il en est. 

    Si, sur votre île déserte, sans autre communication que ce coquillage qui vous renvoie le bruit des vagues, le vent qui souffle et déplace le sable.

    Si vous n'aviez pas par hasard, au coin de votre rue, voir sur la place de votre village, vu  ce mur de panneau. Mur d'images, mirage aux alouettes ; promesses, qui dit mieux !

    Dans ce monde ou la presse, dite papier laquelle se meure, si cette même presse, prompte à nous informer, se positionne, sur la nouvelle toile d’internet, cette toile d’araignées.

    Ce réseau tissu, de brèves, de nouvelles, de ces restes de nos médias.

    Ah la terrible image de l’œuf et de la poule ;  Qui le premier….

    Idem est-ce le journaliste qui crée l’information, ou le lecteur  qui reçoit ; terrible révélateur.

    Bon notre air du temps qui chaque soir devant la télé, terrible somnifère, pourtant ce besoin d’écoute qui nous oblige de l’allumer. Illusion de partager ce monde, de zieuter le malheur des autres, d'entendre les meutes qui hurlent au passage des caravanes.

    Pourtant nulle n’y échappe, les élections à venir emplissent, inondent notre entendement. Percent nos tympans, déchirent nos timides croyances.

    À en devenir hostile. Non stop, assez pas encore.

    Alors qu'ils prétendent orienter nos choix, ils attendent que nous prenions positions.

    Ils veulent nous motiver.

    Et blabla et patati et patatras.

    O dieux que c’est odieux, ce fatras, 

    Tout cela pour nous embobiner, susciter en nous un désir, une envie.

    Merde faites chier avec votre connerie, de toutes façons vous ferez bien ce que vous voudrez,  tiens en 2007, le peuple avait dit NON, nos dirigeants et les autres ont tergiversé détournés le résultat et fait passer malgré les peuples, leur traité et glorifié, promu, mis en place cette gouvernance, contre nous.

    Bref, électeurs, on vous prend pour des CON, et pour habiller tout cela et vous culpabiliser, on parle de droit démocratique ; la démocratie sert nos dirigeants pour lier leur sauce ; et les peuples subissent, trinquent et au final doivent payer la note.

     Alors vous avez dit « élection Européenne »,

    SANS MOI.

    NON Merci.

     

  • Désir d'oubli,

     

    Désir d’oubli, l’ombre s’estompe,

    Pensées vagabondes, qui s’agitent

    .Le temps pourtant  souffle ses braises,

    Le vent de nos tempêtes

    Emporte les parfums de notre histoire.

    Ton image hypnotise mes rêves.

    Ton absence comme ironique présence.

    Toi cet astre qui brillait dans ma vie.

    Étoile filante, ou simple nébuleuse ;

    Tu m’as jeté néant, comme au fond de ce puit.

    Perdu dans cet univers frileux,

    Happé par ton vide, comme désert de vie.

    Figé l’amour, pour toujours disparue,

    Et sans toi obscure complot

    Je me rejoue sans cesse

    Cette scène, atroce punition,

    Dans les profondeurs de la vie

    Ton manque, comme une blessure,

    Le temps cicatrise la privation

    Notre passé habite mon présent.

    Ton miroir désormais sans visage

    Tu étais histoires, comme un grand livre,

    Tirée juste pour moi, fatale obsession.

    Et toutes tes pages, comme pour jamais écrites

    Jauniront sur les étagères de ma mémoire.

    Tu avais voulu y poser le mot fin.

     

    G.B.

     

     

     

  • Ami, rempli mon verre,

    «  Amis remplis mon verre, encore un et je vais »....

    Divine supplique, ce petit plus qui vous soutiens.

    Cette part de soi, inhibé, révélée, transcendée.

    Douceur exquise, tendre félicité.

    Délicatesse d’un soir, comme fidélité, un peu complicité.

    Cette chaleur qui vous pénètre, comme ami qui accompagne notre ennui.

    Ah le doux moment de l’oubli.

    Oui je te sens me prendre, perverse et tendre

    Comme un présent qui se donne à nous.

    J’aime nos étreintes, Comme une amicale complainte

    Tu es la caresse de mon oubli, désir inassouvi.

    Tu me tiens, promesse, histoire de toute une vie.

    Éphémère contrainte, tu rançonnes mon ennui.

    J’aime ta compagnie, comme qui dirait ami.

    Tu es un peu ma gloire, mais aussi un défi.

    Ivre, je ne suis plus, simplement je suis pris.

    Ce double dans ma vie, je suis assujetti.

    Je ne puis résister, aussi laisser aller.

    Pénétré, enfermé, comme un peu isolé.

    Faut-il qu’il m’en souvienne,

    Comme un péché ; ma vie.

    Même un peu éméché, j’arraisonne ;

    Illusionne, et comble ce manque.

    Révélateur, tu es ce double fidèle

    Ce besoin d’être, comme un désir d’oubli.

    L’abstraction du néant, comme reconnaissance de vie.

    A moins que simple déni,

     Tu n’en es pas moins comme une douce complice

    Tu es même un devoir, il faut bien exister.

    Aussi tu es compagne, pour un bout de chemin.

    Je vis ton souvenir, et me noie dans l‘absence.

    Pourquoi es tu partie.

     

     

  • Miroir brisé

    Oh ma bonne amie je te sens si perdue.

    Ta tète est le creuset de milles troubles,

    Tes volontés terriblement changeantes,

    Tu inclines toujours pour de nouveaux penchants.

    Tes désordres, contrastes ton image,

    Grande et belle fleur élancée,

    Pourquoi tant de fragilité.

    Tes raisons que l’on dirait perturbées

    D’où te viens ces amers pensées,

    Qui t’as ainsi blessé

    Pourquoi cette indicible rancœur,

    Quels troubles souffrent dans ce cœur ?

    À quand remontent ces dégâts dans ta vie.

    Qui à dressé en toi comme une fleur flétrie

    Quelles embrouilles génèrent tant de dilemme.

    Petite fille qui cherche dans son miroir brisé

    Tants de réponses à des questions  à jamais refoulées.

    Alors ; Un morceau, une trace, d’une jeunesse effacée.

    Tous ces éclats révèlent de  multiples facettes.

    Tu ne sais lequel servirait à te recomposer.

    Il faut te reconstruire, depuis le temps,

    Que tu traînes ton trop plein d’ennui,

    Tes portes se sont fermées,

    Qui saura retrouver la clé.

    Les années ont passé, tu les as traversées,

    Toujours tes ennemis que tu pensais pouvoir bouter

    Mais, prise de tète qui peut t’avoir trahi

    Jetée, ruinée, vraiment un beau gâchis

    Et cet enfer menant des prisons de ta vie

    Aux barreaux de ta geôle.

    Pourtant tu n’es pas seule,

     Certains qui t’aimes ont besoin de toi.

    Allez ressaisis-toi.

    Fais que tous ces verres cassés te retournent,

    De leurs milliers de feux,

    Comme un nouvel éclat.

     

    G.B.

  • Pauvre Monsieur Sarkozy......

    Je retranscris ci aprés l'intégralité d'un billet donné par une voisine.

    Le contenu pour amusant qu'il soit me semble éloquent, et je vous fais partager.

    Pauvre Monsieur Sarkozy,

     Permettez à une grand-mère de 77 ans de vous interpeller.

    Vous devez être, bien mal entouré et vos ministres pas très dégourdis.

    J’ai travaillée toute ma vie comme serveuse, et croyez moi à l’époque nos maîtres étaient dures, et il fallait se lever tôt.

    J’ai aussi élevé mes deux enfants seule et sans beaucoup d’aides.

    Je suis fière de pouvoir dire qu’aujourd’hui ils travaillent tous les deux, et m’ont donné de beaux petits enfants.

    Pourtant je vous écris car retraité je gagne 1000 euros par mois, croyez moi il faut pas faire de folies, car même si mon loyer est pas trop chère il me prend quand même la moitié de ma pension, et je ne touche que 25 euros d’aide pour mon logement, pourtant je ne dois rien à personne.

    Sans compter que la mutuelle comme les médicaments c’est très cher.

    Alors mes petites filles disent que vous voulez encore augmenter la TVA.

    Moi j’ai votée pour vous en 2007, vous disiez améliorer ma vie et nettoyer ma cage d’escalier de tous ces jeunes qui font rien de la journée que du bruit avec leur scooter, et qui me traitent de vielle folle.

    Dites à vos ministres que nous les vieux on peut plus vivre.

    Mes petites filles disent qu’il faut pas que je vote pour vous, que vous prenez tout l’argent des pauvres, que vous appelez ça la TVA sociale.

    Comprenez Monsieur Sarkozy que je sais plus quoi faire, et en plus il parait que vous voulez vous débarrasser de nous, c’est pour ca que vous avez fait la grippe H1 je sais plus quoi, que madame Bachelot elle voulait tous nous piquer.

    Je vous en prie arrêtez toutes ces bêtises qui nous embêtent.

    Excusez une vielle dame de vous avoir dérangé.

    Au revoir Monsieur le Président.

     

    Georgette.

     

     

    P.S : J’ai demandé à ma petite fille de taper cette lettre sur l’ordinateur pour qu’elle soit plus propre."

  • Bien sûr Agnes et tous les autres.

    Messieurs le Censeurs

     

    Je comprends que la terrible affaire du viol et du meurtre de la petite Agnès, mette le monde en émoi, cependant Messieurs les « politicards » arrêtez un peu votre cirque.

    Il est vrai, l’histoire est non seulement terrible et cynique, certes le meurtrier présumé, jeune de 17 ans surement récidiviste mérite les poursuites appropriées.

    Pourtant déjà le voici jugé et condamné, livré en pâture à l’opprobre populaire et aucun jury ne pourra ne pas tenir compte de ce fait.

     

    Alors un peu de retenu.

    D’abord que notre justice fasse son travail et en ait les moyens.

    Ce jeune placé sans jugement, peut-être dans une structure pas appropriées pour sa situation, néanmoins, que vous fîtes grands tapage après chacune de ces déplorables affaires, que  nos ministres fassent une surenchère de textes législatif ou autres déclaration d’intérêt je m’offusque car quand un automobiliste sous quelque emprise qu’il soit, parfois aucune, fauche des enfants, des familles, là nos dirigeants, notre justice se montre bien magnanime, et les journalistes bien peu prolixes.

    Or donc, la vie des uns vaut-elle mieux que d’autres.

    La manière de tuer ?

    Bien sûr vos hommes en Libye ou en Afghanistan, voir en Côte d’Ivoire, avaient pour mission, de tuer et d’éliminer.

    Raison d’état.

    Que quelque déséquilibré, dans un monde, ou la surenchère de combats, de vindicte, de violence rythme notre vie.

    Même vos jeux sont des combats.

    Alors faut-il être engagé ou avoir un volant pour avoir le droit de vie et de mort.

    Est-ce là votre force.

    Moi je m’interroge

    .

    G.B.