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  • L'ingenue !

    Etendue, détendue, à moitié nue,

    Elle avait le regard perdu,

    De quelqu’un qui attend l’air serein.

    Elle sentait percer sur elle comme un regard.

    Emue, troublée, elle n’avait d’autre envie,

     Que se laisser aller, conquise, caressée

    Par le souffle du vent, comme bercée par la brise

    Et qui sait peut être, enfin se perdre

     Comme prise, au détour d’un chemin.

    Libre étreinte, l’indécence la surprit

    Se savoir ainsi, offerte aux passants.

    Ne se troublant pas elle garda la pose,

    Qu’importent les mauvais esprits.

    L’herbe fraîche et tendre la reprit.

    Qui semblait préférable à tout autre destin.

    Elle était vraiment seule dans ce petit jardin.

    Il n’y a pas de mal à se sentir si bien.

     

    G.B.

     

     

     

  • Petit sondage d'avant les urnes !

     

      Ainsi donc, Daniel Vachez, notre  seigneur et maître, élu et maire depuis      «  Mathusalem »

    Ose-t-il prétendre à se représenter.

    Dont-acte, et fort bien.

    Ce n’est pas qu’il délaisse sa tâche pour d’autres plus reluisante ; plus rémunératrice enviable et  autoproclamé ; Communauté de communes ! Tiens, pourquoi pas ?

    Pourtant, sur notre ville sa seule réalisation d’importance, avoir redessiné les bords de Marne.

    Encore en aura-t-il profité pour redéfinir les grands axes de notre parc.

    Fi du petit pont de tous les soupirs, détruit pour voir plus grand !

    Percement d’une zone marécageuse.

     

    Bref en ville depuis des années nous attendons, demandons un peu de lumière, un minimum de sécurité.

    Oh les études pleuvent, au grand profit de bureaux d’études à docs ! Mais pour la réalisation ; c’est à l’étude….

     

    Noiséliens, Noiséliennes il serait temps de changer et de prendre votre destin en main.

    D’autant que la rumeur, souvent bien informée prétend que, à mi mandat le maire abandonnerait son poste au profit d’un tiers de sa liste. Tiens donc !

    La même entendrait  encore qu’il aurait, enfin, faut voir, qu’il proposerait postes et responsabilité à d’autres, voir encore de cette ancienne « union de la gauche ; Socialo, écolo, communiste.». Baliverne !.

    Ainsi dans les cuisines de notre pouvoir il se prépare de drôles de plats ?

    Bon laissons leur ces manipulations, et laissons Augias à ses écuries.

     

     

    Soyons clairs, efficaces ; nous choisiront le changement.

    Amis, Voisins, et lecteurs  que l’on croisent en chemin, demain Noisiel doit se choisir une autre voie.

     

    Demain faisons entendre la notre de voix et Votons pour NOISIEL et sa population, non pour des « communautés d’intérêts ».

     

    Alors ça vous dit ?

     

  • Election sur l’air de la bêtise.

    Bientôt les solde !

    Et l’hiver qui arrive,

    Et le temps, de fourbir ses armes.

    Et  de missions en compromis,

    Les partis, font les fonds de tiroirs.

    De ceux qui délocalisés,

    Aux autres parachutés.

    De basses manœuvres,

    De  si vil ,servile pour le bien de la cause.

    A ceux plus audacieux qui prétendent innover.

    Des promesses, inutiles bêtise ; misère et pauvreté.

    De ceux qui sont acheté, à d’autres bien vendu.

    Grandeur et décadence chacun prétend en être.

    Même nos villes et le moindre village

    Servent de prétexte pour beaucoup d’y aller.

    Ils veulent donc gérer, ou bien se faire valoir !

    Ils prétendent régenter, vous guider, voir vous épauler.

    Ils entendent gouverner et donc vous diriger.

    Ils n’ont d’autres pouvoirs que de changer les plaques d’une rue.

    C’est pourtant la petite porte, pour accéder aux grandes.

    Cumulards, ils entendent préserver leurs droits.

    Nos villes les intéressent, à moins que ce ne soit nos vies.

    Avec l’hiver les feuilles d’impôts sont tombées.

    Ils attendent le printemps pour ressortir les urnes.

    Et voir vos bulletins valider leur méfait.

    Et c’est dans l’isoloir que vous pourrez aller vous faire rhabiller, ou bien même plumé.

    Ils appel ça démocratie.

    C’est vrai, le droit  républicain de voter pour ses gardiens.

     

    Et vous étrangers vous n’avez pas ce droit.

     

    G.B.

  • Noisiel, Les municipales 2014 ; Et si on changait de maire !

    Et si pour nous aussi, le CHANGEMENT ?

     

    Pareil les feuilles mortes chaque automne, Tel cette vieille grille de notre parc, immuable, nous nous sommes habitués.

    Il arrive qu’on le croise, on peut même lui parler, l’interpeler.

    Il ne fuit pas, il se dérobe.

    Toujours présent, il entend tout diriger.

    Pourtant ce, n’est jamais sa faute, ni sa responsabilité.

    Un bilan exemplaire.

    Comme le temps, comme cette perçante  « allée des bois ; Il entend traverser, regard droit devant ; depuis nos tweens towers des Totems jusque Cette base de Vaires, un horizon dégagé.

     

    Nul gène, un arbre le dérange, qu’on l’abat, une poubelle, virez là.

     

    Sans gêne il jongle avec votre argent « contribuable », une aire de jeu par ci, trois petits arbres par là. Mais le tronc d’un diamètre : tient comme cette feuille A4 Roulée, au minimum…

     

    Bon prince il vous dira : que ce n’est pas sa faute, Le SAN, La Communauté, Le Préfet…Les feuilles des arbres qui empêchent la lumière.

     Les pannes de lumière répétés ; il ne faut pas trop éclairer.

    Des petits trafics, des dealers ; où ça, qui ça, non pas chez nous ?

    L’ordre règne..

    Et deux vaches pour faire bonne mesure.

    Et cette Marne aménagée de pontons immergés, ca c’est une trouvaille !.

    Et un vieux, et très joli petit pont, sacrifié ; Il faut voir grand !

    Toujours présent, jamais responsable.

    Le marché, malmené, les marchands mécontent !.

    Des études menées par des bureaux adéquats, par des géomètres, des centres d’analyses. Des experts mandatés, rémunérés à grands frais. Tout ça pour : ….Grand seigneur, il entend déplacer des montagnes refaire sa ville, la votre.

    Nous aussi : On veut, mais par le choix du peuple, avec votre accord, votre participation citoyenne.

     

    Alors on y va, le Changement.

     

    Nous ce sera ; avec vous. Qu’en pensez-vous ?

     

    G.B.