Bonjour,
Bon tout va bien, la France, au Brésil comble ses plus fervents supporter.
Les cheminots de ces S N C F, en pertes de vitesse dans leur mouvement ; il semble au vu des restes voir des aboutissements des dispositions, prisent, presque codifiées dans la loi et mis en forme par un gouvernement aux ordres de Bruxelles, de l’Europe, en position pour une ouverture à la concurrence, donc taisez vous et laissez faire !.
On pourrait tel dans nos casinos dire « faites vos jeux, …les jeux sont faits ». Mais en opposition, avec cette véritable notion de service public.
Et voilà, notre histoire, notre richesse, notre gloire livrée à l’étranger.
Tiens comme Alstom, un fleuron, bon, nous avions perdu, la Sidérurgie offerte à « Mithal » géant indien., et tant d’autres de nos richesses.
Dans le puzzle mondial la France livrée pièce après pièces aux financiers internationaux.
Nos ministres, comme à la découpe cèdent pas à pas, notre patrimoine, notre histoire.
Fini cette terre industrielle, fini, ce qui fait la richesse, et génère du P.I.B, vous me direz, il nous reste AIRBUS, cette vitrine technologique Française.
Oui, bien sûr, notez que je ne suis ni économiste, ni impliqué dans les affaires.
Juste une voix, plutôt un regard, parmi d’autres.
Un pas grand-chose mais qui ose dire tout haut ce que d’autres taisent, ou font semblant d’ignorer.
Aussi, oui je soutiens les mouvements populaires, les salariés qui luttent pour, leur survie, et qui essaient de sauver ce qui reste de nos acquis.
Oui, nos intermittents, ceux là même qui font le spectacle luttent encore courageusement.
Demain, nos enfants devront se contenter de petits boulots, de spectacles a l’Américaine, et de malbouffe généralisée.
Voilà, Triste vie.
G.B.