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  • Moi, quand je serai président !

    Rêve ou vision angélique !

    Voilà que notre Président, Triste sir, miné par l’esprit publique,

    Pourfendu par la critique,

    Harangué par les foules.

    Moi, Président, mal aimé.

    Responsable, et si mal entouré.

    Moi, Président bafoué par les sondages,

    Lui , président, la coupe est pleine.

    Certes, les Or de l’Élysée, vu le faste de la fonction.

    Moi, Président, haï de tout un peuple,

    Lui, responsable brocardé par les siens, hué par les autres.

    Lui, Président, vous allez voir ce que vous aller voir !

    Lui encore Président, l’orage gronde et les foules se lassent.

    Lui toujours président d’une triste minorité.

    Lui socialiste, Énarque, ayant dupé son monde pour gagner ce pouvoir.

    Lui attaché aux services et lié par la finance.

    Lui, putain, encore deux ans pour que carpette France

    Serve de paillasson à l’Allemagne et au monde.

    Lui, responsable d’un déni de représentation.

    Petit serviteur, minable représentant.

    Pour lui la place est bonne, mais dort’il bien la nuit.

    Lui un passé en morceau, un avenir incertain ;

    Rejeté, haï, serviteur un peu vil.

    Lui, il se nommait François, on l‘aura vite oublié.

     

  • Le temps de la Gestapo !

     Allons donc,

    Que l’on demande aux hôteliers de signaler, la présence de certaines catégories d’individus.

    Que dans un arrondissement Parisien, la police demande de ramasser, faire la chasse à tous les traînes misères.

     Sans oublier, et ce n’est pas d’aujourd’hui ; à Nice ou bien ailleurs tous ces décrets pris contre, ou la mendicité, ou les « sans logis. » Histoire de ne pas porter tord, ni préjudice pour Nos touristes. Et puis cela dénote dans le décor tous ces tristes êtres.

    Pour les, ceux-ce qui peuvent ramener de l’argent.

     Haro sur la misère.

    Certes, comme l’on ne peut se battre contre ce triste lamentable phénomène.

    La misère contre pied de cette richesse, arrogante, que les riches et leur représentant au pouvoir veulent nous cacher ; Comme pour la soustraire.

     Pauvres, rejetés, vous le savez que vous n’êtes pas bien vu.

    Qu’ils soient Roms, Bulgares. N’en sont ’ils pas moins EUROPEEN.

    Ne sont-ils pas HUMAIN.

     Comme les simples travailleurs de nos usines, même combat.

    Au moment où l’on parle du triste souvenir de l’hôtel Lutétia, fermé pour rénovation.

     La police, comme aux pires moments de Vichy, se fait les basses œuvres exécutrices d’une politique de chasse à l’homme. Nos camps d’internements existent déjà ; ils se nomment camps de transites, ou centres de rétention !. Et nos prisons sont pleines.

    Oh France de Jaurès,  J’ai honte pour toi.

    Pays des droits de l’homme (à condition qu’ils soient riches). Déjà que ces riches tout puissant délocalisent et ruinent notre économie, notre pays pour raisons gardées, Les charges, vous savez celles qui pèsent pour les patrons, Voilà l’œuvre de misère en marche, voilà  encore des futures exclus.

    Hier l’ancienne Seita bradée à Tobacco, je ne sais quoi et qui ferme ses sites de productions.

    Demain ces Fagor Brantd Vendu à un puissant financier Algérien ; et qui bientôt ajoutera son lot de plans sociaux.

    Hier, toujours Les Salaries de VIVENDI SFR, bradés pour, « restructuration » offert à un magnat de la finance international, que restera-t’il des emplois ?

    Combien de nos richesses, de nos usines, de nos emplois jetés pour cause de délocalisation.

    Tiens en Pologne. Des emplois jetés comme des vieux Kleenex. Pour des salaires à pas cher : Camarades la misère gagne.

    Au début du XX eme siècle, c'étaient les Polonais, Les Italiens et tant d’autres qui venaient nous offrir leurs bras, leurs vies pour construire ce qui fut la France.

    Aujourd’hui vendu aux Américains, bradés aux Allemands ; Ce qu’ils n’ont pas réussi à faire en 14 et en 40, à lieux aujourd’hui. Le marché commun, l’Europe des Nations ; Un marché de dupes.

     

    Dites STOP.

    Peuple je sais que tu descends dans la rue.

     Ouvriers, employés, Hommes femmes, citoyens et républicains.

    Peuple de Gauche, Déjà tu rejettes les urnes et leur verdict, très bien.

    Il faut faire plus et entrer en guerre contre la finance.

    Je sais que certains consomment déjà minimum, il faut nous qui avons encore un peu de moyens, mettre à genoux ces riches flambeurs, les étrangler, leur rendre la monnaie de leur pièce.Et que le Cac 40 soit divisé par deux. Faisons-nous les chevaliers de la décroissance..

    Notre charge devra les faire pliés.

     

    Tiens Patrons, cadeaux….

     

  • Humeur du jour !

    Et donc notre quotidien reprend le dessus.

    Besoin d’assurer la transition entre ce jour et son lendemain. Histoire de gérer une continuité.

    De retrouver cette stabilité, cette offre imposée, cet ordre du jour au lendemain.

    Ah oui ! Les valeurs ; le sens des mots, le rythme d’une phrase.

    Ce besoin d’enfanter un jour nouveau. D’exister, de se révéler.

    Tiens comme ça hier dans cette manif, contre, pour,  qu’importe j’y étais.

    Anonyme, un parmi d’autres, un entre ces 2500 remarqués par nos CRS Compteurs, et ces 100.000 reconnus par des organisateurs, pas très organisé.

    Un début qui n’en finissait pas de démarrer, semblant attendre, quelques impulsions. Un mot d’ordre. Un chef ; une tète.

    Pourtant des gens, cette foule qui piaffait, prête à en démordre, volontaire pour en découdre.

    Arrogante envers ce pouvoir qui les malmène.

    Intransigeante, face à ce défi, cette Euro-punition imposé par un régime en mal de fric.

    La domination se cet argent roi !. Money  is money.

     

    Que vives et leur servent les dividendes, pendant que d’autres tristerons leur quotidien, cherchant, même pas à joindre les deux bouts, juste d’assurer une subsistance, service minimum. Juste à vivre encore un peu.

    .

    Et comme d’habitude l’on nous annonce des cadeaux, Milliards pour les patrons, La générosité coule à flot, pendant qu’ils cherchent,

     Milliards d’économies, de restrictions, de coupes sombres.

    Ce monde coure à sa perte, notre planète déjà gâtée par leurs saloperies réduisant notre potentiel de vie.

    La température se réchauffe.

    Les dividendes s’accroissent. La misère explose, les riches pavoisent.

    Terre de tous les défis j’ai marché pour toi, pendant que d’autres marchent sur la tète.

    Comme, et avec d’autres je me suis levé.

    Demain, ne sera pas pour moi, mais pour nos enfants, et quelle sera la mesure de la dette que nous leur léguerons.

    Celle des banques, ou celle de notre climat.

     

    Pourtant ils, certains ont voté. Ils disent démocratie.

    Beaucoup se sont abstenus.

    Certains sont descendus dans la rue manifester.

    D'autres, ont regardé la télé.

    Et vous ?

    Alors !.

     

    G.B.

     

    .

     

     

  • Bientôt les Européennes !

    L’aventure, c’est l’aventure !

    Je vous sais anxieux de connaître les suites de notre super production ; Après les municipales, on fait quoi ?

     D’abord, le grand ménage dans nombres de nos mairies. Un grand classique.

     Tant de dossiers sensibles vont devenir « secrets défenses », et rejoindre comme le « Bugaled Breizh » les profondeurs et de l’océan et de notre  haute stratégie du savoir faire «  made in France ».

     Ensuite vint la Valse des étiquettes, et il n’y aura pas de Valse hésitation.

     L’un se croyait un « Héros », pôvre  Jean Marc,  enlisé dans la boue de son aéroport de Notre dame des Landes; lâché, jeté par NO Lande. L’autre surgit et en trois tours de piste, un nouveau « petit Sarkozy »  qui reprit du pouvoir.

    Ô roms, roumains et autres Bulgares, prenez garde, déjà dans le collimateur ; tous pris pour des voleurs de poules incapables de vous intégrer.

    Profitez, notre nouveau premier sinistre Hidalgo, Hollandais aura plus à faire pour rentrer dans les cordes Européennes que de vous poursuivre de sa vindicte.

    Bref un répit pendant qu’il se débat dans le fiasco d’une Europe en 28 morceaux, pendant qu’il cherche à placer le prix de son autorité, et  la « grandeur de la France »

    Donc trois petits tours de Valse ;  Lequel promet de diviser nos régions par deux, de supprimer les départements. Croyant ainsi régler notre, enfin leur dette.

    Le sujet pour audacieux qu’il soit ne présente pas une affaire il y a longtemps que nos jeunes ne connaissent plus ceux-ci encore moins préfectures et sous- préfectures. Alors ?

     Cela se nomme «  la réforme des rythmes scolaires », ils disent qu’ils travaillent trop !

     Bon Manuel tel le torero tu comptes affronter le taureau France, et de piques en banderilles tel Carmen tu nous la chante belle.

    Et tes passes d’armes n’amuseront plus le peuple, lassé du grand guignol de la république.

    Vives la France, Vives le peuple Français.

    Et pour les Européennes on fait quoi ?

     G.B.