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  • Et oui !

    Vives L’info, vive France 2 et le service publique.

    Ce soir, 20h  par hasard, mais comme tous les autres, j’écoute les infos.

    Et puis c’est la « petite Drukker » pas si mal, pas trop tarte, le sourire en prime.

    Oh putain un sujet épineux, les retraites, j’en suis ;  Sans me sentir concerné, je voudrais bien savoir ce qu’ils vont encore inventer pour le pauvre peuple, peut être même contre. Il  est vrai on entend plus souvent parler des parachutes dorés et des retraites de nos dirigeants d’entreprise ; Attention, les grosses, celles du « Cac quarante » comme ils disent ; Notoriété oblige.

    Bon si récemment une enquête de l’INSEE, révélait, pourtant une disparité des revenus, tiens donc ils semblent s’en apercevoir !

    Un monde ! enfin plutôt deux mondes les toujours plus riches, les encore plus pauvre.

    Donc les retraites d’ici… 1 français virgule deux travaillera pour :  un qui lui travaillera plus et patati et patata, la grande réforme du quinquéna de Sarkozy ; Oh merde s’il continu ses réformes comme il  les à commencés, ça va faire mal, bouclier fiscal oblige. Et puis faut qu’il fasse oublier la déroute des Cantonales.

    Question retraites, on comprend que les jeunes n’aient pas envie de bosser.

    Y pouvait pas être dans l’avion Polonais, avec Carla,  Rachida, on aurait pu aussi y voir Besson et l’intérieur, l’autre affreux  Alte au feu.

    Je m’égare, donc vos retraites suite deuxième, comme dirait Besson, non Pas Eric, L’autre le pur Luc le mal coiffé, vous savez : Subway ;  le Grand Bleu ;  Le dernier élément ;  Nikita.

    Et puis pour nous prouver, nous suggérer, incidemment on nous emmène ailleurs ;  Histoire de nous dire, attention à ce qui vos attend, ah le anciennement mirifique modèle Suédois… tiens encore.

    Fort  heureux qu’ils ne nous trimbale  pas au Japon nous présenter le  fameux modèle Nippon !

    Donc ce qui vous attend ; permis de travail à point qui vous octroierait une retraite par capitalisation, bon avec un zeste de répartition en souvenir, et plus fort ;  tous les ans on saurait où l’on en est, comme en taule, oh merde encore quinze ans à tirer !

    ·        Suivait, je sais plus quoi de la Shoa, encore un anniversaire ;  les justes, Israël, finalement on s’en sort bien, car pour continuer c’était la page Haïti ; Tout le monde est effondré, heureusement des petits Français bien mis, bien gentil, propre sur eux vont dans le cadre d’un service civique, apprendre l’histoire de France et à parler aux jeunes Haïtiens désoeuvrés, c’est idiot qu’ils aillent si loin  ; on a les mêmes chez nous, dans nos cités. Et pour vous finir, une page sur la maladie de Parkinson, avant la retraite ça peut vous arriver…….

    Oh merci le service public pour ces infos.

    ·        Car ensuite suivait je ne sais quelle série Américaine à la con.

    Je hai la télé…connerie.

    Et pourtant je reconnais, ces deux chaînes du service public sont les meilleurs du Paf, c’est peu dire de la merde qui inonde les  z’auditeurs des z’autres chaînes.

    Dans quel état sont nos pauvres compatriotes, on comprend que Sarko ait été élu, il est encore capable de repasser, les pôvres.

     

    12/04/2010.

  • Balade au Parc

    Un dimanche comme les autres.

    Enfin il faisait beau en ce dimanche qui était un lundi d’ailleurs ; mais jour féries ; Pâques oblige.

    Les promeneurs allaient heureux, vivant ces moments de liberté retrouvé, des instants de fainéantise ; Ces moments de printemps, ou même en nous, cette sève qui montait et nous  revigorait, celle-là même qui donnait feuilles et bourgeons aux arbres, qui recouvrait la terre d’un tapis de verdure, parsemé de petites fleurs bleues, pour les violettes les boutons d’or brillaient et tant autres teintes, même les primevères étaient là ce jaune timide parsemaient les pelouses, celles-ci bien verte encore toute fraîche de cet hiver qui n’en finissait pas, nous rappelant certains matin par une bise froide qu’il valait mieux rester emmitouflé dans la douceur des couettes ou des parkas pour les plus téméraires.

    Dès l’aube pourtant les joggeurs dénouaient leurs muscles d’étirements en course folle, comme pour se libérer de cette longue nuit que leur corps a traversé. D’autres casse-cou dévalaient les allées sans retenue, pédalant comme si ce mouvement cette vitesse les porterait au-delà d’eu même, transcendé, l’œil exercé à détecter ce qui gênerait leur course folle, un caillou un chien, un piéton aussi.

    Donc  chaque un vacant à ses activités, je déambulais, tranquille, aucun vigil, à, l’entré n’ayant réfréné mon élan.

    J’avais été la veille interpellé et sermonné par deux individus type vigile, aux couleurs du SAN.* Oh pas bien méchant juste des employés voulant faire preuve de zèle, c’était leur mission ; Faire respecter le règlement ! seulement deux pauvres individus lâchés dans l’immensité de ce parc sans même un vélo ou vélomoteur pour faire le tour, aller débusquer les récalcitrants, ne parlons pas de ces quelques tètes brûlées se jouant des autorités, de toutes autorité et,  venus frimer sur des scooters ou autres petites moto. Enfin bons plus bêtes que méchant.

    Donc je fus interpellé et rabroué :  « Monsieur, s’il vous plait, les chiens doivent être tenus en laisse, c’est le règlement….. »

    Ne voulant pas envenimé, arguant que cela faisait 15 bonnes années que je me promenais ainsi dans cet espace de notre délicieux parc.

    Qu’ils feraient mieux de s’en prendre aux bandes, ou de ramasser les canettes oubliées qui jonchaient pelouse et sous bois ; souvenir d’une précédente beuverie.

    Bref ils avaient réussi à gâter ma bonne humeur.

    Certes c’est plus facile de s’en prendre à un petit vieux sans défenses qu’à des groupes de jeunes rebelles organisés.

    Enfin, ce jour-là liberté, nos vigiles avaient disparu.

    Et  notre parc, car depuis que je m’y promenais, j’en étais à ma troisième génération de chiens, et comme je disais j’en connaissais tous les brins d’herbe ; bref je me l’étais approprié, comme j’en avais fais mon territoire mon ère de jeu, le but de mes sorties, et aujourd’hui il  avait repris ses airs de festivité, des familles errant, qui jouant au ballon, d’autres,  poussette en avant sortaient la progéniture, surveillant l’avant dernière sur son tricycle ou le vélo, la guidant dans les ornières du chemin, comme elle le sera sur les routes de la vie, apprenant la vie des grands.

    Les tambours avaient fait leur retour rythmant nos pas de leur lancinant boum boums.

    Partout où nous étions, ils nous poursuivait impitoyable, sans rythme, au seul résonnement de leurs désoeuvrement, saccadant notre marche nous donnant le pas.

    Les premiers « barbecues » avaient fait leur réapparition, l’odeur des viandes grillé nous poursuivait nous obligeant de remettre nos chiens dans le droit chemin. Bien sûr leur flair,les attirait ver ces festins possible.

    Enfin autant de chose sympathique, prônant le bien-être d’une journée où chacun s’est lâché, ou tous retrouvons notre coté de primate, oubliant la hiérarchie reniant l’organisation rationnelle, le dirigisme étatique, patronal. L’individu se retrouve autour du feu et recrée le partage du festin.

    Oui il est beau notre parc, ses arbres centenaires nous indiquaient l’humilité ; le passé exposé, comme des pages d’histoire, de notre histoire, celle des générations liées par cette terre.

    Oublié la grotte aux ourses, celle-ci ne fait plus recette, abandonné par l’homme, qui mesure sa puissance, son emprise en prenant de la hauteur, seul compte maintenant cette pseudo perspective d’une visée prolongeant le regards des totems, nos twin towers, jusqu’à la Marne, plus même la base de Vaires.

    Ridicule Illusion d’optique, regard porté par nos hautes sphères bureaucratique, tentation de laisser son empreinte, de marquer un éphémère passage.

    Combien de responsables sont venus refaire, défaire ce que d’autres avaient commencé.

    Des arbres plantés, coupés ou déménagés à grands frais pour……la postérité.

     L’homme si grand si fort, et pourtant minable, mesquin, prétends régenter, dominer braver la nature, oubliant que celle-ci ne l’avait pas attendu, ; Mais les deniers publique utilisés sans compter.

    Voilà où allaient mes pensées, comme mes pas libres ou mon chien sans laisse.  

     

     

     

     

     

     

    • = Sacage des Abres à Noisiel.

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